Commentaire Don Juan Aux Enfers

ç'a été tout : moyen chanceux où l'on a souvent, de part et d'autre, des surprises. Les lettres de Madame sont bien écrites, ça c'est vrai. Mais elles révèlent un caractère tatillon et méticuleux... Ah ! il lui en faut des explications et des commentaires, et des pourquoi, et des parce que... Je ne sais si Madame est avare ; en tout cas, elle ne se fend guère pour son papier à lettres... Il est acheté au Louvre... Moi qui ne suis pas riche, j'ai plus de coquetterie... J'écris sur du papier parfumé

d’objets d’étude librement déterminés par le professeur et associés à la lecture d’œuvres intégrales. À titre d’exemple, voici cinq séquences possibles : • Objet d’étude : la mixité des genres et des registres Lecture d’une œuvre intégrale : Molière, Dom Juan ou Hugo, Ruy Blas ou Cocteau, La Machine infernale. Groupement de textes extraits du manuel : – Corneille, Le Cid, p. 108 – Hugo, Hernani, p. 115 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : le théâtre dans le théâtre Œuvre intégrale : Corneille

chacun est une chimère, car cet objectif étant irréalisable de par la nature même des hommes qui sont en fait des êtres animés par la cupidité. • Mythe de l'homme o Le mythe prométhéen qui dit que Prométhée apporta le feu aux hommes. o Le mythe de Don Juan, repris plusieurs fois, parle d'un homme pour qui le seul plaisir réside dans la conquête et la séduction des femmes. • Mythe de création d'une institution o Le mythe d'Hiram, architecte du Temple de Salomon, dont se réclament les sociétés maçonniques

se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho

se croit transporté aux enfers à la recherche des deux amants. Il ne retrouve la raison qu'au dernier acte, à la nouvelle que la mort de Tircis était une feinte pour éprouver les sentiments de Mélite, que celle-ci n'était qu'évanouie, et que les deux jeunes gens vont se marier. Il est donc pardonné à la fin, et, pour réparer la trahison de Philandre qu'il a provoquée, il offre le mariage à Cloris : la pièce se termine donc sur l'annonce d'un double mariage. Commentaire La pièce est un écho de

élevé, éduqué dans le respect. Cote : 342.7 UNICEF Connaître, respecter et transmettre.- Clermond-Ferrand cedex 1 : CRDP de l'académie de Clermont-Ferrand, 2001.- 67 p.. Résumé : Les 30 articles de la déclaration des droits de l'homme, avec des commentaires sur chaque article ainsi que des bibliographies et des notes. Etat des lieux concernant la convention relative aux droits de l'enfant, en 2 partie : ce que dit la convention, et la réalité aujourd'hui, suivi de l'énumération des 54 articles. Cote

paysage : « La ligne d’horizon est la marque exemplaire de cette alliance entre le paysage et le sujet qui le regarde. Que celui-ci vienne à bouger, et c’est la limite même du paysage qui se déplace[9]. » Quant à l’ « étendue », elle permet « de donner libre cours à ce mouvement ex-tatique, qui le définit comme ek-sistant toujours à distance de soi [10]. » Le paysage est perçu par un sujet et l’institue dans son unité. « C’est la stature de mon corps, dressé dans l’espace, qui donne à mon regard

ne sommes plus dans le bonheur illusoire maintenu artificiellement par l’effet anesthésique du divertissement mais dans le bonheur total issu de la certitude d’être accompagné par le Créateur. Quelle commune mesure avec Phèdre ? Pour elle « les Enfers sont pleins de ses aÏeux », « (son) père y tient l’urne fatale ». L’horizon de Phèdre est une perspective bouchée, opaque et sans issue, celui de Pascal débouche sur la lumière de Dieu au sein de laquelle les contradictions de l’homme doivent trouver

siècle met à nu les instincts et la crudité du désir qui gouvernent les actes. La séquence vise à montrer comment cette veine s’affirme avec le roman satirique (textes 1 et 2). L’identité du personnage risque de se perdre dans ses modèles illusoires. Don Quichotte de Cervantès qui présente un personnage perdu dans ses illusions et qui confronte en permanence l’idéal à la réalité, demeure le modèle romanesque majeur, celui qui fonde le roman moderne (texte 4) et qui perdure dans la peinture de la

siècle met à nu les instincts et la crudité du désir qui gouvernent les actes. La séquence vise à montrer comment cette veine s’affirme avec le roman satirique (textes 1 et 2). L’identité du personnage risque de se perdre dans ses modèles illusoires. Don Quichotte de Cervantès qui présente un personnage perdu dans ses illusions et qui confronte en permanence l’idéal à la réalité, demeure le modèle romanesque majeur, celui qui fonde le roman moderne (texte 4) et qui perdure dans la peinture de la