Conclusion Juste Valeur Et Coût Historique

Introduction Chapitre 1 Généralités sur la logistique 1.1 Logistique 1.1.1 Historique 1.1.2 Définitions 1.1.3 Types de logistique 1.2 chaîne logistique 1.2.1 Définitions de la chaîne logistique 1.2.2 Classification des entités de la chaîne logistique 1.2.3 Flux d’une chaîne logistique 1.2.4 Structure possibles des chaînes logistiques 1.3 Gestion de la chaîne logistique 1.2.1 Définitions 1.2.2 Niveaux décisionnels Chapitre 2 Conception et optimisation de la production 2.1 Concepts

ratio ou ratio prix-bénéfice) ;  2.    la méthode du modèle de dividendes ; 3.    le q de Tobin qui rapporte la valeur de marché d’une entreprise au coût de remplacement de ses actifs. Aucune de ces méthodes ne permet véritablement de prendre en compte à la fois les exigences des actionnaires (en termes de rendement), la réalité du patrimoine des entreprises (réévalué à sa juste valeur) et l’efficacité de ces dernières (en termes de taux de marge). De nombreux facteurs peuvent expliquer les fluctuations

earnings ratio ou ratio prix-bénéfice) ; 2. la méthode du modèle de dividendes ; 3. le q de Tobin qui rapporte la valeur de marché d’une entreprise au coût de remplacement de ses actifs. Aucune de ces méthodes ne permet véritablement de prendre en compte à la fois les exigences des actionnaires (en termes de rendement), la réalité du patrimoine des entreprises (réévalué à sa juste valeur) et l’efficacité de ces dernières (en termes de taux de marge). De nombreux facteurs peuvent expliquer les fluctuations

des immobilisations……………...16 1) Définition de la notion d’immobilisation…………………………….....................16  2) Classification des immobilisations ……………………………...............................16 a) Les immobilisations en non-valeur …………………………………….. ...16 b) les immobilisations incorporelles……………………………..................... 17 c) les immobilisations corporelles…………………………….........................17  d) les immobilisations financières………………………………

l’obligation de communiquer le montant des écarts de change figurant dans le résultat net, dans les capitaux propres en tant que composante distincte de ceux-ci ainsi que les écarts de change survenus au cours de l’exercice qui sont compris dans la valeur comptable d’un actif. I . Conversion des opérations en monnaie étrangère 1/ Comptabilisation initiale Une transaction en monnaie étrangère doit être enregistrée, lors de sa comptabilisation initiale dans la monnaie de présentation,

moyen-âge B. ARISTOTE (384 à 322 av. J. C.)  Défense de la propriété privée : les biens possédés en commun engendrent beaucoup plus de conflits que les biens possédés séparément ;  Une théorie de la valeur : – La valeur d’usage d’un bien, c’est l’utilité qu’il a pour son acquéreur ; – La valeur travail d’un bien, quant à elle, se définit ainsi : VT = t * d (t = le temps de travail nécessaire à la fabrication du bien, et « d » un coefficient de « dignité », qui représente ce que l’on appellerait

Principe de primauté du droit sur le fait Principe de continuité de l’exploitation Principe de spécialisation des exercices Principe de l’évaluation au coût historique Principe du nominalisme Principe de prudence Principe de permanence des méthodes Principe de non-compensation Principe de primauté de la réalité économique Évaluation à la « juste valeur » L’extension du champ de la comptabilité d’intention 14 15 16 16 17 17 17 18 18 18 19 19 21 21 21 23 31 36 Section 1 © Dunod – La photocopie

FINANCE D’ENTREPRISE PARTIE 1 – L'ENTREPRISE ET SON EXPLOITATION CHAPITRE 1 – L'ENTREPRISE CRÉATRICE DE RICHESSE Objectif : Établir le lien entre la valeur ajoutée (VA) des entreprises et le produit intérieur brut (PIB) de la nation (en différenciant VA et profit). 1. L’ENTREPRISE EN QUESTION 1.1. Définir l’entreprise : (c’est complexe :Aucune déf. indique son objectif : faire des profits)

l’adoption des normes internationales pour l’information financière des entreprises ayant une obligation publique de rendre des comptes (les Normes internationales d’information financière (IFRS)) et pour toutes les vérifications d’états financiers historiques (les Normes internationales d’audit (ISA)). En outre, de nouvelles normes comptables sont adoptées pour les entreprises à capital fermé, et d’autres sont envisagées pour les organismes sans but lucratif. er • Les IFRS entreront en vigueur pour

des conventions et des règles similaires à celles des normes internationales n’est pas aisée compte tenu : -de la diversité des entreprises et le fait qu’une petite entreprise n’est pas comparable à un groupe de sociétés, -du lien étroit et historique entre la comptabilité et la fiscalité notamment dans le cas de l’Algérie, -de l’impact général que cela provoque du point de vue de la gouvernance des entreprises, des systèmes d’information, de la fiscalité… -et plus globalement de la perte