Commission économique pour l'Afrique

issu de la communication « The Poverty Reduction Strategy Paper (PRSP) : Incarnation of a new development aid paradigm or a SAP sub-product ? Review of the PRSP process in Benin », que nous avons présentée lors de la Conférence internationale sur L’Afrique et les défis de développement du nouveau millénaire, CODESRIA – TWN Africa, Accra, 23-26 avril. 2 Fonds Monétaire International (FMI) et Banque Mondiale. 3 Les traducteurs des Institutions de Bretton Woods semblent avoir été divisés un certain temps

également à mettre en œuvre une politique étrangère reposant sur les valeurs européennes communes et sur le respect de la dignité de la personne. Entre 1977 et 1980, elle ratifie les Pactes internationaux relatifs aux droits civils, et aux droits économiques et culturels des Nations Unies, devient membre du Conseil de l'Europe et signe la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Le 5 février 1979, les négociations pour l'adhésion de l'Espagne aux Communautés

compte dans les enjeux actuels de l’Afrique, s’inscrivant d’une part dans la globalité des défis de l’Afrique mais ayant aussi ses propres spécificités qui font qu’elle se doit d’être prise à part dans l’ensemble de la population africaine. Au sens des Nations Unies, le terme « jeune » s’applique sur le continent aux individus non mariés ou non indépendants économiquement ayant entre 15-24 ans. La jeunesse africaine apparaît comme primordiale dans l’avenir de l’Afrique, cette jeunesse étant confrontée

Niger: Présentation du secteur financier Le Niger est l’un des pays les plus pauvres au monde. L’activité économique est en grande partie de nature informelle, et le pays est confronté au faible niveau de développement de l’infrastructure et à des sécheresses fréquentes. Une proportion d’environ 80 % de la population dépend de l’agriculture et de la pêche qui fournissent ensemble 40 % du PIB. Le Niger dispose de ressources minières substantielles, et notamment d’uranium et d’or, et les activités

FINANCIERES EXTERIEURES DES ETATS MEMBRES DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) Le Conseil des Ministres de l'Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) VU le Traité de l'UEMOA, notamment en ses articles 2, 6, 16, 21, 42, 43, 45, 76, 96, 97 et 98 ; VU le Traité de l'Union Monétaire Ouest Africaine (UMOA), notamment en ses articles 2, 3 et 34 ; VU les Statuts de la Banque Centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest (BCEAO), annexés au Traité de l'UMOA, notamment

capitaux (GAP) Groupe anti-blanchiment de l’Afrique orientale et australe (GABAOA)Groupe d’action financière sur le blanchiment de capitaux en Amérique du sud (GAFISUD) Groupe Eurasie Groupe d'Action Financière du Moyen-Orient et de l'Afrique du Nord (GAFIMOAN). D’autres organisations internationales sont actives dans la lutte contre le blanchiment d’argent comme Interpol, qui dispose d’une expertise spécialisée dans les enquêtes financières ou encore La Commission européenne qui a quant a elle, un rôle

système international à travers son influence politique, culturelle, sociale et économique. Dans ces quelques lignes nous allons tenter en premier lieu de présenter brièvement les débuts ou les origines de la Francophonie. En second lieu, nous allons présenter quelques contributions qu’apporte l’organisation dans la gouvernance mondiale, puis quelques défis qu’elle affronte sur la scène internationale ; et enfin, l’Afrique et la Francophonie dans la gouvernance mondiale aujourd’hui. Les Origines

MODIFIE DE L'UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE (UEMOA) PREAMBULE Le Gouvernement de la République du Bénin, Le Gouvernement du Burkina Faso, Le Gouvernement de la République de Côte d’Ivoire, Le Gouvernement de la République de Guinée-Bissau, Le Gouvernement de la République du Mali, Le Gouvernement de la République du Niger, Le Gouvernement de la République du Sénégal, Le Gouvernement de la République Togolaise, - Fidèles aux objectifs de la Communauté Economique Africaine et de la

1. I.2.2. I.2.3. II. II.1. II.1.1. II.1.2. II.1.3. II.1.4. II.2. II.2.1. II.2.2. II.2.3. II.2.4. II.2.5. II.2.6. II.3. II.3.1. II.3.2. II.3.3. II.4. II.4.1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL . . . . . . . . . . . . . . . . . . Environnement économique international . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Contexte économique dans l’UEMOA . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Vue d’ensemble . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Impact de la crise

Équatoriale, Tchad) et doter les pays d’Afrique Centrale d’un cadre réglementaire pour les Etablissement de Microfinance. On peut dire que cette réglementation est l’équivalent de la loi PARMEC pour l’Afrique de l’Ouest. Mais l’approche retenue par le Comite Ministériel de l’Union Monétaire de l’Afrique Centrale est assez différente de celle adoptée dans la loi Parmec. L’analyse comparative des deux «réglementations » pourra faire l’objet d’un prochain BIM. Si l‘un d’entre vous souhaitait faire