Complainte Amoureuse

flotter, comme un grand lys. [pic] Ophélie, John Everett Millais, 1852 Ophélie est un poème écrit en 1870, faisant partie des cahiers de Douai. Ce poème reprend le thème shakespearien de l’héroïne d’Hamlet, Ophélie, femme délaissée amoureuse d’un prince qui devient folle et se noie de désespoir. Ce sont principalement les quatre premiers quatrains qui font penser à la toile du peintre anglais John Everett Millais, représentant le corps d’Ophélie, paumes et regards tournés vers le

que le carmen 8 dans lequel Catulle encore une fois s’adresse à lui-même pour se parler de renoncement à l’amour, au bonheur, à Lesbia. Le poète montre aussi, son débat intérieur entre désir et raison. Il essaye de contrôler, dominer ses pulsions amoureuses grâce à la raison. Dans le carmen 76 on retrouve ce désir avec l’intervention d’un lexique de la fermeté à l’infinitif : offrimas, reducis, desinis … 2) Les vers 17 à 26 : L’appel au divin Dans cette troisième partie on arrive à la soumission

LA COMPLAITE RUTEBEUF Contemporain de Saint Louis, Rutebeuf est un poète de profession. Auteur d’une œuvre variée, il touche encore par son lyrisme personnel, comme dans les célèbres vers de la complainte qui suit. Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est morte Ce sont amis que vent me porte Et il ventait devant ma porte Les emporta Avec le temps qu'arbre défeuille Quand il ne reste en

arbres »(v6) ;  « ce grand oiseau »(v8) ; « la colline »(v9). D’autres images appartenant au lexique du regard viennent clôturer cette douleur du à la solitude : « l’espace à la forme de mes regards »(v10) L’expression de la douleur est synonyme de complaintes où le chagrin se mêle à la confession dans un langage épuré où seuls émergent des mots clés comme « folie »(v1) ;  « inconnu »(v3) ; « vagabond »(v4) et « sang »(v20). Il s’agit d’un chant douloureux où le poète se sent étranger au monde qui l’entoure

du dossier 1. Le lyrisme Rutebeuf, La Complainte Rutebeuf 2. Les thèmes lyriques Pierre de Ronsard, Je n'ai plus que les os… 3. L'écriture lyrique Victor Hugo, Vieille chanson du jeune temps 4. Le JE lyrique Gérard de Nerval, El Desdichado 5. Le temps et l'espace dans la poésie lyrique Guillaume Apollinaire, Le Pont Mirabeau Fiche de synthèse sur la poésie lyrique 1. Définition du lyrisme Rutebeuf, poète français La Complainte Rutebeuf Note : Maître Orri dirigeait

lilas, violâtre comme leur cerne, comparaison de description, côté péjoratif Séance 3 Etude : le lyrisme Remarque initiale : le lyrisme · Tous ce qui est rapport au sentiments · Pas forcément triste · Elégiaque c’est pour les sentiments négatifs · Amoureuse · Font danser notre race humaine · Folie · Grelottante · Sanglote · La barque aux barcarols chantants · Des vents qui tremblent au printemps · Voguait cygne mourant sirène · Se noya · S’en revint en

Manon DELAFOSSE1ère 5 DM Facultatif de Français Le XIXe siècle est marqué par de nombreux changements de régimes politiques. Cette forte instabilité politique donne lieu à une jeunesse désillusionnée, cette époque est appelée le « Mal du siècle ». En effet elle révèle d’une profonde inquiétude de la jeunesse face à une société en crise. Dans cette deuxième moitié du XIX e siècle nait alors un nouveau mouvement littéraire appelé le symbolisme,

ce coeur qui s'écoeure. Quoi ! nulle trahison ?... Ce deuil est sans raison. C'est bien la pire peine De ne savoir pourquoi Sans amour et sans haine Mon coeur a tant de peine ! Romances sans paroles Alphonse ALLAIS (1854-1905) Complainte amoureuse Oui dès l'instant que je vous vis Beauté féroce, vous me plûtes De l'amour qu'en vos yeux je pris Sur-le-champ vous vous aperçûtes Ah ! Fallait-il que vous me plussiez Qu'ingénument je vous le dise Qu'avec orgueil vous vous tussiez

I – D’une rupture amoureuse à une rupture poétique A – La rupture amoureuse « Le pont Mirabeau » narre une rupture amoureuse. Le poète commence par se remémorer son histoire d’amour à la première strophe : « Et nos amours / Faut-il qu’il m’en souvienne » (v. 2-3). Les strophes suivantes résument les étapes successives de l’amour jusqu’à sa fin. L’amour semble éternel, comme l’annonce l’adverbe « toujours » à la fin de la première strophe : « La joie venait toujours après la peine »

chanson s'intercalent trois intermèdes très différents, "Aubade chantée à Laetere un an passé","Réponse des Cosaques Zaporogues au sultan de Constantinople" et "Les Sept épées", métaphore du coeur percé du poète quand la douleur amoureuse se fait plus vive. Le poème tout entier se rattache à la fois au genre antique de l'élégie1 par son titre, sa longueur et son thème (la plainte d'un amoureux éconduit) autant qu'il s'en détache par sa forme (absence de ponctuation) et par son