Commentaire Sartre La Honte

........ 108 Les raisons du succès d'Hitler................................................................................... 109 Éducation : dressage ou respect ? ............................................................................. 109 Sartre : la peur d'être un homme ................................................................................... 110 Iconographie........................................................................................................................

extérieure étant octroyée par la générosité d’autrui. » Mme de Staël, De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations. 2) « Un homme n’est rien s’il n’est pas contestant. Mais il doit aussi être fidèle à quelque chose. » Jean-Paul Sartre, entretien accordé au Nouvel Observateur en mai 1968. 3) « Les hommes qui n’aiment pas le bonheur l’appellent médiocrité. » Françoise Parturier, Lettre ouverte aux femmes, Albin Michel. 4) « L’adversité sans doute est un grand maître, mais il fait

le dit Findlay : Nous en appelons par-dessus les têtes irréfléchies de la « compagnie présente » à la « grande compagnie des personnes réfléchies » où qu'elle puisse être située dans l'espace ou le temps (1). Un pareil appel est critiqué par J.-P. Sartre dans ses remarquables conférences sur l'auditoire de l'écrivain : Nous avons dit que l'écrivain s'adressait en principe à tous les hommes. Mais, tout de suite après, nous avons remarqué qu'il était lu seulement de quelques-uns. De l'écart entre le

furent également terrorisés par cette peur et cette timidité si affligeantes. « La bouche se remplit de coton et le pouls devient fou », « la langue se colle au palais et empêche d´articuler un seul mot », constituent seulement quelques exemples des commentaires de différents orateurs à propos de leurs premiers discours en public. Ne nous voilons point la face, parler en public comporte une certaine responsabilité, un certain trouble, un certain effort et une certaine excitation. Cicéron, déjà, dit il

Ai sd ?1 t+ chapitre 1 thèses sur le mouvelnent +J FT F{ tr u F( u J o F{ F{ FT () t-{ f.l t-+ -, cA ca () TA /(u Fl FL' +-, ts{ a-l o TA b0 l{ o p (.) 'ö C) t-. F{ C) ts{ GI +J E E o u l-{ o E l.{ a premier commentaire de bergson o des images-mouvement, et des images-temps, au lieu de concepts. L'énorme proportion de nullité dans la production cinématographique n'est pas une objection : elle n'est pas pire qu'ailleurs, bien qu'elle ait des conséqt1ences économiques

l'oeuvre de Baudelaire, Neuchâtel, La Baconnière, 1974. 70. M. Milner, Baudelaire, enfer ou ciel, qu'importe!, Plon, 1967,p. 100. 71. Mon coeur mis à nu, III, Pl. I, p. 677, Sur la problématique baudelairienne du naturel, voir les analyses de J.-P. Sartre, G. Blin et F. Leakey. 72. Voir notamment les chapitres X à XII du Peintre de la vie moderne, Pl. II, p. 713 à 722. 73. C'est ce drame que Baudelaire reconnaît dans Wagner (Pl. II, p. 794 et suiv.). 74. Voir G. Blin, Le Sadisme de Baudelaire.

actes. Et donc, s’il choisit la violence, il peut aussi faire le choix de la non-violence. Notons par ailleurs que le conflit, la force et l’agressivité n’engendrent pas nécessairement la violence. 2. LE CONFLIT Comme le disait Sartre : « Le Péché originel, c’est mon surgissement dans un monde où il y a l’autre ». L’autre, en effet, c’est celui dont la liberté menace ma propre liberté, dont les désirs viennent s’opposer à mes propres désirs, dont les projets viennent contrariés

préparait chez Mme de Bargeton et chez Lucien un désenchantement sur eux-mêmes dont la cause était Paris » (pages 157, 192). Pourtant, il reproche à Paris l’absence de bons hôtels (« Louise s’y trouve dans une de ces ignobles chambres qui sont la honte de Paris où, malgré tant de prétentions à l’élégance, il n’existe pas encore un seul hôtel où tout voyageur riche puisse retrouver son chez-soi [...] chambre froide, sans soleil, à rideaux passés, dont le carreau frotté semblait misérable, où le meuble

préparait chez Mme de Bargeton et chez Lucien un désenchantement sur eux-mêmes dont la cause était Paris » (pages 157, 192). Pourtant, il reproche à Paris l’absence de bons hôtels (« Louise s’y trouve dans une de ces ignobles chambres qui sont la honte de Paris où, malgré tant de prétentions à l’élégance, il n’existe pas encore un seul hôtel où tout voyageur riche puisse retrouver son chez-soi [...] chambre froide, sans soleil, à rideaux passés, dont le carreau frotté semblait misérable, où le meuble

lorsqu’elle raconte la fuite de la famille pendant la guerre, et comment son frère Avner se sent coupable pour une faute qu’il n’a jamais commise : Emma. […] Avner ne parle jamais de ce voyage pendant la guerre. J’ai toujours pensé qu’il avait eu honte par la suite de cette saga quatre étoiles. Qu’il s’en voulait, peut-être de ne pas avoir participé au destin collectif… Oui, c’est une chose qui l’a marqué dans sa vie. (p. 146) Coupable d’avoir échappé à la tragédie du peuple juif grâce à son père