Composition Guerre Froide

contemporain fonctionne avec le schéma d’un monde divisé en Etat. Pour avoir du droit international, il faut avoir des états. Le droit international commence avec la paix de Westphalie, en 1648, après la guerre de 30 ans. Cette paix repose sur le traité de Münster et d’Osnabrück. À la fin de la guerre de Trente ans, la religion d’état est celle du souverain en place. La paix de Westphalie a mis fin à cette règle; cette liberté de religion s’est exprimée par une émancipation de toute autorité supérieure

européennes qui existe au sein des organisations européennes créées après la IIde guerre mondiale. Parmi ces organisations européennes, 2 occupent une place particulière, d’une part l’Union Européenne et d’autre part le Conseil de l’Europe. Grande influence des deux institutions sur l'Europe. Il s'agit d'une introduction historique. Ces 2 organisations ont une histoire commune. Le contexte après guerre en Europe : Ce contexte est caractérisé par une double nécessité : la nécessité

aujourd’hui. Il en résulte à l’époque une aggravation des inégalités entre les pays industrialisés et le reste du monde. C’est la Première Guerre mondiale qui mettra un frein à la croissance des échanges internationaux. La grande dépression des années trente, quant à elle, amorcera sa décroissance. La « deuxième mondialisation » a lieu après la Seconde Guerre mondiale, les pays occidentaux cherchent à relancer le commerce international. Pour cela ils misent sur la suppression des barrières douanières

de 1791; dans le système des Nations Unies, il s'agissait d'ouvrir la voie à ce qu'on pensait être une convention universelle des droits de l'Homme, reprenant la liste des droits de la DUDH et l'assortissant d'un système de protection. Mais la guerre froide s'est glacée et l'antagonisme entre les deux blocs a rendu impossible la signature d'une convention dans le cadre universel. On a donc eu une phase assez longue durant laquelle le seul document des Nations Unies était cette déclaration universelle

qu’il  fut  élaboré  en  1945  présente  des  faiblesses.  La  déliquescence  de  ce  système relève moins du caractère obsolète des dispositions de la Charte des Nations Unies que des  interprétations qui en ont été faites depuis la fin de la guerre froide. L’évolution des caractéristiques  des réactions aux conflits armés révèle en effet une pratique disparate qui engendre des incertitudes  quant aux régimes juridiques applicables.  Cette  étude  a  donc  pour  objet  d’identifier  les  lacunes 

affaires qui ont agité les milieux économiques dans la plupart des pays développés, plusieurs débats ont été ouverts concernant les prises de contrôle, les rémunérations, les responsabilités des dirigeants, les responsabilités des administrateurs, la composition et le rôle du conseil d’administration, l’information et le rôle des actionnaires… Tous ces aspects mettant en cause la répartition des pouvoirs dans l’entreprise relèvent d’un même champ d’investigation, soit la corporate gouvernance, traduit de

dix ans, la typologie des risques évoluerait autant ? En France, les acteurs de la défense et de la sécurité civiles sont-ils prêts à affronter les crises de demain ? L’émergence du concept de défense passive : C’est l’expérience de la première guerre mondiale qui a montré la nécessité de mettre en place un concept de « défense passive ». Il s’agit de protéger au mieux les populations mais aussi la production industrielle. C’est la loi du 8 avril 1935, dite d’organisation des mesures de protection

monde de l’après-guerre, marqué par un énorme effort de reconstruction, et aussi par une nouvelle guerre : la guerre froide, où s’affrontent les blocs de l’Est et de l’Ouest. C’est aussi les 1ers balbutiements de l’Union Européenne, avec le traité de Rome… En même temps, la France est secouée très brutalement par les soubresauts de la décolonisation et la fin de l’Empire français. Ce monde est un monde de peurs, de nostalgie, et un monde très brutal, surtout à cause de la guerre d’Algérie, qui à

représentations dominantes que font les individus. Notre problématique, comment le Maroc puisse vaincre dans la mesure du possible, les nouvelles menaces. La notion de sécurité alors laisse apparaître des transformations majeures. D’une part, la fin de la Guerre Froide a substitué l’existence de risques – diffus, multiples, contradictoires… – à celle d’une Menace Parfaitement identifiée, d’autre part la mondialisation avec ses flux de toute nature interroge la réalité Même des frontières. Commune de sécurité

nombre de démocratie a considérablement augmenté Mais depuis la fin de la 2ème GM. Au sortir de celle-ci on comptait une vingtaine de démocratie, aujourd’hui le chiffre avoisine la centaine. Ce progrès quantitatif est dût à la fin de la guerre froide et très significativement le choix de la démocratie auquel ont tous adhéré les anciens Etats de l’ancien bloc soviétique. On y ajoute le mouvement de démocratisation des pays sud-américains et de certains pays africains. ! la démocratie attire