Commentaire Littéraire Pensées De Pascal

Molière, Dom Juan, Acte I, sc. 1 – Éloge du tabac. Commentaire littéraire. ⇨ En quoi cette scène d’exposition est-elle une illustration du double libertinage de Dom Juan – libertinage philosophique et libertinage moral – qui va dominer toute la pièce ? Et, partant, en quoi annonce-t-elle la pensée des Lumières ? ← Axes de lectures : o Une scène d’exposition à la fois classique et atypique. o L’inscription de la scène dans une idéologie. Introduction - Le

statut de pensée pré-philosophique à celui de mode de pensée à part entière, gardienne et témoin, selon Gilbert Durand, du fond anthropologique commun de l’imaginaire. L’apparition d’un mythe dans un texte ferait donc signe vers cet imaginaire et constituerait une matrice génératrice de sens. Mais la mythocritique durandienne met de plus l’accent sur la narrativité du mythe, qui le constituerait en modèle originel de tout récit : « La mythocritique […] pose que tout “récit” (littéraire bien sûr,

citation compte et pas les écrits et théories de son auteur. N.B. Une date, qui figurerait dans le libellé du sujet, serait également à prendre en compte et élucider puis reprendre dans l’introduction générale comme signalant un fait d’histoire littéraire qui ne saurait vous échapper. o Ex. 1857, double procès, retentissants et pour même accusation d’immoralité, de Madame Bovary ( Gustave Flaubert) et des Fleurs du Mal ( Charles Baudelaire) – Problématique probable d’un sujet où cette date serait

notre profonde gratitude s’adresse de façon spécifique à l’Assistant Augustin BARAKA DHELO, qui, combien occupé par ses multiples tâches, a commodément accepté de diriger ce travail et d’en faire un opuscule répondant aux normes critiques et littéraires à travers son œil vigilant et sa dextérité. Ses remarques, observations, directives combien pertinentes et sa disponibilité nous ont épanoui si bien qu’il restera gravé comme une empreinte tenace dans notre mémoire. Nous gratifions également

musiques écoutées pendant la période de la domination allemande. Nous verrons que la musique fut très présente autant dans les moments festifs que ceux atroces. Je poursuivrai en parlant du cinéma et ferai un bref résumé de l’aspect théâtral et littéraire de l’époque. Pour terminer ce travail, j’ai choisi de vous parler d’un peintre allemand qui a attiré ma curiosité par ses œuvres qui ont décrié les horreurs de la guerre. p.3 Le nazisme et son dictateur Le nazisme

Texte 1Incipit de La Princesses de Clèves | L’auteur | - Mme de la Fayette - Née à Paris en 1634, de son vrai nom Pioche de la Vergne. - Education soignée littéraire et mondaine. - Fréquentation hâtive des salons mondains. - Propriétaire de son propre salon où elle réunit les membres de la haute société (Henriette d’Angleterre, Mme de Sévigné, La Roche Foucault…). - Type même de la femme savante, cultivée et dotée d’une parfaite maîtrise des codes de l’aristocratie. - Femme

; l’indéfini « un » peut aussi donner à ce personnage une dimension universelle ; le complément de nom « sans divertissement » confère un tour négatif, voire paradoxal, au titre. Qu’entend- on par « divertissement » ? Si la référence cultivée à Pascal fait défaut, recourir à l’étymologie (en latin, divertere : se détourner). Questions de préparation à l’oral : 1) En quoi cet incipit est-il original ? 2) Etudiez le rôle du narrateur dans l’extrait. 3) Le narrateur est-il toujours sérieux

cela sera remplacé par le calcul économique, la quête indéfinie de solutions techniques, les préoccupations relatives à l’environnement et la satisfaction des exigences de consommateurs sophistiqués [1] F. Fukuyama, « La fin de l’histoire ? », Commentaire,... [1] . 3 « Ce que je crois, c’est qu’on a été la dernière génération à rêver d’héroïsme » [2] O. Rolin, Tigre en papier, Paris, Seuil, 2002. [2] . Olivier Rolin met cette phrase dans la bouche du narrateur, dans son dernier roman, Tigre en

Groupe de mots qui constitue une unité de base de la phrase et qui possède un verbe avec son sujet et éventuellement des compléments. Les propositions incidentes Elles ouvrent une parenthèse (parfois présente) dans la phrase pour y apporter un commentaire. Les propositions incises On les trouve dans le discours rapporté direct : il s'agit d'un cas particulier d'enchâssement dans la phrase. Proposition subordonnée conjonctive circonstancielle Proposition subordonnée introduite par une conjonction

la figure de la femme fatale, associée à la luxure et à l’enfer, qui cause la déchéance de l’homme. Esméralda incarne à elle seule ces deux figures opposées : •  d’une part, Esméralda n’a que 16 ans et est vierge. C’est une fille innocente qui ignore tout  des hommes et pense connaitre le grand amour avec Phœbus ; •  d’autre part, du point de vue de Frollo, elle est la femme fatale, une tentation, un objet de  Satan qui fera de lui, prêtre, une âme damnée, condamnée à l’enfer. L’amour  de Quasimodo,  quant  à  lui,  est