Commentaire Paul Verlaine Allegorie

d’une prise de position esthétique ( Mallarmé, le Sonnet en X). Malgré les variations sur la disposition des rimes et des strophes, le sonnet a conservé à peu près la même forme à travers les siècles. Au XIXe siècle, Baudelaire, et à sa suite Verlaine, Mallarmé et Rimbaud réintroduisent en poésie le sonnet que le XVIIIe a dédaigné, et lui font subir des transformations majeures : dislocation du vers et nouvelles dispositions des rimes. Le sonnet évolue et se modernise dans le but d’exprimer

qui réduisit Hercule en esclavage avant de l’épouser, Cléopâtre reine d’Égypte soumet Marc Antoine à ses désirs avant de s’unir à lui. Dans Marc Antoine (1578), Robert Garnier dresse la comparaison entre ces deux femmes dominatrices : 1 Paul VERLAINE, Fêtes galantes. Romances sans paroles précédé de Poème saturniens, éd. Jacques Borel, Paris, Gallimard, « NRF Poésie », 2007, p. 132. 2 Certaines versions mythologiques sur l’histoire d’Hélène renvoient d’ailleurs à l’Égypte : elle se serait

l’hypnotisme : « inlassablement » ; le « on » englobe tout type de regard. B) Humanisation de l’arbre : incarnation de l’humain : rapport avec MV. Rappel : personnification : Le hêtre et l’être peuvent être rapprochés : de l’idée d’un humain / Allégorie de l’âme humaine : l’essence : conscience de sa propre justice : on passe de la justesse à la justice : principe ethique . Si beau; si simple : adverbe intensif binaire : extraordinaire et proche ;description de l’assassin. c) Beauté ambiguë

praticiens du roman aux dents très blanches, habitués à se nourrir des contes, épopées, proverbes, tous genres oraux. Avec Georges Ngal, l’allégorie mêlant la théorie à la pratique, l’importance de l’oralité atteint son paroxysme à travers deux allégories romanesques Giambatista Viko ou le viol du discours africain, et l’Errance. Mais le concept d’oralité, autour duquel se concentre la critique littéraire africaine durant de nombreuses années, est chargé idéologiquement. L’oralité est l’espace de

l'universalité concrète, il faut entendre au contraire la totalité des hommes vivant dans une société donnée (2). » (1) J. N. Findlay, Morality by Convention, Mind, vol. LIII, p. 160. Cf. Arthur N. Prior, Logic and the basis of ethics, p. 84. (2) Jean-Paul Sartre, Situations, II, pp. 192-193. P 45-46 : « Sartre reproche aux écrivains de négliger l'universalité concrète à laquelle ils pourraient, et devraient, s'adresser pour se contenter de l'illusoire universalité abstraite. Mais n'est-ce point l'auditoire

de recherche au CNRS Oswald DUCROT, Directeur de recherche à l’EHESS Ligia-Stela FLOREA, Professeur à l’Université « Babeş-Bolyai » de Cluj-Napoca Olga GALATANU, Professeur à l’Université de Nantes Marion PESCHEUX, Professeur à l’Université de Lille Paul SIBLOT, Professeur à l’Université de Montpellier 3 – CNRS Laboratoire : Centre de recherches sur les conflits d’interprétation CERCI – EA 3824 & IRFFLE Approche argumentative de la modalité aléthique dans la perspective de la Sémantique des