Commentaire Hymne à La Liberté

l’engagement ? Être engagé ? Dans le cas de la poésie engagée, l’engagement est l’acte ou attitude de l’intellectuel, de l’artiste qui, prenant conscience de son appartenance à la société et au monde de son temps, renonce à une position de simple spectateur et met sa pensée ou son art au service d’une cause. Être engagé correspond à être mis par son engagement au service d’une cause. En effet, le poète, de même que l’écrivain, le chanteur, le peintre,… peut, dans un contexte historique précis (guerres

« Nadja » André Breton Résumé : Le récit commence par cette question fondamentale et insoluble : « Qui suis je ? » . S'ensuit alors un long prologue qui propose une série de réflexions qui visent à expliquer la démarche de Breton, avant qu'il ne rencontre Nadja. Il essaie de répondre à partir d'un proverbe : « Dis moi qui tu hantes , je te dirai qui tu es. » Le projet d'André Breton est de comprendre en observant la façon dont se déroule sa vie , en quoi consiste sa singularité. Sans plan préconçu

Colette, Journal à rebours, La chaufferette, 1941, FayardSidonie Gabrielle Colette1873 - 1954 « La chaufferette » , Journal à rebours, Arthème Fayard, 1941.(Extrait)Par Robert Ferrieux [Colette porte le seul nom de son père. Sidonie est celui de sa mère, qu'elle a adulée et célébrée (cf. Sido ). Ce journal n'en est pas un, mais un recueil de textes divers, parus à différentes époques, mélangeant des récits de son enfance passée à Saint Sauveur-en-Puisaye (Yonne)

Commentaire composé : Hugo : Le Dernier jour d’un condamné : Incipit Texte étudié : Condamné à mort !Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s’amusait à me les dérouler les

guerre ou à la Libération. Il contient notamment des poèmes, comme "La rose et le réséda" qui, furent publiés au départ dans la clandestinité. Les deux fleurs, la rose rouge et le réséda blanc symbolisent par leurs couleurs deux appartenances politico-religieuses : le rouge est la couleur des socialismes, traditionnellement athées, le blanc, celle de la monarchie, et plus généralement du catholicisme qui lui est associé dans l'histoire de France. Poème de circonstance à l'origine, (à l'époque le

de voyage, accepte de céder à un général allemand en échange de la liberté pour l'ensemble des voyageurs. Pendant la guerre franco-allemande, Rouen est envahie par les Prussiens. Des commerçants, des grands bourgeois, des nobles, deux religieuses, un démocrate et une prostituée : Boule de suif tente de fuir l'occupation en diligence. Le voyage est pénible, la voiture peine à avancer, les voyageurs ont faim. Boule de suif partage les provisions qu'elle a pensé à prendre. Lors d'une étape

de la fin du XIX s à 1960 Leçon 1:     De l’exploration à la conquête du territoire Introduction Le début du XIX s marque le départ de l’impérialisme européen en Afrique. Le Burkina à l’instar des autres territoires africains suscite l’intérêt des européens. La conquête est précédée d’une phase d’exploration dirigée par trois puissances de 1853 à 1894. 1. Les principaux explorateurs du Burkina * Heinrich Barth : c’est un docteur allemand, il est le premier européen à fouler le sol burkinabé

Commentaire des quatre dernières strophes de La maison du Berger de Vigny Introduction : Alfred de Vigny est issu d’une vieille famille noble et a été élevé dans le culte des armes et de l’honneur. Il rêvait de gloire militaire. Cependant, il se savait né trop tard pour être le héros d’une épopée, et se sentit coupable d’avoir voulu porter dans une vie tout active une nature toute contemplative. Aussi, entré comme sous-lieutenant dans la garde royale, ayant attendu neuf ans que l’ancienneté l’ait

BROSSAY Thaïs DD2-007 DROIT CONSTITUTIONNEL Commentaire de texte « Je n’entrerai jamais en lutte contre la volonté nationale » a déclaré Jules Grévy en 1879. Cette phrase marqua un énorme tournant quant à la nature du régime sous la IIIᵉ République. Ainsi nous pouvons nous intéresser à la « Constitution Grévy » comme l’a appelé Marcel Prélot. Il l’a d’ailleurs présenté dans un ouvrage nommé Précis

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