Commentaire Le Gout Du Néant

------------------------------------------------- Traitée sous forme de Commentaire C’est en 1841, durant son fameux voyage à destination des Indes, imposé par son beau-père, le commandant Aupick, que Charles Baudelaire, quittant le navire débarque à La Réunion (L’île Bourbon) où il découvre les charmes de l’exotisme. Cette courte expérience marque définitivement son inspiration : on la retrouvera dans nombre de poèmes des Fleurs du Mal. Mais l’un des textes les plus achevés, dans ce domaine

Question 3 Traitée sous forme de Commentaire C’est en 1841, durant son fameux voyage à destination des Indes1, imposé par son beau-père, le commandant Aupick, que Charles Baudelaire, quittant le navire débarque à La Réunion (L’île Bourbon) où il découvre les charmes de l’exotisme. Cette courte expérience marque définitivement son inspiration : on la retrouvera dans nombre de poèmes des Fleurs du Mal. Mais l’un des textes les plus achevés, dans ce domaine, est sans conteste un poème en prose où

un ami » 14), les éléments, comme l’eau (« le délice du nageur caressé par l’eau » ou « délice de l’eau qu’on boit » 18). Le frémissement et le plaisir dus aux sensations qui étreignent le corps sont profondément soulignés dans ce début : comme le goût (« la sensation presque sacrée du vin de Samos » 18), ou encore le délice de l’assimilation de la nourriture (manger un fruit, une miche de pain, qui se transforment « en sang, en chaleur, peut-être en courage » 17) ou encore l’ouïe (« l’ébrouement

te l'ai déjà dit, aurait besoin d'explication, sans en fournir aucune; et que, par conséquent dès que ton dieu n'est bon à rien, il est parfaitement inutile; qu'il y a grande apparence que ce qui est inutile est nul et que tout ce qui est nul est néant; ainsi, pour me convaincre que ton dieu est une chimère, je n'ai besoin d'aucun autre raisonnement que celui qui me fournit la certitude de son inutilité. Le prêtre: Sur ce pied-là, il me paraît peu nécessaire de vous parler de religion. Le moribond:

Commentaire de texte « Moesta et Errabunda » de Charles Baudelaire ------------------------------------------------- Auteur du mouvement romantique qui caractérise la première moitié du XIXe siècle, Charles Baudelaire doit aujourd’hui sa renommé à son recueil Les fleurs du mal publié pour la première fois en 1857 et remanié en 1961. L’unité de cette œuvre est marquée par l’investissement de l’homme de plume qui fera part de tout son cœur ainsi que de toute sa sincérité dans ses poèmes. Le

Commentaire littéraire du poème « Il n’y a pas d’amour heureux » de Louis Aragon Introduction Les poètes ont brodé d’innombrables variations sur le thème universel de l’amour : l’attente, le désir, la rencontre, etc. Pour sa part, Louis Aragon a choisi dans « Il n’y a pas d’amour heureux », poème écrit durant la deuxième guerre mondiale et paru dans La diane Française en 1946, de chanter l’amour malheureux à travers la douloureuse relation de l’homme à sa vie. Il est à noter que la poésie

scintillement des phares, sont un prisme merveilleusement propre à amuser les yeux sans jamais les lasser. Les formes élancées des navires, au gréement compliqué, auxquels la houle imprime des oscillations harmonieuses, servent à entretenir dans l'âme le goût du rythme et de la beauté. Et puis, surtout, il y a une sorte de plaisir mystérieux et aristocratique pour celui qui n'a plus ni curiosité ni ambition, à contempler, couché dans le belvédère ou accoudé sur le môle, tous ces mouvements de ceux qui partent

le roman d’apprentissage mais pour s’en moquer. L’Éducation sentimentale est l’histoire d’un jeune homme, FRÉDÉRIC MOREAU. Frédéric Moreau est la figure de l’anti-héros car il n’aboutira dans aucun projet. Il ne fait rien. C’est l’apprentissage du néant. C. LES EXTRAITS Extrait n°1 (20 min.) FLAUBERT, L’Éducation sentimentale, Partie I, Chapitre I. - Contexte Nous sommes au début du roman. Flaubert situe dans un contexte de temps et de lieu très précis son héros, Frédéric Moreau : nous

pour dire au barman que je souhaitais qu’il me resserve. « Eh bein, tu as bien soif, toi ! me lança avec un œil pervers le vieux toujours sur un ton fort déplaisant. - Pour sûr, il fait une chaleur mourir ! répondis-je en essuyant encore les gouttes de sueur qui perlaient sur mon visage. - Mais, c’est normal, bienvenu en enfer, répliqua t-il en riant à gorge déployée. » Je ne pu que sourire afin de calmer une certaine colère qui montait en moi. Je rejetai un nouveau coup d’œil à ce personnage

présentes dans cet extrait. 2- Précisez les éléments communs avec les textes de Chateaubriand et de Lamartine que vous lirez attentivement. 3- Observez les phrases de l'extrait «  le clair de lune » : leur « style » , leur rythme et proposez un commentaire qui permettrait de rendre compte du style de Flaubert. II- Extrait « la promenade en barque » 1- Quelles caractéristiques du Romantisme retrouvons-nous dans cet extrait ? 2- Flaubert cependant prend de la distance : comment ceci apparaît-il