Comparaison Entre Beaumarchais Et Moliere

les salles, établit une analogie qui peut paraître paradoxale entre une pièce de théâtre et un match. En quoi ces deux phénomènes se ressemblent-ils ? La comparaison, un peu provocatrice, n'a-t-elle pas des limites, définies par les spécificités du genre théâtral ? Au fond, pièce et match n'ont-ils pas des rôles sensiblement différents ? I. Des ressemblances réelles Le recours à un vocabulaire commun témoigne des ressemblances entre théâtre et match : au théâtre comme dans un stade, on parle d'action ;

Par exemple dans Dom Juan, de Molière, lorsque celui-ci monte vers la statue, il y a des effets spéciaux mis en place: des marches apparaissent et le mène à la statue, ce qui rend le moment spectaculaire. Pour finir, ce qui caractérise bien évidemment le théâtre est son public. En réalité, le public est aussi considéré comme acteur dans la pièce. Ils ont une importance car les comédiens commencent parfois des scènes en partant du public (comme dans L'Avare de Molière où Harpagon se trouve dans les

comédie est un genre théâtral remontant à l’antiquité avec des auteurs latins comme Plaute et Térence. Mais c’est aux XVIIe et XVIIIe s. que des dramaturges talentueux comme Molière, Beaumarchais ou Marivaux définissent les Lettres de Noblesse de la comédie, en s’intéressant plus particulièrement à un thème : les relations entre maîtres et valets. Selon un critique contemporain, dans le théâtre de Marivaux, on assiste à « l’affrontement théâtral de deux langues au moins : la langue des maîtres, dans

les salles, établit une analogie qui peut paraître paradoxale entre une pièce de théâtre et un match. En quoi ces deux phénomènes se ressemblent-ils ? La comparaison, un peu provocatrice, n’a-t-elle pas des limites, définies par les spécificités du genre théâtral ? Au fond, pièce et match n’ont-ils pas des rôles sensiblement différents ? I. Des ressemblances réelles Le recours à un vocabulaire commun témoigne des ressemblances entre théâtre et match : au théâtre comme dans un stade, on parle d’action

plus de facilités à comprendre l’enseignement qui se trouve dans le récit et retiendra d’autant mieux la morale. Par exemple, dans Les Fables de La Fontaine, on retrouve un style d’écriture adapté même aux plus jeunes ce qui est simple à lire. Les comparaisons que fait le fabuliste sont parfois amusantes et rendent le texte distrayant mais l’on retrouve à la fin une moralité de laquelle le lecteur doit tirer une leçon. Ses différentes fables dénoncent chacune un vice de la société tel que l’injustice

à un pantin ; inconséquence juvénile des personnages…) Des Causes et des effets : du comique au rire. Aristote La Poétique : Le comique est vu comme la laideur « sans douleur ni destruction ». C’est « une partie du laid ». Il existe un lien entre comique et bas dans la tradition du comique théâtral. (farce : bas corporel ; comédie : bas corporel jusqu’au XVIIème) Un spectacle comique ne donne à rire que s’il n’occasionne pas de dommage pour celui dont on rit. La comédie consiste en la représentation

L’invitation à penser et à juger par soi-même. 4 - L’optimisme qui comprend le mouvement de l’histoire comme le progrès parallèle du bonheur, du savoir et de la vertu. II – Connaissances sur Pierre Augustin Caron de Beaumarchais (1732-1799) A) Ecrivain Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, naît le 24 janvier 1732 à Paris. Son père, horloger, lui apprend le métier. Il est surtout connu pour ses talents d'écrivain. C’est l’une des figures emblématiques du siècle des Lumières, il est considéré comme

c’est le cas de la commedia dell’arte par exemple, avec ses Arlequins et ses Colombines. Ces noms sont le plus souvent liés à la tradition, le plus souvent orale, et intégrés aux œuvres écrites. Molière donne naissance à Argan, Sganarelle, Cléante, Harpagon et tant d’autres ; donner un nom ici, c’est assumer la paternité d’une création, celle d’un personnage fictif qui a pour vocation de s’incarner en voix et gestes dans une présentation théâtrale

champ lexical de la laideur physique. Ils montrent que la Thénardier a un aspect déplaisant. Question: Quelle image appuie l’idée de la laideur physique de la Thénardier dans le deuxième paragraphe? Réponse attendue : - Il s’agit de la comparaison hyperbolique qui grossit ce défaut: « Son large visage criblé de taches de rousseur avait l’air d’une écumoire ». L15. Question: Relisez maintenant le deuxième paragraphe. Relevez les indices qui renvoient au portrait moral de la Thénardier

La lumière : elle joue un rôle prépondérant dans le poème, avec une opposition entre la luminosité de la jeune fille (sa fleur « brille », c'est un « doux rayon » qui « lui[t] ») qui « éclaircirait » la « nuit profonde » dans laquelle est plongé le poète. La jeune fille : elle est emblématique (utilisation du déterminant défini), gaie et printanière. Cette idée de renouvellement est mise en valeur par la comparaison « comme un oiseau » et les adjectifs « vive et preste », « nouveau », sans oublier