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s’agit-il ? 5 2. Théorie sur le théâtre 6 2.1 L’histoire du théâtre 6 2.1.1 Trois perspectives sur le théâtre 6 2.1.2 Les héritages de l’antiquité à l’exemple grec 7 2.1.3 Le théâtre du Moyen Âge 9 2.1.4 L’institution du théâtre dans la première modernité 10 2.1.5 Continuités et variations 11 2.1.6 Le théâtre de la 3ème République : Innovations et consécration 12 2.1.7 Omniprésence du théâtre aujourd’hui 13 2.2 Comment écrire pour le théâtre - un guide 15 2.2.1 Introduction 15 2.2

Maquette 18/11/03 16:06 Page 9 TUROLD La Chanson de Roland Objectifs page 22 - Étudier la poésie du Moyen Âge - Analyser les caractéristiques du registre épique Repères Monument à la fois littéraire et national, La Chanson de Roland a été l’objet de discussions passionnées quant à son origine. Certains, partisans de la thèse de « l’individualisme », y voient la création personnelle d’un poète de génie (Turold) ; d’autres, adeptes de la thèse du « traditionalisme », font du

nord du Michigan, il chassa et pêcha en compagnie de son père qui l’initia à la vie dans la nature et l’incita au courage physique et à l’endurance. De plus, il le suivit dans les réserves où il soignait des Indiens malades et recueillit ainsi ses premières impressions de la douleur et de la mort. Il fréquenta l’école d’Oak Park puis la « high school » du canton de River Forest. Il aimait l’anglais mais les autres matières ne l’intéressaient pas. Il écrivit des articles pour le journal de l’école

violet la face cachee des people 336:int 17/04/09 15:14 Page 1 violet la face cachee des people 336:int 17/04/09 15:14 Page 2 violet la face cachee des people 336:int 17/04/09 15:14 Page 3 LA FACE CACHÉE DES PEOPLE violet la face cachee des people 336:int 17/04/09 15:14 Page 4 DU MÊME AUTEUR Yannick Noah, le guerrier pacifique, Fayard, 2009. Johnny & Sylvie, Alphée, 2008. Jamel Debbouze, l’As de cœur, Fayard, 2008. Deneuve, l’Affranchie, Flammarion

ISBN 9782724632095 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2011-4-page-99.htm -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Distribution électronique Cairn.info pour Presses de Sciences Po. © Presses de Sciences Po. Tous droits réservés pour tous

mieux analyser les cas qu’il veut étudier ; il parle même de « confrères » pour manifester l’analogie de sa démarche avec celle des cliniciens. Les expressions comme « le corps souffrait horriblement » ou « on voyait que les nerfs se nouaient en lui »( page 158) peuvent être comparées au discours d’un clinicien, qui ne décrit pas un homme, mais un cas organique anormal. Il emploie donc du vocabulaire emprunté à la médecine, évoquant « la fièvre » (p.159)les « membres roidis et brisés », « mes nerfs

nous il n'y avait pas loin. Il ne me manquait que la voix; cette voix que je cherchais et qui balbutiais sur mes lèvres d'enfant, c'était la poésie. Voici les plus lointaines traces que je retrouve, au fond de mes souvenirs presque effacés, des premières révélations du sentiment poétique qui allait me saisir à mon insu, et me faire à mon tour chanter des vers au bord de mon nid, comme l'oiseau. J'avais dix ans; nous vivions à la campagne. Les soirées d'hiver étaient longues; la lecture en abrégeait

mieux analyser les cas qu’il veut étudier ; il parle même de « confrères » pour manifester l’analogie de sa démarche avec celle des cliniciens. Les expressions comme « le corps souffrait horriblement » ou « on voyait que les nerfs se nouaient en lui »( page 158) peuvent être comparées au discours d’un clinicien, qui ne décrit pas un homme, mais un cas organique anormal. Il emploie donc du vocabulaire emprunté à la médecine, évoquant « la fièvre » (p.159)les « membres roidis et brisés », « mes nerfs

d’ailleurs beaucoup inspiré des doctrines de Claude Bernard en matière de médecine expérimentale. L’imagination qui était autrefois célébrée comme une qualité chez un romancier, est, selon Zola, devenue un défaut, le sens du réel devenant la qualité première des auteurs. Il fait l’éloge de la description parce qu’elle permet de dresser « un état du milieu qui détermine et complète l’homme ». « Montrer le milieu peuple et expliquer par ce milieu les mœurs peuple ; comme quoi à Paris, la soûlerie, la

chez eux, mais l’ambiance est tendue entre les époux. De plus, les problèmes d’affaires de M. Arnoux n’arrangent pas les choses. Mme Arnoux est envoyée chez Frédéric pour lui demander de l’aide grâce à son contact avec le banquier M. Dambreuse, un ami de la famille. Mais depuis l’aide fournie aux Arnoux, plus de nouvelles. Un jour, il se rend donc en campagne sur leur domaine en sachant que Mme Arnoux s’y trouvait seule. Il fit quelques allusions sur ses sentiments, que Mme Arnoux rejeta en faisant