Conclusion Du Lac Lamartine

monde aboli. Le concret est rejeté. « Le Lac » de Lamartine : L’honnêteté du poète introduit cette pierre vraie cette eau vraie et par elle, cette femme vraie, Elvire, émouvante complice d’une effusion philosophique, mais dont la présence rend dignité à l’accident, à l’heure, au lieu. Le détour par la femme Liée à l’anecdote, la femme sert de prétexte à l’esquisse d’un univers organisé ou désarticulé, vite dissous dans une réflexion générale (ex. « Le Lac »). La femme provoque la parole ; introductrice

recommande la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine, Stendhal et Jacques Michelet. Les limites chronologiques du Romantisme qui sont fixées sont aléatoires car il a continué à influencer la littérature française durant tout le XIXe siècle. Il est alors intéressant de voir Comment le romantisme a-t-il

L'esprit romantique est inséparable de la contestation des valeurs de l'Ancien Régime. En ce sens, il anticipe sur les révolutions sociales et nationales de l'Europe et contribue à les faire éclore. En effet, on a des écrivains qui s’engagent : Lamartine et Hugo sont députés, Vigny se présente aux élections et Napoléon III est vivement critiqué dans les châtiments de V. Hugo. Les principes du romantisme Le romantisme se dessine par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent

dislocation en relation avec sa rupture dislocaton= déchirement , s'apparente à sa rupture, son déchirement intérieur. le lecteur partage alors ses émotions car ils sont universels comme l'émotion, la tristesse ... conclusion : résumé des 2 parties puis ouverture sur : le poème de Lamartine " le lac" qui lui aussi perd sa bien-aimée.

Perdre un enfant n'est pas facile et plus le temps passe, plus les souvenirs s'éloignent. Mais V. Hugo n'est pas le seul à écrire sur les sentiments douloureux, on pourrait tout aussi bien prendre l'exemple d'A, de la Lamartine qui, lui aussi, regrette quelqu'un dans son poème « Le lac ». Non, elle a d'autres buts. La poésie sert effectivement à exprimer nos sentiments mais elle a aussi d'autres buts comme la réflexion sur l'homme. Commençons par « Si c'est un homme » de Primo Levi, ici l'auteur

« Melancholia » de Victor Hugo2.2. « La colombe blessée » de Théodore de BANVILLE 2.3. « L'art » de Théophile GAUTIER3. Le poète est-il un amoureux de la nature 3.1. « L'automne » d’Alphonse de LAMARTINE 3.2. « Rêve parisien » de Charles BAUDELAIRE 3.3. « Encore un printemps » de Théophile GAUTIER | Conclusion Référence bibliographique | | « Le poète est un être triste » « Quand le poète peint l'enfer, il peint sa vie. » Victor Hugo Il pleure dans mon cœur Il pleure dans mon cœur

lointains, qui se traduit par des références renouvelées à l'orient (orientalisme), comme par exemple dans les poèmes L'isolement de A. Lamartine ou Vœu de V. Hugo. [...] Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes ; Il serpente, et s'enfonce en un loitain obscur ; Là le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. [...] A. Lamartine, L'isolement [...] Plus loin que les terres arides Du chef maure au large athagan, Dont le front pâle a plus de rides

célèbre s’inscrit dans la tradition du lyrisme élégiaque où les thèmes développés sont des topos de la poésie lyrique; puis nous verrons cependant que même si ces thèmes sont des topos poétiques, Apollinaire parvient à les moderniser un peu. CONCLUSION Après l’étude de ce texte, nous en concluons que ce texte est bien traditionnel et moderne sur la notion du de permanence dans la fuite du temps. En effet, ce poème s’inscrit dans la tradition du lyrisme élégiaque au moyen d’un poète qui se présente

Aphonse de Lamartine « AUTOMNE »[1] Salut, bois couronnés d'un reste de verdure ! Feuillages jaunissants sur les gazons épars ! Salut, derniers beaux jours ! Le deuil de la nature Convient à la douleur et plaît à mes regards. Je suis d'un pas rêveur le sentier solitaire; J'aime à revoir encor, pour la dernière fois, Ce soleil pâlissant, dont la faible lumière Perce à peine à mes pieds l'obscurité des bois. Oui, dans ces jours d'automne où la nature expire, A ses regards voilés, je

appréciatif a) « roches profondes » (v. 11), « flots harmonieux » (v. 18), « flot […] attentif » ( (v. 21), « rochers muets » (v. 51), « belle nature » (v. 53), « Beau lac » (v. 56), « r riants coteaux » (v. 56), « parfums légers » (v. 64), « air embaumé » (v. 64)  Démontre la beauté de la nature 2. impératif redoublé a) « Gardez […], gardez » (v