Compartiment tueurs

vieil anarchiste, poète, chansonnier... Il se programma un service de café et se mit au travail. Lorsqu'il aura faim, il se programmera directement de son clavier un plat cuisiné qui sortira alors du compartiment congélo, réchauffera dans le compartiment micro-ondes, passera dans le compartiment service assiette et couverts, accompagné d'une boisson adéquate et dans un bip d'avertissement sonore arrivera au travers du présentoir situé à coté de son bureau, juste à portée de sa main, prêt à manger

Il s’agit déjà, au moment où MUSSOLINI ne dispose encore pas du pouvoir absolu, d’une fiction révélant un État tout puissant, fondé sur une application à la politique de la rationalité tayloriste. Les hommes sont sinistrement hiérarchisés et compartimentés, avec pour chaque groupe une éducation-conditionnement adaptée. Cette société trifonctionnelle renvoie à des schémas historiques proche de l’œuvre de DUMÉZIL, et reprend en grande partie PLATON164 : les intelligences supérieures (qui remplacent

Les meilleures choses ayant une fin, le monde finit par se frayer à nouveau un chemin jusqu’à mes tympans. J’entends les conversations des infirmières et des toubibs autour de moi. D’abord, je n’y comprends rien. Comme s’ils parlaient dans un compartiment voisin du mien. Puis, ça se précise. Il s’agit tout simplement de me garder en observation une petite semaine. Il se pourrait qu’il y ait des complications côté cervelle. Une semaine d’hosto ! Je vois d’ici la tête des mômes et de Julius.

Les meilleures choses ayant une fin, le monde finit par se frayer à nouveau un chemin jusqu’à mes tympans. J’entends les conversations des infirmières et des toubibs autour de moi. D’abord, je n’y comprends rien. Comme s’ils parlaient dans un compartiment voisin du mien. Puis, ça se précise. Il s’agit tout simplement de me garder en observation une petite semaine. Il se pourrait qu’il y ait des complications côté cervelle. Une semaine d’hosto ! Je vois d’ici la tête des mômes et de Julius. — Pas

un cycle de conférences ou de signatures de son dernier ouvrage, Lucien avait tout bonnement tendance à refuser. D’ailleurs, il fuyait la publicité… Enfin, aujourd’hui, il volait en première classe. Les places étaient conçues pour évoquer des compartiments individuels, si bien que les passagers installés devant, derrière et à côté étaient invisibles. Durant le vol, une ravissante hôtesse de l’air – on les nommait « le personnel de bord », désormais, se souvintil – lui tendit un menu dans lequel elle

un épisode de Two and a Half Men. Jonathan le porta dans sa chambre. Dehors, la nuit était tombée. Marcus avait rallumé son pétard qu’il dégustait sur la terrasse à la manière d’un havane tout en conversant avec Boris. Jonathan fouilla dans le compartiment à glace du réfrigérateur pour en sortir une bouteille de vodka à la cerise offerte par une cliente russe. Tout en activant l’écran de son ordinateur, il se servit un verre de cette eau-de-vie qui, d’après l’étiquette, avait été distillée sur du

fendit même pas. Il abattit le chandelier de plus haut et de toutes ses forces. Même bruit sourd, accompagné cette fois d'une longue fêlure. Au troisième coup, la pierre se cassa en deux, et des éclats de marbre tombèrent au fond d'un trou. Le compartiment secret ! Il enleva rapidement les morceaux de marbre restés en place et observa la cavité vide. Le sang battant à ses tempes, il y plongea un bras nu. Au début, sa main ne sentit qu'un sol de pierre lisse. Il repassa la main sur toute la surface

plus jamais entrer en contact avec le Consortium. Mais aujourd’hui, Vayentha doutait. Était-ce vraiment ce scénario qui s’était produit ? Arrête ! se sermonna la jeune femme. Les méthodes du Consortium sont plus élégantes que ça. Ce ne sont pas des tueurs. N’empêche qu’un frisson glacé lui parcourut tout le corps. Un mauvais pressentiment l’avait incitée à quitter la terrasse de l’hôtel avant de se faire repérer par Brüder. À présent, elle se demandait si c’était grâce à ça qu’elle avait eu la vie

plus jamais entrer en contact avec le Consortium. Mais aujourd’hui, Vayentha doutait. Était-ce vraiment ce scénario qui s’était produit ? Arrête ! se sermonna la jeune femme. Les méthodes du Consortium sont plus élégantes que ça. Ce ne sont pas des tueurs. N’empêche qu’un frisson glacé lui parcourut tout le corps. Un mauvais pressentiment l’avait incitée à quitter la terrasse de l’hôtel avant de se faire repérer par Brüder. À présent, elle se demandait si c’était grâce à ça qu’elle avait eu la vie

souhaité le monter eux-mêmes s'ils en avaient eu la possibilité. On peut alors voir le director's cut, le montage du réalisateur, sa propre version de l'œuvre. De ce point de vue, ce format est un instrument de liberté. Il nous permet de visionner « Tueurs-nés » tel que l'aurait voulu Oliver Stone ou « La Horde sauvage » sans les contraintes qui furent imposées à Sam Peckinpah... Par ailleurs le DVD, parce qu'il est capable de stocker une grande quantité d'informations, offre la plupart du temps non