Comparaison Cocteau Sophocle

l'éloge et le rejet. Ce qui revient à dire que le lecteur, au moment où il entame la lecture d'une œuvre nouvelle, est toujours déjà imprégné des codes véhiculés par ses contemporains et ne parvient à établir un jugement que dans le cadre d'une comparaison implicite avec ce qui appartient au domaine de sa connaissance. Du point de vue de l'écrivain, la connaissance du contexte littéraire qui a vu naître son œuvre n'est pas moins essentielle, dans la mesure où elle permet de comprendre sa "stratégie

les lois de l’univers qui sont immuables et constate que certaines causes entraînent toujours les mêmes effets. Solon essaie de faire de même avec le corps social. Il essaie d’en dégager des règles, des principes, des effets. Ainsi il déclare en comparaison avec les phénomènes naturels : « du nuage viennent neige et grêle, à l’éclair fait nécessairement suite le tonnerre et, du fait d’hommes trop puissants, une cité va à la ruine et le demos tombe entre les mains d’un seul ». Pour lui c’est donc le

adjectifs soulignés : La fraîcheur de l’air était plus intense, plus pénétrante que du vrai froid. P. Loti Ma filleule liette a dix ans : c’est une petite fille très raisonneuse. J. Lemaître Certains adjectifs n’admettront jamais de degrés de comparaison : Ceux dont le sens même exprime un degré déjà élevé : extrême, suprême. Ceux qui ont un sens en lui-même absolu et interchangeable : circulaire, carré, triangulaire. Les adjectifs dits relationnels : une commission très parlementaire. Il existe

Qu’est-ce que je vais faire ? » (p. 92). Il finit par se dégager de toute responsabilité : « Je n’ai jamais été là (…) Tout s’est fait sans moi. » (p. 95), ce qui n’empêche pas Clov de lui rappeler la mère Pegg « morte d’obscurité » (p. 97). En comparaison, Clov semble davantage conscient de la perversité de son propre comportement et du décalage tragique entre son action et sa volonté : « Il y a une chose qui me dépasse (…) Pourquoi je t’obéis toujours. Peux-tu m’expliquer ça ? » (p. 97). Leur crainte

(Michel de Montaigne) L´amour naît du souvenir, vit de l´intelligence et meurt par oubli. (Ramón Llul) Marie-toi ; si par hasard tu trouves une femme bonne, tu seras heureux ; sinon, tu deviendras philosophe, ce qui est toujours utile pour un homme. (Sophocle) L´amour est comme la sauce mayonnaise : lorsqu´elle tourne, il faut la jeter, et commencer de nouveau. (Enrique Jardiel Poncela) Le mariage se base sur la théorie que lorsque un homme découvre une marque de bière avec une saveur particulière, il

Montaigne) 3 L´amour naît du souvenir, vit de l´intelligence et meurt par oubli. (Ramón Llul) 3 Marie-toi ; si par hasard tu trouves une femme bonne, tu seras heureux ; sinon, tu deviendras philosophe, ce qui est toujours utile pour un homme. (Sophocle) 3 L´amour est comme la sauce mayonnaise : lorsqu´elle tourne, il faut la jeter, et commencer de nouveau. (Enrique Jardiel Poncela) 3 Le mariage se base sur la théorie que lorsque un homme découvre une marque de bière avec une saveur particulière

siècle la notion de genre tend à devenir problématique. Les dramaturges s’ingénient à donner des sous-titres115 à leurs œuvres, qu’ils qualifient d’« anti-pièce » (Ionesco pour La Cantatrice chauve) ou de « tragédie en un acte et un intervalle » (Cocteau pour Orphée). C’est là le signe que le théâtre contemporain s’est libéré des étiquettes des genres soulignant son rejet des codes, « mais peut-être aussi le doute profond qui désormais l’habite »116. En dépit de ces profondes mutations, comme l’écrit

P. 217 Aym P. 223 Perec P. 228 Pour Mmoire P. 231 France P. 232 Rolland P.233 Giraudoux P. 234 Romains P. 235 Mauriac P. 236 Cendrars P. 237 Cocteau P. 238 de Montherlant P. 239 Breton P. 240 Malraux P. 241 Queneau P. 242 Yourcenar P. 243 de Beauvoir P. 244 Sagan P. 245 XXIme Sicle P. 246 Nothomb