Conclusion Delinquance

en fonction de ses aptitudes, et de l’intérêt qu’il porte à l’enfance. Le métier de juge des enfants comporte deux volets principaux : -la protection des mineurs en danger (maltraitance, inceste, prostitution … ) -la répression des actes de délinquance commis par un mineur (vol, racket, vandalisme). Lorsqu’il s’agit des mineurs délinquants, le juge des enfants exerce à la fois des fonctions d’instruction des affaires (ouvrir une enquête pour connaître la vérité) qui lui sont soumises et de jugement

véritable du droit et de la justice. L’objectif initial que je m’étais fixé a été largement rempli…J’ai pu me confronter aux réalités du terrain et l’expérience s’est avérée plus qu’enrichissante, puisque je n’ai pas seulement appris à connaître la délinquance multirécidiviste, mais j’ai également appris beaucoup sur moi-même et sur mes limites, notamment lors du « camp équitation ». Je suis en effet parti pendant 10 jours dans le Vercors et le Diois, à cheval, avec deux éducateurs, un guide et six jeunes

LE NOUVEAU LIVRET DE PREVENTION DU MAIRE 2ème édition OCTOBRE 2010 Secrétariat général du Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance - SGCIPD - OCTOBRE 2010 1 La prévention c’est la responsabilisation Secrétariat général du Comité Interministériel de Prévention de la Délinquance - SGCIPD - OCTOBRE 2010 2 Préface à la deuxième édition *** Voici le nouveau livret du maire. Par rapport au premier livret paru en août 2010, il est, selon l’expression d’usage, « revu

L’évolution de la délinquance juvénile en France Laurent MUCCHIELLI, Sociologue, chercheur au CNRS, enseignant à l’Université Versailles Saint-Quentin en Yvelines, directeur du Centre de recherches sociologiques sur le droit et les institutions pénales (CESDIP, www.cesdip.com). Auteur de nombreux travaux sur la sociologie de la délinquance, sur les politiques de sécurité et de prévention ainsi que sur les émeutes urbaines. Texte communiqué à partir de la rencontre-débat du 15 Avril 2007 : Bandes

services éducatifs. Elle fonctionne selon des règles de droit et des procédures différentes de celles des adultes, adaptées aux mineurs. Elle intervient pour protéger les mineurs en danger (maltraitance, abus sexuel…). Elle sanctionne les actes de délinquance commis par un mineur (vol, racket, vandalisme…) : elle cherche d’abord à rappeler au jeune ses devoirs vis-à-vis de la société et à lui faire prendre conscience de ses actes pour éviter la récidive, sans exclure une sanction pénale (mise à l’épreuve

15% en France ces quinze dernières années et étant donné que les biens sont de plus en plus protégés les jeunes multiplient les délits : violence, dégradation... « La pauvreté est le facteur principal menant à la délinquance. », de nos c’est comme cela qu’est définit la délinquance. Il est connu qu’un manque d’argent affecte ce qu’on peut faire pendant son temps libre : il y a un manque d’opportunités. Cela amène les jeunes à s’ennuyer. Parfois, ils choisissent donc de commettre des crimes. Il

l’intérêt supérieur de l’enfant parmi les principes de l’administration de la justice des mineurs énumérés dans le titre préliminaire. Si l’intérêt de l’enfant est un élément qui peut être prise en compte par le juge de la jeunesse en matière de délinquance juvénile, on remarque que le souci de protection de la société est tout de même bien présent et on peut se demander si il ne prime pas parfois sur l’intérêt du mineur. Les placements en centre fédéral fermé, par exemple, sont principalement motivés

France, il y a aussi des prisons pour mineur, elles ont été créé pour renforcer le dispositif d'accueil des mineurs délinquants. Elles sont strictement réservé aux mineurs. Elles offrent un moyen supplémentaire aux magistrats pour faire face à la délinquance mineure, mais ils doivent tout de même remplacer les quartiers spécifiques des maisons d'arrêt dans lesquels les mineurs étaient incarcérés. Ces prisons sont placés sous la responsabilité de l'administration et ont été construits essentiellement

vague d’immigation, l’administration mènera une politique qui entrainera la xénophobie. Les blancs voient alors les personnes de couleurs commedes envahisseurs. Suite à cela, des violences apparaissent dans les quartiers les plus pauvres, la délinquance juvénile est à son comble ; opposant principalement les immigrés aux américains de

indications sur le contenu. L’article est intitulé « Jeunes délinquants entre éducation et punition » avec comme sous-titre « le fantôme des maisons de redressement ». Une brève introduction est présente avant l’article, elle énonce le thème : la délinquance des jeunes et les maisons de redressement. Nous apprenons également qu’en 2002 Nicolas Sarkozy et Luc Ferry avaient annoncé que des centres fermés pour les jeunes délinquants allaient être créés, c’est ce qui a suscité l’intérêt de l’auteur. Des