Compte Rendu Les Miserable

ordinaires, parfois misérables, en rapport avec le milieu et le cadre auxquels ils appartiennent. Ils ne correspondent plus aux héros romantiques mais sont devenus des ouvriers, des marginaux, des prostituées… Leur existence est souvent sordide. Le réel est rendu de manière à montrer une vision exacte de la réalité des éléments qui la composent. Maupassant, comme tous les auteurs réalistes (par exemple Flaubert, Stendhal, Balzac, Vallès…), imite le réel, observe et rend compte de ses observations

Les Misérables sont un roman de Victor Hugo paru en 1862. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du XIX° siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean. Dans une lettre à son éditeur Hetzel, du 4 juillet 1861, Victor Hugo compare les Misérables à un navire « à sept mâts (…) cinq cheminées (…) dont les roues ont cent pieds de diamètre », de sorte qu'il «ne pourra entrer dans aucun port et devra braver les tempêtes». Que penser de ce

chassait Phébus[3] aux crins dorés, Tourets entraient en jeu, fuseaux étaient tirés ; Deçà, delà, vous en aurez[4] ; Point de cesse, point de relâche. Dès que l'Aurore, dis-je, en son char remontait[5], Un misérable Coq à point nommé chantait. Aussitôt notre Vieille encor plus misérable S'affublait d'un jupon crasseux et détestable, Allumait une lampe, et courait droit au lit Où de tout leur pouvoir, de tout leur appétit, Dormaient les deux pauvres Servantes. L'une entr'ouvrait un œil, l'autre

l’alcoolisme chez les ouvriers est que, à cette époque, les ouvriers n’ont aucun pouvoir envers la société ce sont les patrons qui les dirigent ; leur salaire est médiocre ainsi les conditions de travail qui sont déplorables d’ailleurs Coupeau s’en rend compte lorsqu’il fait la comparaison entre les conditions de travail et sa rémunération ; ils n’ont pas accès au pouvoir politique et n’ont pas les moyen d’offrir l’éducation à leurs enfants ni à eux-mêmes ; ils sont dans l’ignorance. Par exemple, Coupeau

manière ; ou encore comment ce personnage finira dans une situation très triste. Dans « La visite de la vielle dame » par exemple, l’auteur nous donne des signes qui annoncent la mort d’Ill. Des au début de la pièce les didascalies nous ont montré la misérable situation dans laquelle les habitant de Gullen se sont trouvés. Tout d’un coup madame Claire Zahanassian propose de tuer Ill pour une grande fortune. Déjà on commence à suspecter qu’Ill sera tué par l’un des habitants de Gullen. Sophocle a utilisé

fable, Le Loup et Le Chien, présente deux modes de vies opposées, celui du Loup qui est libre mais luttant pour sa survie et celui du Chien qui est soumis à son maître en échange de nourriture. Nous allons d’abord étudier la façon dont ce récit est rendu vivant, puis nous parlerons des personnages mis en scène. Nous continuerons en décrivant l’argumentation de chacun ce qui nous amènera à nous poser la question de l’importance du prix de la liberté pour être heureux. On retrouve dans la fable

l'urgence.On est à la fin de l'acte IV donc la pièce est presque finit on doit accélérer. On peut voir un champ lexical de l'urgence V43 « depuis 8 jours je règne ; et jusques à ce jour » le v45 « temps si précieux quel compte puis-je rendre ? » v50 « sais-je combien le ciel m'a compté de journées ? » v51 «de ce peu de jours » v52 « j'en ai déjà perdus ! »le temps représente la tragédie ca aboutit à l'impératif .Ne tardons plus faisons ce que l'honneur exige, rompons le seul lien...donc Imperatif Titus

grec bios, qui donne biologie (ce qui permet de comprendre que la conceptiion commune de la vie tend à n'en retenir que des aspects matériels) : apparition, reproduction, croissance, nutrition, dégénérescence, auto-réparation, etc. Il faut donc tenir compte que la vie de l'homme partage de nombreuses caractéristiques avec celle des animaux et des végétaux. Mais la vie de l'homme n'est-elle pas spécifique? Son corps vivant ne lui permet-il pas d'assumer des fonctions spécifiques que l'on ne retrouve dans

qu’une misérable vie. Le père pêchait du matin au soir et du soir au matin, la mère tissait des fils d’une manière épuisante pour pouvoir les vendre au marché très éloigné pour une bagatelle. Leur petit fils Romain, qui n’était pas conscient de la peine de ses parents, s’ennuyait et rêvait d’une grande aventure. Un jour il s’est décidé de reconnaître les secrets de la jungle. Il a pris secrètement un petit morceau de pain et il s’y est mis en chemin. Il ne s’est pas du tout rendu compte du danger

LIRE Les Misérables par Josette ACHER Jean GAUDON Claude HABIB Jacques NEEFS Jacques SEEBACHER Jean DELABROY Yves GOHIN Bernard LEUILLIOT Nicole SAVY France VERNIER textes réunis et présentés par Anne UBERSFELD et Guy ROSA Librairie José Corti 1985 3 SOMMAIRE Bernard LEUILLIOT – Philosophie(s) : commencement d’un livre Jacques NEEFS – L’espace démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude