Concile de Charroux

des écrits, qui sont le résultat de travaux des grandes assemblées ecclésiastiques, des assemblées d’évêques. Et, ces assemblées, on les nomme les conciles. Dans ces conciles, on adopte des textes, on délibère, ces textes sont nommés, des canons, ce qui donnera le ‘’ droit canon ‘’ le droit ‘’ canonique ‘’. Canon = règle. Les canons émanent des conciles, et puis il y’a d’autres écrits a cote des canons. Ce sont tous les écrits émanant du pape, ces derniers sont des ‘’ décrétales pontificales ‘’…Alors

pouvoir et bravoure sur le champ de bataille : vivant du labeur des paysans, le maître se doit de manifester sa bravoure et sa loyauté envers eux[4]. L'Église a œuvré pour canaliser les chevaliers-brigands dès la fin du Xe siècle. À partir du concile de Charroux en 989, les hommes en armes sont priés de mettre leur puissance au service des pauvres et de l'Église et deviennent des milites Christi (soldats du Christ)[8]. Depuis le XIIIe siècle, le roi de France avait pu faire admettre l'idée que son pouvoir

partir du VII siècle4 Le phénomène de grignotage, de l’aristocratie à atteint un sommet très élevé. Les grandes familles ne veulent plus lui obéir ainsi que des évêques. a) Édit de 614 Les évêques se réunissent et tiennent un concile, et décident à l’intérieure de ce concile, qu’ils sont indépendants par rapport au pouvoir royal, il ne doivent pas se courber devant le roi. Le roi Clotaire 2, prend un édit dans lequel il dit que les évêques nouvellement nommé doivent être confirmer par le Roi. Les

province ecclésiastique (regroupant plusieurs évêchés). Régulièrement le métropolitain réuni les évêques de sa province pour orienter la vie religieuse dans sa circonscription. Ces assemblées sont appelées des conciles provinciaux (à chaque concile rédaction de statut et règlements). Concile viens du lat. concilium (assemblée). Le métropolitain étant le supérieur hiérarchique de l’évêque, il est très naturellement son juge. Il statut également en appel de toutes les décisions rendues par l’évêque

autre, mais apparaît comme le défenseur de la foi chrétienne. Il défend la foi contre les wisigoth et les burgondes, qui sont adeptes de l'arianisme. D’après l'arianisme, la volonté du christ est niée, ainsi l'hérésie d'Arius est condamnée lors du concile de Nicée, en 325. Les évêques de gaule vont favoriser les projets d’expansion de Clovis ; par exemple en l'an 500, Clovis défait le roi des burgondes, près de Dijon, Gondebaud. Ou encore, en 507, Clovis est vainqueur des wisigoths, à la bataille de

conversion, Clovis n’est plus un simple conquérant, c’est aussi le défenseur de la foi chrétienne contre les autres barbares : Wisigoths, Burgondes, adeptes de l’Arianisme qui nie le fait que le Christ soit Dieu. Cette hérésie d’Arius est condamnée par le Concile de Nicée tenu en 325. Les évêques vont alors se tourner vers Clovis et favoriser sa conquête. Les choses ne vont pas trainer. En 500, Clovis va battre le roi des Burgondes Gondebaud près de Dijon et en 507, il est vainqueur des Wisigoths près de Poitiers

manifestation en 989 au Concile régional de Charroux, près de Poitiers) qui interdit, sous peine de sanctions canoniques, de mener la guerre certains jours de la semaine et pendant certaines périodes de l’année. Parallèlement, au XIVe siècle, on note la prétention des rois à disposer seuls du droit de faire la guerre (interdiction des guerres privées entre seigneurs). S’agissant du jus in bello, l’Église catholique pousse au respect de la Paix de Dieu (apparue au Concile régional du Puy en Velay

sottise et stupidité du monde, qui a reçu avec dévotion une telle moquerie. Si on leur eût montré des crottes de chèvres, et qu'on leur eût dit : voici des patenôtres (chapelets) de Notre Dame, ils les eussent adorées sans contredit. L'abbaye de Charroux, au diocèse de Poitiers, se vante d'avoir le prépuce, c'est-à-dire la peau qui lui fut coupée à la circoncision. L'Evangéliste saint Luc raconte bien que notre Seigneur Jésus a été circoncis; mais que la peau ait été gardée, pour la réserver en relique

or les ecclésiastique vont tenir un discours contraire vers l’an 1000 en disant que la guerre c’est mal et c’est contraire à la volonté de Dieux. La guerre est l’occasion de tout les pêchés. Les évêques se réunissent en Conciles pour fixer des règles de guerre. Par exemple à Charroux en 989 ils vont essayer de limiter la guerre en fixant la paix de Dieu et la trêve de Dieu. La paix de Dieu l’idée et que un certain nombre de personne sont en dehors de la guerre et ses personnes ont doit les respecter

faible et les hommes sont pareils aux poissons de la mer qui pêle-mêle se dévorent entre eux. » Ainsi parlaient, en 909, les évêques de la province de Reims, assemblés à Trosly. La littérature des IXe et Xe siècles, les chartes, les délibérations des conciles sont pleines de ces lamentations. Faisons, tant qu’on voudra, la part de l’emphase, comme du pessimisme naturel aux orateurs sacrés. Dans ce thème sans cesse orchestré et que d’ailleurs confirment tant de faits, force est bien de reconnaître autre