Commentaire Sigmund Freud Présenté Par Lui Méme

3/518 Table des Matières Page de Titre Table des Matières Page de Copyright DU MÊME AUTEUR Dédicace Préface Introduction 1 2 3 4 5/518 5 PREMIÈRE PARTIE - ATHÉOLOGIE I - L'ODYSSÉE DES ESPRITS FORTS 1 2 3 4 5 II - ATHÉISME ET SORTIE DU NIHILISME 1 2 6/518 3 4 5 III - VERS UNE ATHÉOLOGIE 1 2 3 4 5 6 7 8 7/518 DEUXIÈME PARTIE - MONOTHÉISMES I - TYRANNIES ET SERVITUDES DES ARRIÈREMONDES 1 2 3

son orientation professionnelle. Fort heureusement, dans les années qui viennent, les départs à la retraite vont s’accélérer, passant de 400 000 par an environ à plus de 600 000. Récession ou pas, les entreprises et administrations devront recruter même si le gouvernement venait à reculer encore l’âge légal du départ en retraite. Oublier les préjugés sur les métiers. Depuis mon plus jeune âge je savais « ce que je ferai quand je serai grande ». Les études de droit s’imposaient à moi probablement

ment, les sifflements d'oreille et les fautes d'orthographe, Il fait chanter juste, il apprend à bien lire, il relève les volontés défaillantes et redonne la mémoire à ceux qui l'ont perdue. On dit quelquefois qu'il fait entendre le sourds; on a même écrit qu'il rendait les enfants intelligents . . . Ce docteur-miracle, c'est le Professeur Alfred Tomatis. Chercheur, inventeur, théoricien, il est avant tout thérapeute. Son domaine, son champ d'expérience, sa passion : l'oreille. Tout ne part peut-être

d’ajouter au langage des hommes un seul titre universellement connu. Comment se faire des amis est devenu un tel titre, cité, paraphrasé, enseigné, utilisé dans quantité de contextes différents allant du roman à la caricature politique. L’ouvrage lui-même a été traduit dans presque toutes les langues. Chaque génération le redécouvre et en tire parti. Mais alors, pourquoi modifier un livre qui a toujours un tel impact? Dale Carnegie, tout au long de sa vie, n’a cessé de corriger son oeuvre. Comment se

problématique. A l'échelon de la santé publique comme à celui des individus, plusieurs problèmes sont posés. Les uns concernent les aliments et leur mode de production (leurs propriétés gustatives et nutritionnelles). Les autres mettent en cause le mangeur lui-même, ou ce que les médecins appellent son « comportement alimentaire ». En premier lieu, la période récente, en particulier depuis 1996 et la première crise de la vache folle, a propulsé au premier plan de l'actualité et du débat public la question

et des pistes de recherche en relation avec les programmes scolaires (bulletins officiels du primaire et du secondaire). Ce dossier est remis aux enseignants à l’occasion des visites préparées, au cours desquelles un conférencier du Jeu de Paume présente les œuvres et le projet de l’exposition. Outre la préparation de la venue des élèves aux expositions, ces séances sont destinées à élaborer les axes de travail qui seront développés en classe. Ce dossier est publié à l’occasion des expositions

De RosnayBAT 15/12/05 10:31 Page 3 LA RÉVOLTE DU PRONÉTARIAT De RosnayBAT 15/12/05 10:31 Page 4 DU MÊME AUTEUR Une vie en plus. La longévité, pour quoi faire ?, avec François de Closets, Jean-Louis Servan-Schreiber et Dominique Simonnet, Seuil, 2005. La Plus Belle Histoire du monde. Les secrets de nos origines, avec Hubert Reeves, Yves Coppens et Dominique Simonnet, Seuil, 1996. L’Homme symbiotique. Regards sur le troisième millénaire, Seuil, 1995. Les Rendez-vous du

facteur de différenciation entre l’animal et l’homme, comme force déterminant la nature même des individus, et comme façonnière des relations sociales et politiques. L’emphase est mise très nettement sur le monde réel; l’activité matérielle a davantage d’importance que la volonté intellectuelle, affirment les auteurs, parce que cette dernière est directement modelée par le contexte historique et matériel, lui-même façonné par les moyens de production. Cela représente un renversement par rapport à l’idéologie

l'antiquité tardive, alors que le christianisme se développait et que des auteurs chrétiens réclamaient qu'il soit lui aussi considéré comme une religion, cette façon d'envisager des religions s'éclipse progressivement au profit d'une considération déjà présente avant le christianisme selon laquelle la religion est le fait de s'occuper d'une nature divine supérieure à l'homme. En ce sens, depuis l'Antiquité jusqu'au seuil de l'époque moderne, le terme religion au singulier désignait une vertu7. Avec Cicéron

de les distinguer de leurs avatars modernistes, postmodernes, avant-gardistes ; de plus, la notion de « moderne » ne recoupe pas la même période selon que l’on se place dans une perspective littéraire, musicale, picturale, cinématographique, architecturale, ou philosophique, sociologique, historique2 ; on constate enfin que le terme ne recouvre pas exactement le même sens dans les différentes langues où la modernité s’est érigée en valeur esthétique (on parle ainsi, en anglais, de modern tradition)