Concile œcuménique

tremblement de terre détruit une grande partie de la muraille théodosienne et provoque une famine importante. Cette faiblesse de l'empire romain d'Orient permet à l'empire romain d'Occident d'être momentanément épargné par les visées d'Attila. Le concile de Chalcédoine de 451, dans son vingt-huitième canon, donne à la ville de Constantinople le titre de « Nouvelle Rome »13, ce qui fait de son évêque, le patriarche de Constantinople, le second personnage de l'Église. Cela contribue encore à donner

leur détermination et de leur discipline militaire, les Jésuites vont devenir le bras armé de la Contre-Réforme catholique en France, en Allemagne, en Autriche et en Amérique du Sud. b) Le concile de Trente Le pape Paul III convoque en 1542 un grand concile religieux, universel à Trente (Italie). Ce concile débute officiellement le 13 décembre 1545. Le pape lui donne pour objectif de revigorer l'Église catholique. Il réalise la Réforme de l'église catholique (cela prendra 18 ans) dont les principales

l'état civil et l'emploi du français comme langue d'usage obligatoire pour tous les actes administratifs. 1542 : Le concile de Trente rassemble le haut clergé. L’Eglise décide de la condamnation des idées protestantes. L’Eglise a la seule autorité d’interpréter la Bible. De plus, il y a une correction des abus de l’Eglise, ainsi les évêques doivent résider dans leur diocèse. Ce concile permet de reconquérir les fidèles. 1560 : La reine mère Catherine de Médicis assure la régence et gouvernera jusqu'à

en se réformant au concile de trente, qui réaffirme le dogme catholique et précise entre autres que la foi est importante mais que cela n'est pas suffisant : il faut pratiquer les bonnes œuvres, les fidèles ont besoin d'être encadrés par le Clergé. Ils affirment les 7 sacrements : le baptême, la confirmation, le mariage, l'eucharistie, l'extrême onction, la réconciliation et l'ordination. Le Vatican souhaite aussi améliorer la discipline et la qualité de vie du clergé. Ce concile renforce l'autorité

sacrements, le baptême et la communion, sont conservés, alors que le culte de la vierge et des saints est proscrit. L’Eglise catholique essaie à son tour de se réformer et s’oppose au protestantisme. D’importantes décisions sont alors prises au Concile de Trente (1545 – 1563) qui condamne les thèses protestantes et précise la doctrine officielle de l’Eglise. Les prêtres, toujours voués au célibat, devront être mieux instruits dans les séminaires, alors qu’un catéchisme est publié pour l’instruction

de province. C’est dans ce contexte que Michel d’Hôpital (1503-1573), alors juriste et conseiller du Parlement de Paris, fit son discours devant le Parlement de Bordeaux le 11 avril 1564. Il occupa de multiples postes tels que ambassadeurs au concile de Trente, premier président de la chambre des comptes et chancelier. En 1560, il débuta sa carrière politique en tant que pacificateur durant les guerres de religions. Catherine de Médicis fit appel à lui pour calmer les velléités entre les catholiques

entrainent son excommunication et sa condamnation par Charles Quint en 1521. De ces idées, nait le protestantisme. 2) La contre-réforme L'Eglise Catholique répond à la réforme protestante par le Concile de Trente, réuni de 1545 à 1563. Le concile, qui condamne tous les aspects du protestantisme, réaffirme le dogme catholique et confirme le salut par les oeuvres des fidèles. La discipline et la hiérarchie du clergé sont réaffirmées, les traductions nationales de la Bible

constitution romaine de la République, on ne trouve pas de trace du concile de la plèbe. Il était une assemblée « non-comitiale », uniquement représentative de la classe plébéienne, que la plèbe avait obtenue après avoir fait sécession sur le Mont Sacrée en 494 av. JC, afin d’avoir une représentation autonome face à la puissance politique des patriciens, et des tribuns défendant ses intérêts et faisant voter des plébiscites par le concile, mesures qui n'étaient contraignantes, à l'origine, que pour la

villes réclament la liberté religieuse: le protestantisme est né. 2. L'affrontement. a. la réaction catholique. Devant le développement du protestantisme, l'Eglise réagit: c'est la réforme catholique. L'inquisition est rétablie et le concile de Trente réaffirme les dogmes catholiques, et entreprend de transformer le clergé en améliorant la formation des prêtres, pour que les fidèles ne s'y opposent plus. Tous les opposants sont des hérétiques. b. les persécutions Dans les deux

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