Commentaire Lettres Persanes Lettre 161

forme de citations, dont le sens ne paraît pas toujours évident à première vue ; vous vous préparerez à mieux les comprendre en consacrant un peu d'attention aux propos présentés dans ce document et en premier lieu à ceux qui font l'objet d'un commentaire. •Enfin, c'est, pour vous, une façon commode de rassembler un certain nombre d'idées faciles à retenir dans la mesure où elles sont exprimées sous une forme qui en facilite la mémorisation (des formulations parfois percutantes, par exemple les citations

des Khojas et attribuait la propriété des biens communautaires à l'imâm. Le texte peut être consulté dans Fyzee 1965: 504-549. 5 Le titre honorifique "Aga Khan" (âqâ khân), que l'on peut traduire par "Grand Seigneur", a été conferré par le souverain persan Fath `Alî Shâh en 1817 à l'imâm Hasan `Alî Shâh. Pour les circonstances précises, voir Daftary 1990: 505. 6 Les deux principales communautés de Khojas sont celles des Aghâkhânîs et des Ithnâ `asharîs; mais il existe aussi des Khojas sunnites, namâzis

les Kurdes objets de notre étude n’ont pas de littérature écrite à cette époque, et les représentations qu’ils se faisaient d’eux-mêmes ne nous sont pas parvenues. Nos sources principales ont été produites par des auteurs se présentant comme des lettrés arabo-musulmans urbains[1]. D’autre part, il a été nécessaire de se départir de l’attitude «substantialiste» pour l’appréhension des groupes et des institutions ayyoubides. Il n’y a pas de continuum ni d’uniformité, ni dans l’usage d’un nom ni dans

originale[121]. Son enseignement est essentiellement connu à travers les Évangiles, qui en font le récit, et les commentaires qui en seront faits dans le reste du Nouveau Testament. Son enseignement et son action montrent une très bonne connaissance des textes religieux et de la loi juive[122]. Il utilise deux méthodes typiques des docteurs de la Loi, ses contemporains : le commentaire des textes canoniques et l'usage de meshalim ou « Paraboles »[123] dont il fait le ressort privilégié de sa pédagogie

pour sa victime des sentiments troubles. Madame de Merteuil, qui a senti Valmont lui échapper, a conclu avec lui un pacte : elle se donnera de nouveau à lui dès que le Vicomte lui aura apporté les preuves de la chute de Madame de Tourvel. Dans les lettres précédentes, Valmont, ivre d’orgueil d’avoir vaincu la Présidente, réclame donc son dû de façon insistante, tout en se moquant de la liaison que Madame de Merteuil vient de nouer avec un jeune homme, Danceny. Madame de Merteuil est un personnage extraordinaire

Roi sans divertissement, 1947. I. Question Quelles sont les caractéristiques des figures maternelles dans les textes du corpus ? II. Travaux d’écriture Vous traiterez ensuite, au choix, l’un des trois sujets suivants Sujet 1 : commentaire de texte Vous commenterez l’extrait de Jean Giono (texte 3). 10. Combles : espaces compris entre le dernier étage de la demeure et le toit. 11. Tambour-major : grade militaire (sous-officier qui commande les tambours et les clairons d’un

Ollendorff ; Albin Michel, 1933. – 617 p. V. Théâtre en liberté. – Ollendorff, 1911. – 593 p. VI. Théâtre de jeunesse. Mille francs de récompense. Plans et projets. – Imprimerie Nationale ; Ollendorff ; Albin Michel, 1934. – 615 p. En voyage I. Le Rhin : lettres à un ami. – Ollendorff, 1906. – 557 p. N088632 II. France et Belgique. Alpes et Pyrénées. Voyages et excursions. – Ollendorff, 1910. – 623 p. Histoire I. Napoléon-le-Petit. Histoire d’un crime (livres 1 et 2). – Ollendorff, 1907. – 461 p. II. Histoire

Albin Michel, 1933. – 617 p. V. Théâtre en liberté. – Ollendorff, 1911. – 593 p. VI. Théâtre de jeunesse. Mille francs de récompense. Plans et projets. – Imprimerie Nationale ; Ollendorff ; Albin Michel, 1934. – 615 p. En voyage I. Le Rhin : lettres à un ami. – Ollendorff, 1906. – 557 p. N088632 II. France et Belgique. Alpes et Pyrénées. Voyages et excursions. – Ollendorff, 1910. – 623 p. Histoire I. Napoléon-le-Petit. Histoire d’un crime (livres 1 et 2). – Ollendorff, 1907. – 461 p. II.

d’auteurs ont tenté, bien avant « l’Affaire »d’influer sur les évènements et les gouvernements et d’étudier la question du pouvoir. Il s’agira donc de montrer comment l’art s’empare des questions politiques. Cette séquence se situe au croisement des lettres de l’histoire et des arts et s’inscrit dans l’enseignement d’exploration « Littérature et société » et plus précisément dans les domaines « Écrire pour changer le monde : l’écrivain et les grands débats de société » et « Images et langages : donner

française de Philosophie. Elle venait peu après un article non moins fameux de Roland Barthes, au titre plus fracassant, « La mort de l'auteur », publié en 1968. Ces deux textes, qui ont figuré parmi les pages les plus photocopiées par les étudiants de lettres avant de devenir disponibles, bien plus tard seulement, dans des recueils posthumes (Barthes, Le Bruissement de la langue, 1984 ; Foucault, Dits et écrits, 1994), énonçaient le credo de la théorie littéraire des années 1970, diffusée sous le nom de