Concentration Des Entreprises Capitalisme

l'industrie. 3. L'essor du capitalisme A Définition C'est un système économique et social d'entreprises privées. Ces entreprises recherchent fondamentalement le profit, elles font appel : A des capitalistes qui détiennent l'épargne et les fonds, les engagent dans les affaires et acquièrent de cette manière une influence prépondérante. A des travailleurs dont le travail physique ou intellectuel est rémunéré par un salaire. Les entreprises sont concurrentes, elles produisent

l’interaction entre agents économiques Deux sphères en éco : - système de production - système de régulation (Etat… ) => définir et coordonner les règles de partage de la VA. Si Etat : redistribution de fonds publics (écoles) Si entreprises : innovations, augmentation de l’offre, augmentation de la conso, croissance Régulation contraste avec Smith et la main invisible Le système de production évolue vite, il est réactif, pas celui de régulation à cause des lentes mentalités.

nébuleuse de petites industries peu performantes. C’est paradoxal car en France à cette époque beaucoup de découvertes (dynamo…) Vers 1900, la seule entreprise de taille significative était THOMSON-HOUSTON > or, filiale américaine de G.E 1898 : CGE compagnie générale d’Electricité (poids assez modeste) Chimie : le pays n’a pas de grosses entreprises. Pour beaucoup de produits, la France est dépendante des pays étrangers (colorants chimiques de l’Allemagne) ou des filiales étrangères implantées

du capital vont tjrs vouloir l’augmenter. Cette mentalité des profits augmente l’accroissement de la taille des entreprises soit par rachat des entreprises c’est ce qu’on appelle un phénomène de concentration. 2 sortes de types de concentration = vertical et horizontale qui consiste à racheter des entreprises tout au long d’un processus de prod. Et horizontale = Racheter des entreprises du même secteur. La crise produite une énorme flambée du chômage = 25% de chômeurs en 1932 au USA. SANS INDEMENITES

signifie produit intérieur brut. On s’intéresse qu’aux entreprises implantées dans un pays. Tandis que le P.N.B. (produit national brut) ne s’intéresse qu’à la nationalité de l’entreprise et non au lieu où elle est implantée. Donc dans les pays développés, il n’y a pas de grosses différences entre le P.I.B. et le P.N.B. tandis que dans les pays en développement, le P.I.B. est largement supérieur au P.N.B. car ils accueillent davantage des entreprises à cause du faible coût de la main d’œuvre. Donc dans

de cette intervention. ( le problème central que pose l’intervention de l’Etat est celui du bien-être collectif. L’Etat, en effet, n’est pas un agent comme les autres. Si l’égoïsme et la maximisation du profit sont le credo des ménages et des entreprises, l’Etat est quant à lui, par définition, altruiste. Mais dans nos sociétés très individualistes, cette nature particulière de l’Etat à quelques difficultés à être comprises. De nombreuses personnes ont tendance à voir l’Etat comme l’émanation d’une

Karl Marx. Politiquement, le marxisme repose sur la participation au mouvement réel de la lutte des classes, en tant qu'alternative au capitalisme. Karl Marx considère que « l’émancipation des travailleurs doit être l’œuvre des travailleurs eux-mêmes » Pour Marx, le capitalisme conduit à des contradictions ("exploitation de l'homme par l'homme"): concentration des richesses sur une classe de la société et misère pour l'autre ; accroissement continu de la rentabilité par le progrès technique ,

implique l’usine avec une plus grande concentration industrielle. · L’avantage est celui d’ouvriers hautement qualifiés et le côté négatif est la présence d’une main-d’œuvre féminine et enfantine sous payée. Puis la concentration des entreprises devient nécessaire pour regrouper plus de capitaux, pour augmenter les capacités de production, pour contrôler le larges parts de marchés. Les firmes naissent par absorption ou fusion de sociétés. · La concentration peut être verticale, par intégration

"Le capitalisme touche à sa fin" LE MONDE | 11.10.2008 à 20h18 • Mis à jour le 16.12.2008 à 10h43 Signataire du manifeste du Forum social de Porto Alegre ("Douze propositions pour un autre monde possible"), en 2005, vous êtes considéré comme l'un des inspirateurs du mouvement altermondialiste. Vous avez fondé et dirigé le Centre Fernand-Braudel pour l'étude de l'économie des systèmes historiques et des civilisations de l'université de l'Etat de New York, à Binghamton. Comment replacez-vous la crise

lui-même, provoquant une concentration de la demande et donc des profits et des activités. De plus, à cause du décloisonnement et de la déréglementation les effets de l’effondrement d’une bourse s’appliquent également aux autres bourses et peuvent conduire à une crise mondiale (comme dans la crise de 1929 dont est seule responsable la bourse de Wall Street mais qui s’est étendue au reste du monde). Un autre effet négatif est dû au passage d’un capitalisme managérial à un capitalisme actionnarial. Du fait