Compressions

1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 1.1.1 PERTE DE CONNAISSANCE PLAIES PROTECTION TRAUMATISME TECH 1 COMPRESSION LOCALE TECH 2 COMPRESSIONS THORACIQUES TECH 3 DÉFIBRILLATION TECH 4 DÉSOBSTRUCTION PAR LA MÉTHODE DES CLAQUES DANS LE DOS TECH 5 DÉSOBSTRUCTION PAR LA MÉTHODE DES COMPRESSIONS ABDOMINALES TECH 6 DÉSOBSTRUCTION PAR LA MÉTHODE DES COMPRESSIONS THORACIQUES TECH 7 INSUFFLATIONS TECH 8 LIBÉRATION DES VOIES AÉRIENNES TECH 9 POSITION LATÉRALE DE SÉCURITÉ MAT 1 DÉFIBRILLATEUR

Bureau d'Etude Modules 10 &12 Codage et Compression de la Voix présentée par Hamza Dahmouni - CPRM Mohamed Lahlou - CPRM Thierry Pellé - IMRT 1 INTRODUCTION 3 1.1 APPROCHE HISTORIQUE 3 1.2 ORGANISATION DU DOCUMENT 3 2 GENERALITES SUR LA COMPRESSION 3 3 PANORAMA DES APPROCHES 3 3.1 APPROCHE STATIQUE 4 3.2 APPROCHE DYNAMIQUE 4 4 DESCRIPTION DES TECHNIQUES 4 4.1 LES METHODES DE COMPRESSION TEMPORELLES : 4 A) PCM (Pulse Code Modulation) 5

opératoire de référence d’une méthode de détermination des résistances à la compression et à la flexion d’un mortier de ciment. Cette méthode est applicable aux types de ciments définis dans la norme NM 10.1.004. Elle peut ne pas être applicable à d’autres types de ciment, par exemple par la suite de leur temps de début de prise. Principes Cette méthode comprend la détermination des résistances à la compression et à la flexion d’éprouvettes de forme prismatique et de dimension 40 mm

Appareillage : cf atteinte par niveau Atteinte par niveau : NB : déficits en cas de compression complète et bilât. Cf Netter P 155, 157, 525 1) Compression de la QDC au niveau de L1 : - atteinte motrice = paralysie : ts muscles des MI + M abdos - atteinte sensitive = anesthésie : MI jusqu’aux arcades crurales + périnée - tbles génito-sphinctériens : vessie, intestin - appareillage : OI38+ CSM, OI39 2) Compression de L2 : - paralysie : ts m. des MI sauf abdos et sartorius - anesthésie : MI

FERMEES, fréquentes et simples, des fractures OUVERTES qui sont dues à la position sous-cutanée des os de la jambe, et ne sont pas rares.  3 mécanismes élémentaires : La compression axiale La compression en valgus ou varus forcé Les traumatismes sagittaux.  Souvent : association de plusieurs mécanismes élémentaires.   Compression axiale = chute sur les pieds, genoux tendus ou légèrement fléchis traumatisme indirect). C’est un choc direct qui agit sur les 2 glènes de la même manière, rare. On

fonctionnement d’une PAC 31 1.2.4.1 Généralités 31 1.2.4.2 Cycles à compression mécanique de vapeur 31 1.2.4.2.1 Le cycle idéal 31 1.2.4.2.2 Quelques grandeurs caractéristiques du cycle idéal 33 1.2.4.2.2.1 Bilan des échanges de chaleur et de travail 34 1.2.4.2.2.2 Le Coefficient de performance théorique 34 1.2.4.2.2.3 Bilan global 34 1.2.4.2.3 Cycle réel à compression mécanique de vapeur liquéfiable 34 1.2.4.2.3.1 Ecarts par rapport

(H.S. R) on en tire : -L’essence "ordinaire" : combustible des moteurs à essence à bas rapport de compression : Produit qui a disparu du marché depuis 2004. -L'essence " super" : combustible des moteurs à essence à haut rapport de compression : Produit qui a disparu du marché depuis Janvier 2009. -L’essence « super sans plomb » : carburant des moteurs à essence à haut rapport de compression équipé de pots catalytiques. Le pétrole lampant : c'est un liquide semi-fini, incolore et neutre

armer le béton ? 2.3.2 - Principes du calcul du béton armé Le béton possède une grande résistance à la compression et une résistance moindre à la traction. Dans les structures en béton se développe un ensemble de contraintes générées par les diverses actions auxquelles elles sont soumises. La résistance à la compression du béton lui permet d’équilibrer correctement les contraintes de compression. Par contre, du fait de la relative faiblesse de sa résistance à la traction, il n’en est pas de même pour

. 63 1. Création d'une archive avec Winzip. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 64 Partie C. Les divers formats de compression (zip, rar, gzip, tar, ...). . . . . . . . . 65 1. Formats de compression : définitions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65 Partie D. La compression des images, du son et des vidéos. . . . . . . . . . . . . . . . 65 Définitions. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

vibration et ayant un équilibrage presque parfait, nous verrons que son rendement est pourtant inférieur à celui d’un moteur à pistons. Le rendement maximum qui dépend entre autres de la combustion, des pertes liées aux frottements et au taux de compression n’atteint que 30% environ pour le Wankel alors qu’il est en moyenne de 35% pour un moteur usuel à allumage commandé et de 45% pour un moteur diesel. I. Le moteur de WANKEL 1) Principaux organes du moteur rotatif Carter central