Compulsion de répétition

c’est une tension dynamique entre volonté de contrôle, de prévision et un avenir incertainL’être humain comme projet :· Sartre : le projet est un arrachement a toutes les fatalité naturelle ou sociales, s’arracher au déterminité et aux compulsions de répétitions. L’arrachement est une étape douloureuse mais nécessaire pour être libre. Le projet peut devenir le cadre de la responsabilité humaine, pour Sartre ce n’est pas une responsabilité individuelle mais il est responsable de tous les hommes.·

un endroit particulier, une association, etc. est ressentie comme irrépressible ; l'autre dimension est de nature compulsive, c'est-à-dire que la satisfaction de la consommation dure peu et que progressivement s'installe un besoin impérieux de répétition de l'acte addictif (dépendance). Il est probable que nous avons tous à un moment ou à un autre des comportements compulsifs qui s'apparentent d'abord à des impatiences. Ce qui rend les conduites addictives pathologiques, c'est l'envahissement

purement fictive.     Mais qu’adviendrait-il, si le moi malgré tout se maintenait, mais cessait un temps de désirer ? On ne peut pas aisément mettre fin à des millénaires de conditionnement humain et à cette habitude invétérée de ne vivre que dans la compulsion du désir ! L’énergie de la frustration du désir mène droit à l’ennui. « Que la volonté vienne à manquer d’objet, qu’une prompte satisfaction vienne à lui enlever tout motif de désirer, et » nous « voilà tombés dans une vide épouvantable, dans l’ennui

atteintes de troubles obsessionnels-compulsifs sont constamment troublées par des pensées récurrentes ou des sentiments qui leur viennent à l’esprit involontairement (obsessions) et qui les incitent à effectuer des gestes répétitifs et ritualisés (compulsions). Les patients considèrent ces pensées comme insensées et parfois désagréables, mais ils ne réussissent pas à les oublier ou à leur résister. Environ un sixième de la population présente des symptômes obsessionnels mineurs. Les troubles obsessionnels-compulsifs

.) est détournée du voisin de proximité vers le sujet d’une autre contrée : la cohésion interne est maintenue et l’ennemi à combattre se trouve à l’extérieur : l’ennemi, d’ailleurs devient bien souvent héréditaire (effet de la démoniaque compulsion de répétition ?) La fratrie d’armes permet alors d’aller au-delà de la lutte des classes sociales, source toujours possible de crises voire de guerre civile ; par ailleurs, la guerre, de par sa modernisation et l’usage d’armes et de technologies sophistiquées

inauthentiques, mais sont essentiellement « mortifères » : ils exposent le sujet à « un destin de feuille morte », à une répétition habituelle et morbide semblable à celle qu’éprouve le toxicomane – quel que soit l’objet de la toxicomanie, qu’il s’agisse des drogues, des jeux d’argent ou d’un rapport compulsif au sexe – ; (th) le plaisir est alors de plus en plus court, la compulsion de plus en plus forte et les dangers pour l’individu et son entourage de plus en plus présents et insidieux. (Déf)

mais avec Phèdre cette fois, en l’évitant d’emblée ("Il suffit, je la laisse en ces lieux" v. 152). Ce refus de la parole, ou, pour parler net, ce refoulement généralisé de la part d’Hippolyte, intervient dans cette scène d’exposition comme une répétition générale du refoulement de la déclaration de Phèdre à la scène 5 de l’Acte II ("Dieux ! Qu’est-ce que j’entends …"). On l’aura compris, derrière la négation d’autrui dans sa parole, il y a aussi et surtout, une négation de soi. 2) Les détours

sociales, professionnelles et familiales qui descendent en arrière-plan Nous pouvons parler de l’addiction quand il ya une tendance, même une compulsion à répéter une habitude, qui détourne une personne de ses devoirs et des activités, lorsqu’elle cause les négatifs sentiments chez l'homme et le prive de la possibilité de choisir. La simple répétition de l'activité due à la contrainte n’est pas suffisante pour atteindre la satisfaction. Il est nécessaire d'augmenter la dose de cette expérience

rencontrée dans Isaïe 1 18 : « Si vos fautes sont rouges comme l’écarlate, elles deviendront blanches comme la neige. » Le mal enferme le coupable dans sa faute jusqu’à la folie, jusqu’au désespoir. Le sang injuste qui tache les mains va conduire à la compulsion du lavement, marque externe et perceptible de la purification interne. Comme le signe ne correspond à aucune disposition intérieure (de regret et de réparation), il est voué à l’inefficacité. Le déni de la réalité est une autre illusion psychique

et sommeil, sensorialité et raison, perception et hallucination, inconscience et conscience, normal et pathologique, constituent le lieu idéal pour que se manifeste le plus inconnu de la vie psychique. Pour que trouve à se représenter la compulsion de répétition à laquelle est astreinte toutes formations psychiques ne disposant pas d’accès naturel à la figuration. Ce qui veut dire que tout ce qui serait interdit de séjour dans la vie psychique  trouverait ainsi dans le rêve une terre d’accueil. Dans