Conclusion Croissance Jean Bodin

Lettres modernes Lycée Jean-Monnet, La Queue-lezYvelines Miguel Degoulet Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Le Mans-Sud, Le Mans Karine Foucher Professeur PLP lettres-anglais et coordonnatrice CLEMI Amiens Lycée professionnel Rimbaud, Ribécourt Litterature.indb 1 Partie MÉTHODES sous la direction de François Mouttapa Inspecteur pédagogique régional de Lettres Académie de Nantes Stéphane Jacob Professeur agrégé de Lettres modernes Lycée Jean Dautet, La Rochelle

expression nouvelle qui est celle de Droit Français. Cette expression a été employée pour la première fois en 1560. D’autres auteurs chercheront à présenter le DF au travers des différentes règles de droit coutumier. Guy Coquille, Antoine Loisel. Jean Bodin, que l’on peut aussi parmi les philosophes, va exprimer une idée nouvelle. Il va être l’un des premiers à soutenir que la diversité des lois et des gouvernements dépendra du milieu naturel des peuples. Il y a une diversité innée des lois entre les

gouvernants pour leur permettre d’assurer de manière satisfaisante, l’ordre et la gestion des services publics. L’impôt est à la fois la garantie et le prix payé pour la protection des personnes et des biens. =Thèse défendue au XVI ème siècle par Jean BODIN, reprise au XVIIIème par les philosophes et notamment par MONTESQUIEU ( in L’esprit des lois ) : «  Les revenus de l’Etat sont une portion que chaque citoyen donne de son bien pour avoir la sûreté de l’autre et pour en jouir agréablement ». Au XIXème

ordinaire, c’est la seule personne juridique souveraine. La souveraineté est propre à l’Etat. Cela signifie qu’il n’y a pas de pouvoir au-dessus du pouvoir d’Etat, il ne tient son pouvoir que de lui-même, il a la compétence de sa compétence. C’est à Jean Bodin que l’on doit la théorie de la souveraineté. Dans La République (1576) il définit la souveraineté comme le pouvoir du prince de faire les lois et cela sans le consentement de plus grands ni de moindres que soi. Cela comprend aussi le pouvoir de

Condition préalable: l'amour de la cité; - Les philosophes ont l'expérience des plaisirs et des douleurs et savent poursuivre leur quête de l'immuable et de la vérité; - Dans cette partie du dialogue, Socrate analyse les prémisses de l'entretien. IV) Conclusion: la comparaison avec le Soleil - Comparaison de l'œil avec le soleil, au regard des objets sensibles comme de l'âme avec l'idée du bien au regard de la vérité. - L'idée du bien est le principe de la science et de la vérité, comme le soleil est

effet considérées comme des entraves à la liberté d’entreprendre (liberté économique) revendiquée à partir de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Elles seront également vues comme des entraves à la liberté politique. Conclusion : une société dans laquelle le morcellement du droit arrive à son compte. Chaque communauté à l’intérieur d’un ordre se subdivise elle-même en une multitude de sous groupes revendiquant chacun des droits particuliers : les privilèges. Cet enchevêtrement

que l’exercice du pouvoir est réglé par des lois qu’il doit respecter, notamment les lois fondamentales du royaume (non écrites). C’est ce qu’avait prôné, au profit de la loi de Dieu, le théoricien de la souveraineté et de l’absolutisme que fut Jean Bodin dans les Six livres de la République (1576). Pour rapide qu’elle soit, cette approche historique montre que c’est bien l’État qui fait le droit public et qu’il le fait d’abord pour lui. 2. Approche de droit positif Il en va de même aujourd’hui

Henri SÉE (1864-1936) Les origines du capitalisme moderne (Esquisse historique) (1926) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, bénévole, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index.html Une collection développée en collaboration

institutions sont de nature monarchique. Pour se protéger contre des contestations de plus en plus radicales, le roi Louis 16 a refusé tout partage et tout contrôle de son pouvoir. Il s’agit d’une monarchie absolue de droit divin. Souveraineté: Jean Bodin explique pour la première fois ce qu’est la souveraineté dans son ouvrage. Il l’a défini comme une puissance perpétuelle et absolue. Elle est pleine et entière. (C’est le ciment qui permet aux indiv de vivre ensemble). Elle présente un caractère

faciliter votre lecture et de vous aider à prendre une vue d’ensemble de la leçon, nous avons également mis certaines parties du texte en gras dans la mesure où elles expriment l’idée générale de la partie ou du paragraphe, comme c’est le cas dans les conclusions partielles que constituent notamment les transitions. Enfin deux notes (notes 3 et 27) ont pour but de vous aider à saisir le mouvement et la construction d’ensemble de la pensée au cours de la leçon. Elles n’ajoutent rien au texte mais cherchent