Compulsion de répétition

Inconsciemment, Richard est marqué par la mort violente de Daffy mentionnant pourtant textuellement : « J’attendais le grand choc. Il ne s’est pas produit. Tu veux ressentir réellement les choses, viscéralement ». Il entre alors dans la Compulsion de répétition, qui est habituellement observée chez les névrosés de guerre. Selon Freud, il reviendrait à dire que le malade devient fixé psychiquement au traumatisme qui prend vie dans l’univers onirique, ramenant constamment le névrosé à l’« accident »

De profonds remaniements défensifs s’opèrent sur un mode anal ou conduisent a une pseudo-triangulation. Le tableau clinique de la psychose résulte d’un compromis entre le processus néantisant et la mobilisation constante des défenses. La compulsion de répétition est toujours présente mais n’a pas qu’un rôle négatif. Dans l’autisme, la constitution d’une pare-excitation absolue et autonome assure la survie.  L’angoisse : c’est l’angoisse de morcellement, angoisse dite athématique, qui recouvre

suivre en raison de sa rapidité, et souvent en raison de son manque d'organisation thématique. La bradyphémie correspond à un ralentissement du flux verbal, un discours monothématique caractéristique du patient déprimé. L'écholalie est une répétition en écho de mots ou de phrases venant d'être entendues par le sujet. C'est une manière de dialoguer privilégiée chez les autistes. Les persévérations verbales : à différents moments du discours, le sujet va répéter des mots ou phrases qui appartiennent

Lucie comprend immédiatement que le prénom de « Marine », qu’elle a choisi pour sa fille maintenant disparue, n’était pas le fruit du hasard et qu’une compulsion transgénérationnelle de noyades, certainement « tues », va aussi sûrement commencer à s’arrêter. En outre, son affect de mauvaise mère n’était jamais, fondamentalement, qu’une répétition séculaire du symptôme déguisé de sa filiation. Son abréaction est magique : Lucie me dit alors qu’envisager une autre grossesse ne relèverait pas d’une

parlerons de personnalité pathologique : lorsqu'il y a un manque de souplesse ds les processus d'adaptation à la réalité, c à dire l'utilisation prépondérante et figée de certains mécanismes de défenses psychiques ; lorqu'il existe une compulsion à répéter les memes attitudes face aux conflits, une gde vulnérabilité dvant les épreuves traversées; lorsqu'il existe une tendance nette et fréquente aux décompensations psychiatriques (dépresssive, délirante, clastiques...) ; *Certaines organisations

interne échappe au sujet qui y est soumis, de telle sorte que les symptômes (angoisses, phobies, comportements irrépressibles, obsessions, crises, peurs irrationnelles, manies, inhibitions, impossibilité de se décider, insatisfactions irraisonnées, répétitions des mêmes comportements insatisfaisants, impossibilité d’être suffisamment heureux, etc.) apparaissent au sujet, à sa conscience, comme une part étrangère de lui-même. La formation de symptômes est donc une véritable lutte, dans laquelle le sujet

de mort (agressivité, destruction,…): Eros et Thanatos.  L’hypothèse de la pulsion de mort permet de comprendre comment un individu se place inconsciemment de façon répétitive dans des situations de détresse ou d’échec. Cette tendance de compulsion de répétition lui semble confirmée par le fait que ces individus semblent attirer sur eux les coups de la malchance. Cette hypothèse explique aussi comment la civilisation se confronte régulièrement au principe de sa propre destruction. Freud note que

à l’entrée des stades, des distributeurs de cafés dans les métros, etc. La dernière tentation à l’impulsivité est souvent la bonne. En psychologie,  « l’impulsion »  se distingue de la  « compulsion »  en ce sens que cette dernière s’impose au sujet après une lutte anxieuse, alors que la première est immédiatement acceptée par l’individu. L’achat  compulsif  (ou encore appelée  « fièvre acheteuse »

o Tentative de se défaire de l’influence du thérapeute. Françoise SIRONI insiste sur le point que le thérapeute doit être attentif aux mouvements internes qui sont, chez lui, déclenchés par ces patients sous la contrainte de la répétition. ▪ Les reviviscences à caractère hallucinatoires : Lorsque les patients revivent leurs séances de torture en état de transe, MAIS qu’ils parlent à leur tortionnaire (ils lui disent ce qu’ils pensaient à ce moment-là), le thérapeute doit valoriser

concilier l'interaction de ces deux réalités ; dedans et dehors qui interagissent dans la constitution du trauma psychique. En 1920 Freud écrit « Au-delà du principe du plaisir » où il propose le trauma psychique en rapport avec le concept de compulsion de répétition et pulsion de mort mais c'est en 1926 dans « Inhibition, symptôme et angoisse » que Freud introduit le concept d'angoisse et de conflit psychique comme constitutif du trauma psychique. Dans ce texte il introduit sa deuxième théorie de l'angoisse