Commentaire Paul Claudel

plus de leur appel. Ils passent au-dessus des lacs, des marais fertiles... » Commentaire La revue ‘’Littérature’’ avait publié précédemment ce fragment. Ces lignes dont la fièvre glacée n'a rien perdu aujourd'hui de son pouvoir sur le lecteur semblent défier le commentaire. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Commentaire sur le recueil L’ouvrage, exploration des «champs magnétiques» de l'inconscient

mais ils sont rythmés avec des noirs, des blanches et un accent. C’est un vers extrêmement noble. C’est l’hexamètre dactylique qui donne la tonalité à l’histoire. Le vers, la forme est le signe de la poésie. Cela est vrai pour toute la poésie. C’est Paul Valérie qui dit que quand il écrit le Cimetière marin, ce qui lui vient en premier, c’est la forme. Pour Ovide c’est la même chose, la première chose qui lui vient c’est le rythme. On va retrouver les autres critères que nous avons déjà vu pour l’Iliade

lectures qui éclairent les différents objets d’étude au programme et, par ces lectures, de préparer les élèves aux techniques de l’épreuve écrite (lecture efficace d’un corpus de textes, analyse d’une ou deux questions préliminaires, techniques du commentaire, de la dissertation, de l’argumentation contextualisée, de l’imitation…). Ainsi, l’étude d’une même œuvre peut répondre à plusieurs objectifs. Cyrano de Bergerac d’Edmond Rostand permettra d’étudier le genre théâtral, et plus précisément le drame

: Alors pourquoi ne vous en écrivez-vous pas un journal? Vous pourriez y décrire tous les drames que vous voulez. Vous pourriez vous inventer les plus belles petites tragédies… Et chaque matin vous y trouveriez des nouvelles à votre goût !» Commentaire Selon Michel Tremblay, la pièce de trente minutes fut écrite «spontanément», mais il faut remarquer que ce sujet avait été celui de ‘’Zoo story’’ d’Edward Albee, en 1958. En 1964, elle obtint le premier prix au concours des jeunes auteurs de

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

même rôle. 6. Faux.  Au contraire, une bonne copie est aérée, on voit sa structure d’un coup d’œil. 7. Faux.  Une citation doit toujours être exacte. 8. Faux.  Ce plan est le plus répandu. 9. Vrai. 10. Vrai. Exercices d’entraînement 1 1. Un commentaire de citation appelle un plan analytique. Proposition de plan : I. « Une morale nue apporte de l’ennui » : les inconvénients d’une morale sans récit ; II. « Conter pour conter me semble peu d’affaire » : les inconvénients d’un récit sans but moral

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

_________________________________________________________________________________ ‘’Le gant rouge’’ (1888) Vaudeville en quatre actes et en prose On court après des lettres d'amour cachées dans I'enseigne du magasin ‘’Le gant rouge’’ par une gantière et son employée. Commentaire Cette comédie ébouriffante fut présentée au théâtre de Cluny seulement dix-sept fois en août 1888 et devant une salle vide, le critique Francisque Sarcey la qualifiant d'«insanité», d’autres la jugeant indécente. Blessure, déception, honte.

pour qui le péché n'a d'autre raison d'être et d'autre possibilité d'être que la malédiction de Dieu et la condamnation de Dieu. Thierry Maulnier, 1935 En Phèdre, rien ne voile, n'adoucit, n'ennoblit, n'orne, ni n'édifie l'accès de la rage du sexe. Paul Valéry, 1945 Phèdre n'est pas un concerto pour femme ; c'est une symphonie pour orchestre d'acteurs. Jean-Louis Barrault, 1946 ... Peut-être, après tout, Phèdre serait-elle une chrétienne à qui la grâce n'a pas manqué ; peut-être meurt-elle sauvée

écrivains et écrivains mineurs qui constitue ici l’axe de l’Histoire de la littérature française. 2. La littérature, une institution : Définir celle-ci c’est se demander « qu’est-ce que la littérature ? », pour reprendre le titre d’un ouvrage de Jean-Paul Sartre. C’est au XIXème siècle que la littérature se libère des instances politiques, religieuses et morales en affirmant « soudain son indépendance : elle ne reflétera plus les lieux communs de la collectivité, elle s’identifie à l’Esprit, c’est-à-dire