Compression de données

Vidéos Sommaire Introduction Partie I : Nécessité et principes de l'encodage vidéo A) Pourquoi encoder la vidéo ? B) Principes de l'encodage vidéo : le MPEG 1) Principes de base 2) Où se "déroule" l'encodage vidéo ? 3) Un exemple de compression vidéo avec perte : le MPEG 4) Redondances spatiales et temporelles 5) Notion de bitrate 6) Images I, P, B et GOP 7) Niveaux (Levels) 8) Profils (Profiles) 9) MP@ML ? 10) Les limites du MPEG-2 Partie II : Les différents formats de vidéo numérique

Fonctionnellement, le processeur est la partie d’un ordinateur qui exécute les instructions et traitre les données des programmes. -Le disque dur est un support magnétique de stockage de données numériques. On parle de "hard disk" (disque dur) par opposition aux "floppy disk" (disque mou) que sont les disquettes. -La mémoire est un organe de stockage, la conservation ainsi que la restitution de données. -Le bus est un ensemble de liaison, par câble, par pistes de circuits imprimés, pouvant être exploitées

THESE presentee par Franck Davoine pour obtenir le titre de DOCTEUR DE L'INSTITUT NATIONAL POLYTECHNIQUE DE GRENOBLE (Arr^te ministeriel du 30.3.1992) e Specialite : Signal Image Parole COMPRESSION D'IMAGES PAR FRACTALES BASEE SUR LA TRIANGULATION DE DELAUNAY Date de soutenance : 20 Decembre 1995 Composition du Jury : Alain Chehikian Dominique Barba Michel Barlaud Jean-Marc Chassery Claude Labit Jacques Levy-Vehel Gilles Privat President Rapporteur Rapporteur Examinateur Examinateur Examinateur

(attache aux données) : ! –  faible si image segmentée très proche de l’image initiale –  maximale si chaque région contient un pixel ! –  Energie de complexité : –  faible si peu de régions, … •  ! paramètre d’échelle Matthieu.cord@lip6.fr 8 UPMC Cours BIMA Méthodes par optimisation : énergies affines E " = E I + "E C EI Ec ! Variationnel Bayesien Mumford-Shah 1989 Geman-Geman 1984 Codage minimal (MDL/MML) Attache aux données Potentiel

5 Universit´ de Cergy-Pontoise - 2012 - Communications num´riques e e Figure 1.1: Chaˆ de communication ıne 1.2 1.2.1 Modules de la chaˆ de communication ıne Br`ve description e Canal de communication : Un canal de communication donne une possibilit´ de communiquer ` e a grandes distances. Ce module repr´sente les signaux ext´rieurs et le bruit qui affectent la transmise e sion. Evidemment, chaque syst`me de communication a un mod`le de canal appropri´. L’objectif e e e principal

................................................................. 1 1.2. Vectorielle .................................................................................................................................................. 2 2. La compression ................................................................................................................................................. 2 3. Les images et nombre de couleur ...........................................................

PHYSIQUE DES SYSTÈMES NUMÉRIQUES Ensemble des moyens mécaniques, électriques, fonctionnels et procéduraux nécessaires à l’activation/désactivation et au maintien des connexions physiques (transmission de bits entre deux entités de liaison de données). 01001110… 3 COUCHE PHYSIQUE DES SYSTÈMES NUMÉRIQUES La couche physique intervient dès lors qu’un objet envoie et reçoit des informations.  Objets communicants : ordinateur, téléphone portable, télévision, capteur, récepteur GPS, etc

d’un logement est un acte dissuasif dont l’objectif est la protection des biens contre le vol et la dégradation. Elle peut aussi s’étendre aux risques accidentels tel un incendie ou une inondation. Lorsque le résident n’est pas sur place, l’alerte donnée aux forces d’intervention (police ou secours) doit être justifiée par une «levée de doute» cette procédure est codifiées par un texte de loi. La levée de doute est une étape obligatoire pour prévenir les Forces de l’ordre (caméra de surveillance

SCIENCES SUP Cours et exercices avec solutions Master • Écoles d’ingénieurs THÉORIE DES CODES Compression, cryptage, correction Jean-Guillaume Dumas Jean-Louis Roch Éric Tannier Sébastien Varrette THÉORIE DES CODES Compression, cryptage, correction Jean-Guillaume Dumas Maître de conférences à l’université Grenoble 1 Jean-Louis Roch Maître de conférences à l’ENSIMAG Éric Tannier Chercheur de l’INRIA Rhône-Alpes à l’université Lyon 1 Sébastien Varrette Doctorant à l’université

binaire reçu, 2. Signal quantifié & quantifié, 3. Sortie du décodeur) 7 Figure 6 : Signal sinusoïdal original & quantifié, Erreur de quantification de ce signal 11 Figure 7 : Graph du rapport S/D en fonction de α 12 Figure 8 : Effet du facteur de compression sur S/Dq 13 Figure 9 : Agrandissement de la plage utilisable µ du rapport S/Dq 13 Figure 10 : Oscilloscope des signaux (Origine, Quantifié, compressé quantifié) avec µ = 0.001 14 Méthodologie et Résultats Question du laboratoire Question