Conclusion De La Delinquance Juvenile

Suggestions .................................................................................... III- Auto-évaluation ........................................................................ IV- Lien entre les cours théoriques et la pratique ..... CONCLUSION GENERALE .................................................................... ANNEXES i 1 2 2 2 3 4 5 6 6 7 8 8 9 10 10 11 11 11 12 13 14 20 20 21 22 22 24 2 Rapport de Stage de maîtrise professionnelle, KEDJO Elie Michel, ENAAS 2006 ABREVIATIONS

spécifique des violences physiques : les rixes à la sortie des bals, des boîtes de nuit, entre bandes de villages voisins, sont une sorte de rituel pour certains. Enfin, les accidents de la route sont monnaie courante. En ville, les trafics, la petite délinquance (incivilités, deal, …) renvoient à la survie par l’économie « parallèle », mais aussi à un ressenti d’exclusion sociale et de stigmatisation. Le fait d’être en apprentissage ou d’avoir un emploi n’est pas toujours une garantie en matière de santé

psychosociaux page 10 | |Des enjeux scientifiques et politiques page 10 | |CONCLUSION page 11 | INTRODUCTION Les pratiques d’histoires de vie posent question à la communauté scientifique. La définition de l’expression

I. APPORTS THEORIQUES P9 « LA PRISE EN CHARGE DES ENFANTS ET ADOLESCENTS EN DANGER ET/OU DELINQUANTS » A. Bref historique : de l’enfermement aux prises en charge éducatives P10 1. L’enfermement, réponse traditionnelle à la délinquance juvénile P10 2. Vers une évolution des pratiques P10 3. 1945, une année révolutionnaire P10 4. Depuis 1945, l’évolution et l’actualité P10 B. Le système français actuel de la protection judiciaire de la jeunesse P13

sont multiples et diversifiés, ce qui n'est pas le cas dans les communautés primaires telles que les communautés villageoises par exemple7. En même temps, cette liberté que connait l'individu en ville est à l’origine de nombreuses situations de délinquance et de marginalité ; de la désorganisation qu’entraine une croissance brutale de la ville, peuvent naître de nouvelles formes d’organisation, supposées pallier la carence ou l’inefficacité des formes traditionnelles. En bref, l’Ecole de Chicago questionne

fait a. Une inflation des lois pénales 1867 : 60 textes pénaux / 1968 : 386 t.p. / 1992 : plus de 800 t.p. b. Une inflation de la criminalité Particulièrement vrai pour petite criminalité et délinquance dite urbaine. c. L’échec de la répression Importance du chiffre noir, faible taux d’élucidation, classements sans suite Affaire importantes foirées d. L’échec des sanctions Prison

choisir un sujet de mémoire sans risque d`échec n`a pas été chose facile, car, faire le choix par intérêt, par opportunité ou par solidarité n`a pas été mon cas. C`est pourquoi au départ, je voulais réaliser un mémoire sur la problématique de la délinquance juvénile en Haïti. Convaincu que ce phénomène est étroitement lié à la mauvaise gouvernance de la chose publique du pays, cela m`a stimulé á reconsidérer mon choix. Ainsi, après maints constats de terrain, j`arrive enfin à choisir : LES ENJEUX DE L`AUTONOMIE

les frères Lumière en 1895) devient vite populaire (10000 salles en 1908, sans compter les projectionnistes ambulants). Léon Gaumont et Charles Pathé donnent au cinéma sa dimension industrielle. Le cinéma fait rentrer la France ds le XXeme s. Conclusion première partie Politique: régime républicain, démocratique er parlementaire s'est imposé. Le suffrage universel masculin réduit le rôle des élites. La vieille noblesse a encore le prestige mais plus le pouvoir. Laïcité provoque fracture sociale

partie l'obligation d'adapter son environnement juridique, institutionnel et social aux objectifs visés par le texte international. Le présent rapport tente de mesurer l'étendue de celle adaptation dans le contexte sénégalais. Les principales conclusions auxquelles il aboutit, donnent une image de la situation de l'enfant sénégalais en 1994. De façon générale, le Sénégal peut se glorifier d'avoir fait de l'enfant un sujet de droit et d'avoir mis au premier plan de ses préoccupations la protection

loyers HLM non payés → expulsion → bidonvilles des « cas sociaux » → économie de survie digne du XIXe siècle (chômage, allocation, économie souterraine) → mise en place du Bon d’Aide Social (BAS) → statut de pauvre reconnu et protégé. Crise → délinquance due à la rupture familiale et au défaut de protection du groupe. De 1975 à 1981, augmentation de 50% de la population carcérale. Profil : jeune, immigré, chômeur, issu de famille nombreuse. 7-2 : L’ancien et le nouveau ► Le maintien des écarts