Communauté d'intérêt

|MEMORANDUM DE REUNION | |Rédigé par NAKOULMA R.J.FIRMIN | |Service : Secrétariat technique du PNDS | |Lieu |Salle de réunion du PADS

tentative, de la part de leurs auteurs, de surmonter la discussion sur les insuffisances du libéralisme politique, qui oppose traditionnellement l’individu à la communauté comme valeurs cardinales (celle de l’individu étant revendiquée par le libéralisme, celle des communautés culturelles par le communautarisme et celle de la communauté politique par le républicanisme). Il s’agit de conserver l’individu comme sujet du droit, mais de revenir sur le renvoi inconditionnel des identités collectives,

ses clients. • À concilier économie, développement, écologie et social. • À respecter les sites sur lesquels l’Enseigne s’implante. • À poursuivre ses actions en faveur de l’enfance. • À s’impliquer de façon dynamique dans le développement des communautés où ses restaurants sont implantés. À cet effet, l’enseigne a choisi : • De mettre en place des process de contrôle très stricts à tous les stades de la fabrication de ses produits. Une rigueur qui s’applique aussi bien aux fournisseurs qu’aux

définition semble essentielle : L’Etat représente la Nation, le pays, mais également la personne morale de Droit public en charge de l‘Intérêt général. L’Etat est donc un être « abstrait » dont les citoyens attendent beaucoup. Pour assurer sa mission d’intérêt général, L’Etat collecte l’impôt en général et le redistribue. La tradition française est de viser à une société plus juste, d’où un Etat redistributeur des richesses collectées par l’impôt. C’est dans ce contexte que nous pouvons apercevoir le

premier stage de formation, de l’effectuer au sein d’une structure d’accueil pour personnes en situation de grande précarité et prioritairement Sans Domicile Fixe. Ce stage de sept mois dans une association, à Lille, qui se revendique être aussi une communauté, m’a amené à observer, questionner et faire l’expérience de pratiques d’accompagnement avec ce public. Majoritairement des hommes, certains d’entre eux s’autorisent à adresser, explicitement ou implicitement, des demandes affectives et sexuelles

Vivre en communaute est aujourd'hui une necessite. Nous pouvons dire sans embage que la survie de notre planete depend en grande partie du mode des liens que nous tissons les uns avec les autres. En fait, la desharmonie n'amene nulle part. Elle n'engendre que la panique et encourage un individualisme et egocentrime a outrance. Nous ne survivrons pas parce que nous faisons de grands progres techniques, de grandes avancees scientifiques, des mesures visant a redresser l'economie mondiale en crise

LA NON-DISCRIMINATION A L'EMBAUCHE Le principe de la non-discrimination vise à assurer l'égalité de traitement entre les individus quels que soient la nationalité, le sexe, la race ou l'origine ethnique, la religion ou les croyances, un handicap, l'âge ou l'orientation sexuelle. La non-discrimination interdit aux employeurs de prendre en compte certains éléments inhérents à la personne du salarié ou à ses activités pour prendre une décision le concernant (par exemple lors de l’embauche, d’un

Skutnabb-Kangas T. (spécialiste du multilinguisme) " la possibilité de fonctionner dans deux langues, au sein de communautés soit unilingues soit bilingues, conformément aux exigences socioculturelles de compétence communicative et cognitive individuelles par ces sociétés et par l'individu lui-même, au même niveau que les locuteurs natifs, ainsi que la possibilité de s'identifier positivement aux deux communautés ou à tout ou partie de ces groupes linguistiques et de leurs cultures. [...] Un profil idéal de bilinguisme

l’individu, qui se retrouve ainsi effacé au profit de l’ordre collectif. « L’homme tient de la nature ses droits fondamentaux. Mais ils ne lui sont garantis que par les communautés qui l’entourent : la famille qui l’élève, la profession qui le nourrit, la nation qui le protège. » Philippe Pétain, article I des principes de la Communauté C’est à cause notamment de ces dérives que cette notion est aujourd’hui déconsidérée. Paradoxe: entre rejet et regain du corporatisme, dans un contexte de mutation

De nos jours un phénomène mondial s'exerce sur Internet : Facebook. Qu'est-ce que Facebook ? Il s'agit d'un réseau social créé par Mark Zuttenberg sur la toile en 2004 pour l'université de Harvard. Son but ? Créer un réseau communautaire pour les anciens étudiants de l'université en reprenant le principe du traditionnel « Face Book », ou trombinoscope, c'est-à-dire l'album souvenir. En 2006 Facebook devient accessible à tout le monde. Cette ouverture au grand public a facilité les échanges entre