Conclusion De La Psychanalyse

Édition du groupe « Ebooks libres et gratuits » Sigmund FREUD INTRODUCTION À LA PSYCHANALYSE Tome I (Leçons professées en 1916) Traduit de l’Allemand, avec l’autorisation de l’auteur, par le Dr. S. Jankélévitch, en 1921, revue par l’auteur. Table des matières Première partie : Les actes manqués ....................................... 3 1. Introduction ............................................................................. 4 2. Les actes manqués .........................................

Prendre conscience de soi par le monde extérieur LE SUJET 3 La prise de conscience de soi comme mise à l’épreuve perpétuelle de sa liberté A - Prendre conscience de soi, c’est sortir de la mauvaise foi B - La conscience et la temporalité Conclusion ■ CORRIGÉ PhilCor2004L,ES,S 26/08/03 18:04 Page 35 Corrigé (corrigé complet) Introduction1 Il est fréquent, lorsqu’on entend pour la première fois sa voix enregistrée, de ne pas se reconnaître. Prenant conscience d’une partie de

l'article publié en 1958, dans la revue La Psychanalyse, sous le titre « D'une question préliminaire à tout traitement possible de la psychose », article repris dans ses Ecrits [4]. Outre-Manche et outre-Atlantique, à partir de la traduction anglaise des Mémoires, c'est un déferlement d'études sur Schreber. La « mode » sera à son apogée entre 1955 et 1962. Ce sont Baumeyer, qui finalement publie un article présenté au Congrès international de Psychanalyse de 1951, et Fairbairn, qui commente et discute

rejoint Marx et surtout Freud, ses contemporains, qui placent la responsabilité de l’Homme dans la société dans laquelle il vit et le déresponsabilisent en quelque sorte de ses actes par la psychanalyse, qui commence à être connue à cette époque. Freud va déresponsabiliser l’individu par le biais de la psychanalyse. La découverte de l’inconscient va permettre cette révolution. Certains automatismes, comme marcher ou parler, deviennent inconscients lorsque l’habitude s’installe. Si un individu est habitué

de même légitime de la poser. Après la « doxa », après le « paradoxe », l’on doit maintenant exposer un « contre-paradoxe », c’est-à-dire une justification. Ainsi l’on pourrait dire : Pourtant, on sait qu’il existe une science qui s’appelle la psychanalyse, qui étudie le fonctionnement de l’inconscient et ses rapports avec la conscience. 4. Annonce du plan. L’on peut maintenant annoncer quel va être son cheminement pour résoudre le problème que l’on a posé. Pour la forme, il vaut mieux être

LES MOTS DE LA PSYCHANALYSE À chacun LA PROJECTION son film... Virginie Megglé La projection À chacun son film… Groupe Eyrolles 61, bd Saint-Germain 75240 Paris cedex 05 www.editions-eyrolles.com Du même auteur : Couper le cordon – Guérir de nos dépendances affectives, Eyrolles, 2005. Entre mère et fils – Une histoire d’amour et de désir, Eyrolles, 2008. Face à l’anorexie – Le visible et l’invisible, Eyrolles, 2008. Avec Thalie Amossé : À chacun son poids – Se sentir bien quels

aboutirait au constat suivant : l’homme peut avoir certaines pensées et accomplir certaines actions sans en être responsable. Alain, philosophe français du XXème siècle s’oppose dans ce texte extrait des Eléments de philosophie aux conceptions de la psychanalyse. Il aborde le thème de l’existence de l’inconscient, il nous offre une définition, et défend la thèse selon laquelle l’inconscient au sens freudien, à savoir comme une partie à part entière de l’esprit contenant des pensées non conscientes, n’existe

pensé) L’animal a su apprendre plusieurs centaines de signes, elle était capable de les enchainer, capable encore de se reconnaître dans un miroir, de créer de nouveau signe. Capable encore de transmettre ce langage a d’autre chimpanzé. Conclusion : Au partisans d’une césure radicale entre l’homme et l’animal, on peut reconnaître que le mode de communication de certaines espèces reste de l’ordre du réflexe et ne peut être considéré come un langage au sens stricte. Si les animaux les moins

preuves de l’existence de l’inconscient sont « les phénomènes compulsionnels et les symptômes névrotiques ». Ils sont les substituts de tendances ou de choc émotionnels refoulés. Le malade est conscient de ses troubles, c’est pour cette raison que la psychanalyse peut le soigner. L’analyse va libérer le patient d’un passé traumatisant. A la fin de la cure, « il ne sera plus son passé, il aura un passé ». Le problèmes ici est médical et non moral. Le patient n’a pas besoin de se chercher d’excuses. Faire

et all. qui par le parallèle de la psychanalyse, « renvoie l’expression mythique à la distribution des désirs fondamentaux de l’individu ». Le mythe peut être une source explicative des comportements humains en référence au fameux « complexe d’Œdipe » théorie développée par S. Freud au XXème siècle (le tournant théorique des années 1920). L’histoire du complexe d’Œdipe est coextensive de celle de la théorie freudienne et même de l’histoire de la psychanalyse dans son ensemble. Le mythe a un statut