Commentaire Le Langage Témoin De La Conscience Popper

«courtisianismes» adoptés par certains auteurs français, par exemple, spaceger, strade, ragionner, mescoler, leggiadres, etc. Henri Estienne qualifiait ces usages de «barbarismes», de «barragouinage», de «langage farragineux», de «jergonnage» ou encore de «jergon si sauvage / appelé courtisan langage». Se qualifiant lui-même de «tyran des mots», Henri Estienne s'opposa toute sa vie tant à la langue vulgaire qu'à la langue savante, en combattant les latinismes, les archaïsmes, les italianismes, les patois

récit en vers d’aventures héroïques. » Voltaire Ancêtre de toute narration, l’épopée pose des problèmes fondamentaux : - rapport fiction / histoire - merveilleux / réalisme - écriture singulière / écriture collective - lit. Pop / lit. Savante - narration / poésie Perspective historique de l’épopée Origines du genre : 2 plans : - sociologique, culturel - littéraire 1)aspect sociologique : cf. : Georges Dumézil : « Mythes et épopées » : grand théoricien

ensemble. Le code est là pour ce qui est facile. L’éthique est là pour ce qui est difficile. 3. DÉONTOLOGIE ET MORALE Les règles déontologiques et les normes morales. La nature de cette contrainte. * Contrainte morale : le trouble de la conscience du sujet ou la désapprobation sociale. * Contrainte de déontologique : les actes contraires sont sanctionnés. Mais cela dépend de la probation. 4. DÉONTOLOGIE ET DROIT Ce qui est permit ou non selon la loi. Pas ce qui est bien ou

enfermer. Paradoxe : On veut absolument sociabiliser le criminel, on le normalise. On n’arrive plus……… Sans réprobation sociale il n’y aura pas la cohésion sociale. C’est un argument qui n’est pas obligatoirement à soutenir ! Il faut prendre conscience que la 1e définition de la criminalité est remise en question par la psychologie sociale. (Doise,…) Les lois se modifient en fonction des événements actuels, au quotidien. L’opinion publique a une stabilité en générale mais elle change lorsqu’il

d’art d’un type nouveau qu’il désigne sous le vocable de ready - made : « Objet usuel promu à la dignité d’œuvre d’art par le simple choix de l’artiste.» La trace de l’artiste a disparu et se réduit au seul choix et à la nomination de l’objet. Le langage, le discours la dimension verbale commencent? avec Duchamp à prendre le pas sur le plaisir purement esthétique lié à la simple perception de l’œuvre et à l’idée de l’œuvre comme résultat d’un savoir faire artistique et comme objet unique et irremplaçable

enfer pop rock mais qui nous dit qu’on traverse l’obscurité. Edouard arrive avec une gameboy // qu’est-ce qu’un ado aujourd’hui. On retrouve une esthétique de l’image, d’où la revisite de DARK VADOR (Acte III, sc1) cf Epee laser. Il utilise des « pré-génériques » comme des « previously. Esthétique du panneau, post brechtienne où on affiche « le truquage » cf. La résistible ascension d’Arturo Ui où on sait dès le début ce qui va se passer => théâtralité assumée. + Effet de commentaire, on

obéit à un principe naturel de cohérence. Paraît-il plus facile d’expliquer un sonnet de Du Bellay que trois pages de Queneau, une courte scène de Racine qu’un long extrait de Beaumarchais ? Que les candidats se rassurent : l’examinateur a quelque conscience de la relative accessibilité de tel texte, de tel style, voire de tel auteur, et module ses critères d’évaluation en conséquence. Aucun piège n’est tendu : il suffit de bien lire, d’utiliser ses connaissances afin de discerner les enjeux de l’extrait

.............................................................................................. 201 > Quand nous percevons, sommes-nous purement passifs ? > ................................... 233 Étude d’un texte de Bergson sur le langage et la perception du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

groupes d’individus dans le cas des sciences sociales. Cette recherche est pourtant utilitaire, celui de transformer, de changer le monde, celui de créer les conditions meilleures aussi bien pour des générations présentes et futures. Selon Karl POPPER La science : le but de la science c’est de découvrir des explications satisfaisantes de tout ce qui nous étonne et parait nécessiter une explication. Par explication, on entend un ensemble d’énoncés dont l’un décrit l’état de chose à expliquer (explicandum :

s’est et pourtant des qu’il y a société il y a droit aussi petite que soit cette société , aussi inorganisée soit elle. Prenons le cas des enfants , des le plus jeune âge ils entendent dire « tu n’as pas le droit » autrement dis il y a très tôt la conscience que certaines actions sont autorises et d’autre non. Il y a une règle supérieur a laquelle tous les membres du groupe doivent se soumettre .Très vite lorsque cette règle est transgressée on entends dire ces même enfants « c’est pas juste », l’idée