Comparer Deux Philosophes

que l’Homme serait conduit par son libre-arbitre, une volonté dénuée de toute contrainte constituant une faculté innée pour chacun de nous. Dans son texte, l’auteur va au-delà de la critique du traditionnel dogme de la volonté cher à de nombreux philosophes depuis l’Antiquité. On retrouve la remise en cause de l’idée même de liberté, l’illusion d’être maître de ses choix et l’impossibilité d’échapper à sa finitude mais la fatalité chère à Nietzsche est ici doublée d’un certain cynisme selon lequel

dans leurs pratiques scientifiques. ------------------------------------------------- Évolution de la notion de méthode scientifique La méthode scientifique, c'est-à-dire la façon d'accéder à la connaissance, est l'objet de l'attention des philosophes depuis l'Antiquité. Il s'agit, le plus souvent, de décider de la bonne méthode scientifique, qui devient dès lors une notion normative. Il convient de distinguer ces réflexions philosophiques des pratiques effectives des scientifiques. Cependant

féminins. Volonté de se distinguer, d’être raffinés et d’enrichir la langue française avec sensibilité.  Les moralistes: La Bruyère, La Fontaine, La Rochefoucauld. On montre les défauts de l’homme et on réfléchit à la condition humaine.  Des grands philosophes: Pascal et Descartes. Le XVIIIème siècle: Le siècle des Lumières 1715- 1789 Repères  Le XVIIIème siècle est un siècle de bouleversement économiques, intellectuels et sociales.  1715: mort de Louis XIV  1799: coup d’Etat de Bonaparte

simple être vivant, mais il est au contraire devant le monde : la conscience, c'est la distance qui existe entre moi et moi-même et entre moi et le monde. Y a-t-il une science qui permet de connaitre l’Homme dans sa totalité ? Conscience : Composé de deux mots : Cum (science) et science (cumscientia) donc ce qui est accompagné de savoir. Jusqu'à la fin du 18eme siècle , le mot conscience se définit comme une conscience morale ; ce qui veux dire la propriété qu’a l’esprit de porter des jugements normatifs

autrement dit, des Monsieur Jourdain de la philosophie. Nous faisons de la philosophie sans le savoir. Une métaphysique est à l’œuvre dans les façons les plus spontanées de penser, d’agir et de sentir. Je convoquerai donc pour cette enquête deux types de philosophes : ceux qui, le plus souvent à notre insu, sont passés dans les mœurs et sont en quelque sorte devenus mentalité, et ceux qui, en nous éclairant sur cette mentalité même, peuvent éventuellement nous aider à penser autrement. Mais qui nous

1 L’extrait de « Candide ou l’Optimiste » (1759), dans lequel Voltaire dénonce l’absurdité de la guerre, plus précisément de la bataille entre le Roi de France et le Roi de Prusse, est composé de deux parties thématiques. Dans ce qui suit, j’examinerai, dans une première partie, la vision de la guerre selon le point de vue de Voltaire. Ensuite, dans une seconde partie, j’analyserai les évènements à travers les yeux du protagoniste Candide. D’abord Voltaire donne à sa description de la guerre

Auteur : Dumarsais Titre : Article Philosophe L'extrait: Les autres hommes sont déterminés à agir sans sentir ni connaître les causes qui les font mouvoir, sans même songer qu'il y en ait. Le philosophe, au contraire, démêle les causes autant qu'il cst en lui. [...] La vérité n'est pas pour le philosophe une maîtresse qui corrompe son imagination, et qu'il croie trouver partout; il se contente de la pouvoir démêler où il peut l'apercevoir. Il ne la confond point avec la vraisemblance; il

et des représentants du roi. Parallèlement a ces faits il y a eu aussi un mouvement idéologique qui a contesté toute l’organisation de l’ancien régime et tout les pouvoirs qui étais en place. II. Critique des philosophes des lumières : Vers la fin de l’ancien régimes il y a deux nouvelle tendance intellectuel : le rationalisme et le libéralisme. Le rationalisme se développe a partir du 17eme siècle avec Descartes Hobbes et Spinoza. Le rationalisme critique toutes les institution de l’ancien

fortuit. Pour finir, nous aborderons la misologie comme un choix conscient. La raison a ses limites, que plusieurs philosophes ont tentés de souligner, à diverses époques. David Hume par exemple écrivit qu' « il n'est pas contraire à la raison de préférer la destruction du monde à l'égratignure de [son] doigt. ». Il révèle ainsi que la raison, contrairement à ce que les philosophes moralistes enseignaient, n'est pas toute puissante et qu'elle n'a pas le pouvoir sur nos passions. Le même Hume nous

consiste à pouvoir faire ce que bon nous semble sans être contraint/affecté par des événements du monde extérieur. Pour les grecs c’est ne pas être soumis à quelqu’un d’autre. Le déterminisme est une notion philosophique qui a poussé au débat des philosophes qui considèrent que nous ne sommes pas vraiment libres de nos actes. En effet, les déterministes estiment que chaque actions et décisions sont déterminées par une multitude de « forces » extérieures. Néanmoins on distingue une autre école philosophique