Conception Du Pouvoir Créon

1452 b, pp. 45-46. TABLEAU 1 : STRUCTURE FORMELLE D'OEDIPE-ROI PROLOGUE : vers 1 à 150 2 parties 1. Dialogue Œdipe-Le prêtre : vers 1 à 83 (présence muette des jeunes suppliants). 2. Dialogue Oedipe-Créon : vers 84 à 150 (présence muette des jeunes suppliants et du prêtre ; une ré¬plique finale du prêtre avant leur sortie). Réponse de l'oracle de Delphes. PARODOS : vers 151 à 215 Entrée du chœur : premier

VEUT ? Spontanément, on peut être tenté de définir la liberté comme le pouvoir de se déterminer sans aucune contrainte, d’agir comme bon nous semble, sans nous soucier des contraintes qui peuvent venir entraver notre action. On assimile alors la liberté à l’indépendance : être libre, ce serait ne dépendre de rien ni de personne, avoir toute l’attitude de se déterminer par soi-même. La liberté apparaît alors comme un pouvoir illimité. Cette définition de la liberté comme un absolu peut s’appliquer

bâton lui donne plus de prestance. Lui aussi porte un masque et a l'air de mener le rituel : les danses de transe ou chamaniques du début. Il parle comme un monstre, les effets de voix sont étonnants et effrayants. Créon, roi de Corinthe : Dans la première mise en scène, Créon est vêtu simplement avec une toge noire et une longue veste rouge pourpre, c'est un beau costume mais il ne porte pas de couronne ni de signe distinctif qui pourrait nous faire penser qu'il est roi. Il n'est pas maquillé;

groupes (2 groupes de 7 et 2 groupes de 8). ▪ Distribuer à chaque groupe un résumé de texte, l’extrait qui l’accompagne, ainsi que le questionnaire Résumé et extraits proposés o Jean Anouilh, Antigone – affrontement d’Antigone et Créon (extrait) o Eugène Ionesco, La Cantatrice Chauve – Scène 1 o Albert Camus, Les Justes – Acte deuxième (extrait) o Samuel Becket, En attendant Godot – Acte premier (début) et acte deuxième (fin) ▪ Consignes o 1ère lecture 

« Si les législateurs tentent de ravir et de détruire les choses qui appartiennent en propre au peuple, ou de le réduire en esclavage sous un pouvoir arbitraire, alors ils se mettent en état de guerre avec le peuple, qui par conséquent est absous et exempt de toute forme d’obéissance à leur égard et a droit d’user du commun recours que Dieu a destiné pour tous les hommes, contre la force et la violence. […] Certes, ces Messieurs peuvent bien estimer que cette thèse ne peut que provoquer des guerres

Gharb-Cherarda-benihssen (session : Juin 2010) CREON: (...) -Tu l'apprendras, toi aussi, trop tard, la vie c'est un livre qu'on aime, c'est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu'on tient bien dans sa main, un banc pour se reposer le soir devant sa maison. Tu vas me mépriser encore, mais de découvrir cela, tu verras, c'est la consolation dérisoire de vieillir ; la vie, ce n'est peut-être tout de même que le bonheur. ANTIGONE, murmure, le regard perdu : - Le bonheur... CREON, a un peu honte soudain : - Un

traductions de la Collection des Universités de France (Paris). 1. Il faut ici mentionner - sans pouvoir l'analyser en profondeur -le récent essai de Richir (M.), La naissance des dieux, Paris, 1995, dans lequel les élaborations complexes de la pensée mythologique depuis Homère jusqu'à Platon (en passant par Hésiode et par les Tragiques) s'articulent à l'énigme sans cesse renaissante de la fondation du pouvoir. 2. 1863 d'après le Robert, les composés cosmographie, cosmologie et cosmogonie remontant au

d'obéir à certaines lois qui fonderait l'idée de justice et d'injustice. D'une manière plus pragmatique, la vision de J.S Mill a la mérité de permettre aux institutions de fonctionner. c) La justice est garantie par le respect de la loi Cette conception de la justice a pour interet de soustrairel'idée de justice à des polémiques interminables et permet aux tribunaux d'opérer de facon efficace: "Elle prémunit chaque citoyens contre l'arbitraire du juge car celui ci doit se borner à appliquer la

plus que dans l'amour ?), et dont l'ardeur, enfin, fût égale dans la jouissance et dans la privation, et pût supporter également les malheurs et les plaisirs. Un cœur capable d'un tel amour, une âme si tendre et si ferme paraît avoir épuisé le pouvoir de la divinité ; il en naît une en un siècle : il semble que d'en produire deux soit au-dessus de ses forces, ou que si elle les a produites, elle serait jalouse de leurs plaisirs, si elles se rencontraient ; mais l'amour peut nous rendre heureux

chefs-d’œuvre », in le Théâtre et son double (1964) et Jarry, Ubu Roi (1896) : le théâtre en révolte contre lui-même. SÉQUENCE 5 : POUVOIR ET ECRITURE Objet d’étude : la question de l’Homme dans les genres de l’argumentation du XVIe à nos jours. Support : groupement de textes Problématique : Comment l’écrivain s’empare-t-il de la représentation du pouvoir ? Corpus : Etienne de la Boétie, « Discours de la servitude volontaire », 1548. La Fontaine, « la Cour du roi », Fables, 1669 Montesquieu