Communauté magyare de Roumanie

(1807-1808) Saint Empire Romain Germanique (962-1806, réf. Passé) « Romantisme allemand » « Nation romantique » Nation = Génie Spécificité culturelle ou ethnographique Génie allemand (Volksgeist) unique « Nation inconsciente » Ethnique ou culturelle Communauté d'ancêtres Nation culturelle la nation organise l'état et s'incarne dans lui Signes distinctifs Avenir Volonté de vivre ensemble Héritage du passé Valeurs communes (devises), Sang, langues, mœurs, culture, marques communes (drapeau, religion

nation telles qu’on en a aujourd’hui apparaissent au 18e siècle. Ces deux grandes conceptions (française et allemande). La conception française est la conception de la nation contrat. La nation repose sur la libre association des citoyens en une communauté. Cela rejoint les théories du contrat de Rousseau. Face à cette conception, on trouve la conception allemande qui est la nation culture, la nation histoire. On ne devient pas allemand en acceptant un contrat mais on naît allemand. C’est un héritage

réaction romantique au concept universaliste des Lumières, elle établit la nation comme le jus sanguinis, fondé sur l’enracinement dans le passé. Cette solidité historique, irrévocable, transcende les individus : le VOLKSGEIST, la nation fondée sue une communauté d’âme, de sang, de langue, de culture. A ce concept s’oppose le modèle français, prôné par Renan en 1882 dans Qu’est-ce qu’une nation ? il fait reposer la nation sur le droit des peuples à disposer d’eux même : le jus soli, une libre association

Alain Resnais 1956 (U.R.S.S.) . Œuvres : Un printemps tourmenté par Alexander Medvekine 1956 (Grande Bretagne). Action collective des artistes : Le mouvement « Free cinéma » est impulsé par L. Anderson et K. Reisz 1967 1957 (Canada) . Œuvres : Communauté juive de Montréal, par Fernand Dansereau 1957. (France) . Œuvres : Ô saison , Ö chateau d’Agnès Varda, Jaguar et Moi, un Noir, par Jean Rouch, Le mystère de l’atelier 15 par Alain Resnais 1957 (Pays Bas.) . Œuvres : Paris à l’aube, de Johan Van

un moyen parmi d’autres de permettre aux détenus de se socialiser à travers une activité ludique. Il en va de même pour les pays en guerre. Les actions menées par «Sports sans frontières» au Kosovo pour faire coopérer les enfants des différentes communautés sont, à ce niveau, exemplaires. Ce n’est donc pas le sport qui est en cause, mais bien ce que les hommes en font ou veulent en faire. Il est important que les hommes, quels que soient leurs degrés d’implication, d’intervention ou de décision au