Commentaire Pierrot Maupassant

au sens de «qui s’entend bien à», «qui est habile à» («si entendue pour son âge» [page 105]) - «fornication» (page 330), «forniquer» (page 338) - «furies» (pages 352, 411) - «gamin» comme adjectif : «il trouvait trop gamine sa tête blafarde de Pierrot, serrée aux tempes par le béguin» (page 43) ; - «genièvre» (page 314) ; - «gourme», l’expression «jeter sa gourme» qui se dit des jeunes gens qui font leurs premières frasques : «il avait jeté la gourme de ses rancunes.» (page 501) ; - «gourme»

l’inverse, dans Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo, N’gâ Bountou ne pousse pas le client à la consommation pour la bonne raison qu’elle a d’autres préoccupations; il est vrai qu’elle propose à boire à Kandia et Râhi, mais elle ne fait aucun commentaire face à la jeune femme qui n’a pas l’habitude de consommer de l’alcool. En réalité, le Paradis est un lieu de rassemblement et au cours de la soirée : « (...) les tables se rapprochèrent, les regards se tournèrent vers Kandia, un air de conciliabule

concerne Le Château de l’araignée en 1957 et Ran en 1985, adaptations du Macbeth et du Roi Lear de Shakespeare, ou plus moderne pour L’Idiot d’après Dostoïevski, en 1951). En outre, Mizoguchi a bien réalisé de son côté un film d’après Boule de suif de Maupassant. Quant à Ozu, il connaissait très bien le cinéma occidental dont il avait vu de nombreux films et dont il a sûrement beaucoup appris (car si le cinéma japonais a mis du temps avant de s’exporter, le pays a rapidement importé les grandes œuvres du

s’entend bien à», «qui est habile à» («_si entendue pour son âge_» [page 105]) «_fornication_» (page 330), «_forniquer_» (page 338) «_furies_» (pages 352, 411) «_gamin_» comme adjectif : «_il trouvait trop gamine sa tête blafarde de Pierrot, serrée aux tempes par le béguin_» (page 43) ; «_genièvre_» (page 314) ; «_gourme_», l’expression «_jeter sa gourme_» qui se dit des jeunes gens qui font leurs premières frasques : «_il avait jeté la gourme de ses rancunes_.» (page 501)

Ai sd ?1 t+ chapitre 1 thèses sur le mouvelnent +J FT F{ tr u F( u J o F{ F{ FT () t-{ f.l t-+ -, cA ca () TA /(u Fl FL' +-, ts{ a-l o TA b0 l{ o p (.) 'ö C) t-. F{ C) ts{ GI +J E E o u l-{ o E l.{ a premier commentaire de bergson o des images-mouvement, et des images-temps, au lieu de concepts. L'énorme proportion de nullité dans la production cinématographique n'est pas une objection : elle n'est pas pire qu'ailleurs, bien qu'elle ait des conséqt1ences économiques

envoyé à StDomingue. Revenu en France dégouté par ce qu’il a vu et fait son récit rétrospectif. Parmi les esclaves noirs qu’il a rencontrés, il y a un grand homme, Pierrot. Il sera arrêté par l’oncle de Delmar parce qu’il l’a empêché de tuer un esclave. Delmar le rencontre en prison et va se lier à l’amitié avec lui. Arrive une révolte. Pierrot s’était alors enfermé et parvient à s’échapper. Les bruits de la révolte parcourent la plantation, et on parle d’un chef de guerre puissant et courageux, car il

transcrits : « il n’est écrit que d’un côté de la feuille », « ce caractère long et étroit que nous voyons ici aux inscriptions du temps des Empereurs ». La manière dont on a doré les Actes des Apôtres, et dont cette dorure s’est conservée, suscite ce commentaire navré : « Je crois que nous avons perdu l’usage de cette écriture. » L’écriture de saint Thomas d’Aquin fait l’objet d’une comparaison, « pire que la mienne », alors que, de manière assez surprenante, Montaigne omet de commenter ce qui a été annoté

marine, Comme hier, Si le bon Dieu l’avait voulu), Aragon (Il n’y a pas d’amour heureux), Jean Richepin (Les philistins, Les oiseaux de passage), Antoine Pol (Les passantes). Georges Brassens -7- L’œuvre de Brassens a été l’objet de nombreux commentaires et de nombreuses tentatives d’appropriation (aanpassing) (certains catholiques en particuliers, tel Jacques Charpentreau, essayant de démontrer que cet athée militant est un chrétien qui s’ignore…). Il est vrai que sa thématique n’est pas toujours

par tous comme « le dernier 78 par la communauté occidentale parlant de Voir NERVAL, El Dedischado, op.cit., vers 4 LOTI, Pierre, Aziyadé, Paris : Gallimard,1991 (Folio Classique)., p.123 78 J-L Dufays, cité par AMOSSY, Ruth et HERSCHBERG PIERROT Anne, Clichés et Stéréotypes, Paris : Armand Colin, 2005 (coll. 128), p.76 77 76 27 conteur oriental », les reprend à son compte. Il séduit ainsi son lecteur en l’amenant sur un terrain aussi familier que délicieusement dépaysant. II

Sicle P. 82 Chateaubriand P. 84 Hugo P. 87 Vigny P. 94 Musset P. 96 Lamartine P. 101 Stendhal P. 103 Balzac P. 107 Flaubert P. 115 Maupassant P. 118 Zola P. 125 Baudelaire P. 132 Rimbaud P. 135 Verlaine P. 138 XXme Sicle P. 141 Proust P. 142 Saint-Exupry