Compression thoracique

-larmes artificielles -occlusion palpébrale Nerveux : Etirement plexus cervical par hyper extension de la tête, compression du plexus brachial suite au mauvais positionnement du billot axillaire ; céphalées et cervicalgies post opératoires Vérification de l’immobilisation de la tête en hyper extension Cutanéo muqueux : Escarres Vérification des points de compression (+ billots) Ostéo-articulaire : Idem position DD Idem décubitus dorsal 2 Position décubitus dorsal Installation

l’installer en position d’attente, ne pas retirer le corps étranger. 1 à 5 claques vigoureuses dans le dos Analyser la situation - Protéger Observer la victime - Alerter - Secourir Si ce n’est pas efficace : 1 à 5 compressions abdominales Plaie au thorax : position assise ou thoraciques chez l’adulte obèse ou la femme enceinte Pour les victimes de 0 à 1 an Plaie abdominale : position allongée, jambes fléchies Alerter les secours et appliquer les consignes. Surveiller la victime. Dans tous les

niveau de la crosse aortique (coupe transversale vue par en-dessous, comme en tomodensitométrie) La compression ou l’irritation de l’un ou plusieurs d’entre eux réalise une association de signes cliniques dépendante de la topographie, appelée « syndrome médiastinal ». Les limites du médiastin sont en haut le défilé cervico-thoracique, en bas le diaphragme, en avant la paroi thoracique, en arrière les vertèbres, latéralement les plèvres médiastines droite et gauche. Le médiastin est divisé en

quantités de sang peuvent cause de la compression vital central nerveux, l'arrêt cardio-respiratoire ou un coma; - Saignement dans le péricarde (appelé «tamponnade cardiaque"): accumulation de sang entre les feuille qui envelop la cœur; il peut arrêter les contractions; - Hemotorax suffocante (par compression): accumulation de sang entre les feuille qui envelop les poumons, déterminer leur compression et limiter expansion pulmonaire (s) au cours

broncho-pulmonaires – Mr Kabeya 3 2.4 Clinique Les circonstances des découvertes (CDD) • Examen radiographique systématique • AEG • SF respiratoires (dyspnée, toux, expectoration, hémoptysie, dysphonie et douleurs thoraciques) • Bilan d'une pathologie thoracique ou extra-thoracique • Syndrome paranéoplasique Les symptômes et signes évocateurs de cancer bronchique peuvent être liés à : • la tumeur • son extension locorégionale • sa dissémination métastatique • un syndrome paranéoplasique

L’obstruction partielle des VA Cas concrets de synthèse CI.5.1 CI.5.2 CI.5.3 CI.5.4 LES HÉMORRAGIES EXTERNES : 2 h 30 DESCRIPTIF VOLUME HORAIRE 0 0 0 0 0 h h h h h 15 45 25 15 50 REFERENCE • • • • • L’hémorragie et ses conséquences La compression directe Le garrot et la section de membre Les hémorragies extériorisées Cas concrets de synthèse CI.6.1 CI.6.2 CI.6.3 CI.6.4 CI.6.5 Janvier 2007 CI - 1.3 - 4 Fiche unité d’enseignement PREMIERS SECOURS EN ÉQUIPE DE NIVEAU 1 L’INCONSCIENCE

pyocyanique, le staphylocoque doré, le pneumocoque sont les principaux micro - organismes colonisateurs. * L'endoscopie bronchique Elle permet : . le bilan d’hémoptysie pour la localisation du saignement . la recherche d’un obstacle (compression extrinsèque ou obstacle endo bronchique) . le prélèvement microbiologique (sécrétions purulentes en provenance du territoire atteint). * La recherche de facteur infectieux de voisinage pour : . un foyer dentaire . un foyer ORL

Evaluer la détresse ventilatoire en maintenant toujours la tête de la victime en arrière et en plaçant ma joue au-dessus de sa bouche en observant la cage thoracique et ainsi pouvoir entendre une présence ou non d’une ventilation, sentir sur ma joue la présence ou non d’un souffle et observer la présence ou non de mouvements de la cage thoracique. - Evaluer la détresse circulatoire en prenant le pouls carotidien pendant 10 secondes. - Alerter les secours ou une équipe qualifiée présente dans l’établissement

mobilisatrice d’énergie (clarification de l’esprit, raisonnement…) et incitatrice à l’action (action, confiance, besoin d’agir…), mais peut aussi gêner l’action du secouriste s’il perçoit des sensations désagréables comme des sueurs, une oppression thoracique, du mal à respirer, des nausées, des tremblements, de l’imprécision, de la maladresse… Les manifestations du stress peuvent être légèrement différées : à distance de l’évènement causal avec : crises de larmes, abattement, dépression brève, irritabilité

développement endobronchique, la dyspnée sera liée à l'obstruction par un bourgeon néoplasique ou à la compression extrinsèque d'une grosse bronche. un wheezing trachéal voire des sibilants peuvent simuler un asthme. - L'hémoptysie. elle alerte davantage le patient. se limite au début par de simples crachats striés de sang. Chez le fumeur, c'est une indication d'endoscopie bronchique même si le cliché thoracique est normal. - Les pneumopathies aiguës infectieuses doivent attirer l'attention si elles récidivent