Comédie Fonction Divertissante

alternance récit/discours Le narrateur donne d'abord une vision générale de la situation puis il nous fait vivre à travers les pensées du loup (« mais le Mâtin... »V.7-8), ensuite le chien a la parole. A partir du V.13 : une petite scène de comédie. Au milieu du dialogue, le narrateur annonce brièvement le retournement de situation : « chemin faisant, il vit le col du chien » (V.32) Le narrateur s'éclipse et intervient seulement à l'épilogue dans le tout dernier vers (« Cela dit... »)

à Elise et à Cléante de « vieilles peaux » fortunées pour ajouter encore à son pactole. Ce coup de théâtre réussira à liguer toute la maison contre le puissant vieillard. « Molière présente un Harpagon qui suit la tradition. Dans sa magistrale comédie, il y a des scènes de farce, des jeux issus de la commedia dell’arte. La force de sa pièce est la façon dont il mène la critique sur l’avarice. Il la présente comme un trouble grave du comportement : l’avare aime d’amour son argent, il l’aime plus

représentation que préparait le Théâtre de Grenoble (mise en scène : Francis Perrin). Mais on peut actualiser ce document puisque la pièce est souvent reprise (consulter Internet). J’ai demandé aux élèves de relever dans le texte le champ lexical de la comédie et dans une seconde colonne, tous les mots ou expressions qui montraient l’originalité de cette forme de comique : succession ininterrompue de quiproquos, situations extravagantes, rafales de rire, tout le monde se poursuit … Le texte comportait aussi

puisqu'il tombe facilement dans le piège imaginé par la femme (« je crois bien que tu as dit vrai » affirme-t-il aux lignes 41 et 42). Il apparaît ensuite comme un individu peureux (« il détale sans hésiter. «  ligne 50), qui ne fait pas honneur à sa fonction d'homme d'Église. Nous le voyons, le conteur ne cherche pas à livrer une peinture psychologique fouillée de ses personnages. Au contraire, il en donne une vision la plus caricaturale possible et ce, pour faire naître le rire. Le fabliau emprunte

historiques, son rôle au sein de la société, ainsi que les nombreux métiers impliqués dans ces lieux ; l’objectif étant, pour chaque personne y travaillant, l’élaboration et la représentation finale d’un spectacle complet alliant chant, musique, danse, comédie et effets visuels. Conception: F. Courant, B. Gonner, J. Gourmaud Réalisation: C. Breton, P. Léonard Coproduction : RIFF International Production/France 3 (1998-1999) Durée totale: 52 min DISCIPLINES, THÈMES ABORDÉS Ces films correspondent

personnage par rapport aux propos, ce qui rappelle sa position d’étranger. Ensuite, la nécessité de définition renforce cette idée. En effet, Rica découvre une occupation qui lui était jusque là inconnue : il doit donc la définir. Les mots en italique « Comédie », « théâtre », « loge » sont des termes inconnus du personnage qui a besoin de les définir. Ainsi sont-ils suivis de verbes amorçant une définition : « entendu appeler » (l.2-3) « qu’on nomme » (répété aux lignes 3 et 23). L’explication apportée

personnage par rapport aux propos, ce qui rappelle sa position d’étranger. Ensuite, la nécessité de définition renforce cette idée. En effet, Rica découvre une occupation qui lui était jusque là inconnue : il doit donc la définir. Les mots en italique « Comédie », « théâtre », « loge » sont des termes inconnus du personnage qui a besoin de les définir. Ainsi sont-ils suivis de verbes amorçant une définition : « entendu appeler » (l.2-3) « qu’on nomme » (répété aux lignes 3 et 23). L’explication apportée

classer Le Tartuffe dans la lignée des autres pièces de Molière, L'Avare, Les Précieuses ridicules, Le Bourgeois gentilhomme, Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux et Dom Juan ou le Festin de pierre, destinées à dépeindre et ridiculiser un vice (comédie de caractère). Lorsqu'il publia la version en cinq actes de sa pièce, Molière écrivit une préface destinée à masquer ses intentions initiales (voir plus bas) en prétendant que son objectif premier avait été de dépeindre « un méchant homme ». Il précise

des Muses pour louer le Prince et défendre un parti (comme Ronsard et D’Aubigné avec les guerres de religions), pour exalter une philosophie ou une découverte scientifique (La Fontaine, disciple de Lucrèce, pour la découverte du quinquina). Fonctions et pouvoirs de la littérature Le XVIIe a été une période cruciale pour l’histoire de la littérature en ce qu’il est aussi un moment important pour l’histoire du livre et de la libraire en France. Le Xvi avait été l’époque de l’essor de l’imprimerie

Etape 2 : carte d'identité (cf.Comment aborder un texte littéraire) Etape 3 : questionner le texte de façon méthodique. Elaborer le questionnement en fonction des étapes 1 et 2. Principe : passer de la forme au sens (repérage, analyse, interprétation). Les questions varient d'un texte à l'autre → analyser le texte ligne à ligne en fonction de quelques grandes entrées :    - situation d'énonciation (qui parle ? à qui ? quand ? où ?)    - construction du texte, structure, plan. Sens ?    -