Comparer La Liberté Entre Descartes Et Rousseau

que des Européens." Jean-Jacques Rousseau, 1771. [à continuer]Le XVIIIe siècle : le siècle des Lumières La liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel, les piliers de l'ancien régime au nom de la tolérance et de la liberté de pensée. L'Encyclopédie, ce symbole

lui a d’ailleurs couté la vieRousseau compare la conscience morale à une petite voix intérieure jugeant le bien et le mal. Cette voix est universelle. Nous l’entendons tous, mais ne l’écoutons pas tous. Certain vont même jusqu’à la faire taire.La conscience peut passer un message moral, mais elle dit aussi que je suis un être pensant. B) Je suis un être pensantDans le Discours de la méthode et dans les méditations métaphysiques Descartes exprime sa déception vis-à-vis des connaissances

comparaison possible, rejeter toute qualification qui viserait à l’atténuer, à le relativiser. En revanche ce qui est relatif est susceptible d’être mis en relation avec d’autres choses : ainsi le malheur n’est pas si terrible, si je le compare à d’autres plus grands. Comparer c’est relativiser. En philosophie, l’absolu désigne le terme final de la quête de la connaissance. La connaissance de Dieu – à supposer qu’elle soit possible ici-bas – nous permettrait d’atteindre une vérité absolue, une vérité qui

et l’a mis à la disposition de l’humain. « Dieu a créé l’homme à son image » : Dieu a fait de l’homme un dieu, son représentant sur terre= Seigneur et maitre de l’univers.L’humain est fait pour « dominer le monde ». Argument rationnel : (Darwin, Descartes...) : l’homme possède le savoir, la technologie= de devenir « maitre et possesseur de la nature ». la raison d’être de l’humain existe dans l’exploitation des ressources et des moyens de ce monde. Le monde : ensemble d’éléments physiques (air, eau

durable qu’un désir) / amour (désir d’une autre personne). Bonheur / joie, état de satisfaction moins permanent / plaisir, sensation agréable plus éphémère / béatitude (bonheur total et parfait). Problèmes et références : Quelle est la différence entre le désir et le besoin ? Le désir est culturel, et le besoin est naturel ; les désirs des hommes évoluent en fonction des sociétés, de l’époque. Le désir peut avoir sa source dans le corps, mais est une construction de la conscience. Le besoin ne

ou de la nécessité ? L'amitié est-elle oubli de soi ou affirmation de soi ? Helvétius, dans De l'Esprit, écrit : "La force de l'amitié ne se mesure pas sur l'honnêteté de deux amis, mais sur la force de l'intérêt qui les unit." (Amitié) Amitié et liberté (Amitié) Peut-on choisir ses amis? (Amitié) L'amitié est-elle le fondement de la vie en société ? (Amitié) "Dans l'amitié les âmes ne s'entretiennent pas, mais elles se mêlent et se confondent l'une dans l'autre d'un mélange qui ne retrouve plus la

I- Le sujet se réduit-il à la conscience ? A) Le cogito est l’essence du sujet Descartes, Discours de la Méthode (1637) Remarque préliminaire : Sujet vient du latin subjectum ce qui signifie « jeter en dessous ». Il faut attendre parlà, que le sujet sert de fondement dans le rapport de l’individu au réel. Il peut même, comme va le faire Descartes s’auto fonder. Le sujet serait alors son propre fondement et le réel, une projection du sujet (ob-jectum=objet). Ainsi le sujet est entouré

Notion : La liberté Chapitre I. la Liberté Introduction : Liberté signifie en général « l’absence de contrainte », synonyme d’indépendance. Une contrainte est ce qui s’impose à moi de l’extérieur, contre ma volonté .On confond généralement la liberté  avec la capacité de faire tout ce qui nous tient à cœur, sans en être empêché par qui que ce soit

Liberté contre déterminisme et fatalisme La question de la liberté, donc, peut être considérée comme une question métaphysique par excellence si nous considérons l'être humain dans sa possibilité de causer complètement ses actions, c'est-à-dire causa sui, ce qui dans l'antiquité était le point de vue d'Aristote, d'Épicure, de Ciceron; donc il s'agit d'un statut de l'être humain au sein de la nature. Mais, car l'homme existe dans un contexte déterminé, physique et social, une liberté inconditionnée

possibilité de réfléchir, la conscience est donc toujours conscience de soi en même temps que conscience de quelque chose. Enfin, la conscience morale est la conscience du Bien et du Mal, il s’agit d’une capacité de porter des jugements normatifs de comparer ce qui est et ce qui doit être. Cette conscience morale nous dicte nos devoirs et nous fait éprouver remords ou contentement quant à nos actes antécédents. Elle nous donne notre part d’humanité qui nous distingue du règne animal. Puisque la conscience