Concertation des partis pour la démocratie

exploitant au mieux les ressources financières et humaines existantes, en créant des réseaux d'acteurs, ils peuvent transformer les demandes des populations en propositions de politiques publiques qui renouvellent le rôle de l'État. 2- Promouvoir la concertation locale et la création de réseaux. Le développement local concerne tous les acteurs qui vivent sur un espace donné. Il ne peut être celui d'un secteur ou d'une population isolée (pauvres, femmes, jeunes, enfants des rues...). Or, souvent, les Organisations

....……..........6 Partie 1 : Ce qu’il faut savoir ? 1.1. La décentralisation au Mali…………………..……………………………….. ……… 9 Les fondements historiques et politiques .......................................………….... 9 Cadre juridique et institutionnel de la décentralisation ….....……...….…….10 1.2. La Coopération Décentralisée : Vision Malienne de la Coopération Décentralisée…......………...…..... …. 12 … Etat des lieux en matière de la Coopération Décentralisée au Mali ….… 13 Partie 2 : Démarches et Procédures

quotidien sont moins bien délimitées. Dans un contexte de mise en concurrence accrue, l’adaptation à la mondialisation est nécessaire. Les signes de cette adaptation sont nombreux, En effet, la mondialisation touche à tous les domaines de la vie et fait partie des territoires du quotidien, et cela à travers le paysage désormais banalisé des rues et zones commerciales. La forte visibilité des FTN est un indice du degré d’intégration de ces territoires qui doivent, pour être attractifs et donc compétitifs

en 2005 l’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) [1] INDH : http://www.indh.gov.ma/fr/index.asp (dernière... [1] . Il s’agit d’un référentiel stratégique pour le développement social et la consolidation des acquis en matière de démocratie, de décentralisation et d’amélioration des conditions sociales et économiques des couches défavorisées de la population. Dans ce cadre, les entreprises marocaines s’efforcent d’être des acteurs économiques actifs dans l’élaboration de cette initiative

Dominique Wolton publiées dans Libération du 18 juin 2002 : « Il n’y a pas d’un côté la grandeur de la politique, et de l’autre le dérisoire de la communication politique. Les deux vont de pair : c’est cela la démocratie … ». Il a dit aussi : « La communication n’est pas la perversion de la démocratie, elle en est plutôt la condition de fonctionnement ». Un questionnaire de 2002 de la revue Public(s) laisse apparaître les résultats suivants : 51, 5 % des dircoms se disent techniciens de la communication

et de l’exercice démocratique 2. La cohésion sociale dans des sociétés modernes en changement 3. Contenu du Guide méthodologique a. Objectifs b. Méthodologie d’analyse c. Structure d. Résultats attendus 9 11 13 15 15 17 17 17 18 18 Première partie – Approche conceptuelle de la cohésion sociale – Définition et approches stratégiques CHAPITRE 1 – LES APPROCHES CONCEPTUELLES DE LA COHÉSION SOCIALE 1. Proposition d’une définition de référence fondée sur les principes du Conseil de l’Europe 2

La démocratie participative au sein de l’Union européenne Le principe de la démocratie est reconnu par le droit communautaire sous la forme de la démocratie représentative,c’est-à-dire du droit des citoyens de participer à la gestion des affaires publiques par l’intermédiaire de leurs représentants élus.Pourtant ce système s’est trové d’être insuffisant pour réaliser tote lla principe de la dimocratie.C’est ce qui explique la recherche actuelle de nouvelle formes de

numérique : enjeux et définitions e rôle des technologies de l’information et de la communication et, en particulier d’internet, dans le renouvellement des formes de démocratie et de participation citoyenne est au centre de nombreux débats depuis plusieurs années. De fait, la massification des usages d’internet, induite en grande partie par l’arrivée des outils interactifs et collaboratifs du Web 2.0, a largement permis de démocratiser l’expression publique. En donnant la possibilité à tout internaute

faible aux élections européennes (40% en 2009) et cantonales (45% en 2011). Si le vote n’est pas obligatoire, il est un devoir pour le maintien de la démocratie car en votant, le citoyen exerce sa souveraineté. On peut noter un désintérêt croissant pour la chose publique qui, outre l’abstention, se traduit par une baisse des adhésions aux différents partis politiques. La raison souvent avancée est la fracture entre le peuple et ses élites, plus soucieuses de leur carrière politique que de servir l’intérêt

du projet IV. Perspectives de mise en œuvre du projet 1 1 3 5 6 Propositions I. Une régionalisation d’essence démocratique 1. Composition et élection des conseils régionaux 2. Pouvoirs exécutifs des présidents de conseil 3. Equité genre 4. Démocratie participative II. Des compétences étendues et mieux articulées 5. Prééminence de la collectivité régionale en matière de développement intégré 6. Composition, compétences et perspective d’évolution des conseils préfectoraux et provinciaux 7. Réagencement