Conclusion De Microéconomie

rendement sur le capital (p. ex. r) n'est pas indépendant de la valeur de K, contrairement au modèle néoclassique de la croissance et de la répartition. En fait, K a une influence sur r et l’inverse est aussi vrai. On associe parfois ce problème aux conclusions du théorème de Sonnenschein (voir les exemples de Mas-Colell dans l’article intitulé « Capital Theory Paradoxes : anything goes », 1989) dans la théorie de l’équilibre général, qui démontre que le modèle de l’agent représentatif ne peut pas être

objet de montrer l’action réciproque, l’enchaînement et l’interdépendance de certains phénomènes. De manière générale, l’économie comporte la macroéconomie et la microéconomie. La macroéconomie se situe à un niveau agrégé, c’est-à-dire au niveau de la nation (inflation, chômage, PIB) : cours à la comptabilité nationale. La microéconomie se situe quant à elle au niveau de l’individu. Chapitre introductif Comme toute science humaine et sociale, l’économie politique, abstrait du monde réel

forte. Conclusion : l’utilité totale de l’eau est supérieur à l’utilité totale du diamant mais les individus comparent les "Utilités marginales" (Um). Ex : l’utilité marginale du verre d’eau est l’utilité du dernier verre. Je bois 3 verres. Ils auront de la valeur. Mais le 4e n’en aura pas car il ne me procure pas d’utilité puisque je suis déjà rassasié. Pour les néo-classiques, le diamant étant plus rare son utilité marginale donc sa valeur est supérieure à celle de l’eau. Conclusion : ce n’est

d’utilité censé fonder l’ensemble des comportements individuels. Comme nous le verrons dans cet exposé, les développements récents de l’analyse néoclassique de la firme visent, entre autres choses, à lever ce type d’objection. En fait, la microéconomie standard, que ce soit dans les modèles d’équilibre général, les analyses de marchés ou dans une grande partie de l’économie industrielle, demeure dominée par une même représentation simplifiée de la firme. Situation en définitive paradoxale, qu’illustre

plupart des situations en raison, par exemple, des coûts de négociation ou d’autres obstacles qui empêchent les parties d’exploiter tous les gains mutuels possibles. Les coûts de la négociation, surnommés coûts de transaction, peuvent empêcher la conclusion d’un accord s’ils sont trop haut. De plus, l’économiste considérait que l’absence de droits de propriété bien établis, par exemple, engendre des coûts de transaction élevés qui ont un effet dissuasif sur la volonté de recourir à la négociation

circule entre les différents groupes sociaux. QUESNAY met en évidence les interdépendances économiques, « tout ce qui est acheté est vendu et tout ce qui est vendu est acheté ».. Aux 18ème et 19ème siècles, les économistes vont s'intéresser à la microéconomie,aux comportements des agents, pour expliquer le fonctionnement de l'économie. Mais la révolution de 1917 en Russie, l'intervention croissante de l'État dans la vie économique avec la crise économique des 1920 et 1930, l'influence de KEYNES réhabilitent

financière Depuis l’apparition de la monnaie, on constate que son utilisation est un phénomène quotidien, commun à tous les individus et continu. Pourtant, la monnaie est problématique. Elle soulève des problèmes sérieux en économie, c'est-à-dire en microéconomie, en macroéconomie et en politique macroéconomique. On se pose généralement les questions suivantes : Qu’est-ce que la monnaie ?; Quelle est la quantité optimale de monnaie qui devrait circuler dans l’économie ?; Quels sont les instruments de

consommation en Période 2 en terme de conso en Période 1 : 1 / 1 + r Cela représente le prix de la consommation en période 1 par rapport au prix de la consommation en période 2. [Cf courbe de l'indifférence des consommation Cours de Microéconomie] b) Franco Modigliani et cycle de vie Idée : La consommation est fonction du revenu sur toute la vie d'un agent ( Fisher). Le revenu varie au cours de la vie donc l'épargne permet de transférer une partie des revenus sur les différentes

9- Analysez et critiquez les modèles dualistes du développement. 10- Comparez les théories de la croissance équilibrée (Roseinstein-Rodan) et de la croissance déséquilibrée (Hirschman). 11- Les théories de dépendance. 12- La nouvelle microéconomie du développement. 13- Citez les principaux facteurs qui ont contribué au « miracle » des pays émergents. 14- Comparez les stratégies de substitution des importations et les stratégies de promotion des exportations. 15- La transformation

INTRODUCTION GENERALE A L’ECONOMIE Nicolas CANRY Septembre 2014 Licence 1 – Division 1 Chapitre 2 Introduction à la microéconomie I. Le marché et la concurrence parfaite 1. Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite • Atomicité des agents : grand nombre d’offreurs et de demandeurs sur le marché. Chaque agent a une dimension négligeable par rapport à celle du marché. • Homogénéité du produit : tous les producteurs offrent le exactement même bien (pas de différenciation). • Liberté d’accès/entrée