Conclusion L Avare

Harpagon se méfie de la Flèche, son valet tout comme Euclion se méfie de sa servante Staphyla. La pièce s’est aussi esquissée à partir du théâtre italien, la commedia dell’arte. On pourrait qualifier Harpagon de Pantalon «qui représente le vieillard avare, crédule, libertin, méticuleux.» Molière s’est aussi inspiré de La Belle Plaideuse de Boisrobert pour la rencontre entre l’usurier (Harpagon) et son fils (Cléante) ainsi que l’œuvre de Chappuzeau, La Dame d’intrigue pour le personnage de Frosine.

Le premier recueil de fables parut en 1668 chez Barbin, les illustrations étaient de François Chauveau, le meilleur spécialiste de l'époque. Il se composait de 124 fables, réparties en 6 livres, avec une introduction (la dédicace en vers), et une conclusion (l'épilogue), qui ne correspondent pas forcément à l'ordre dans lequel les fables avaient été écrites. Il fut dédié au fils aîné du roi Louis XIV, le Dauphin, âgé alors 6 ans. "Lecture agréable, mais aussi utile et sérieuse". Ce premier recueil

scène d’ouverture par exemple, regroupe beaucoup d’informations sur l’état psychologique d’Argan puisque celui-ci est seul sur scène et exprime ses pensées à voix haute. Elle révèle non seulement son caractère monomaniaque mais aussi une personnalité avare et tyrannique : Argan corrige les factures de son apothicaire : « vingt sols en langage d’apothicaire, c’est-à-dire dix sols » et rentre dans un état de rage lorsque Toinette ne vient pas à lui dès le premier retentissement de la sonnette : «Chienne

capucines fanées. Elle a dix ans de moins que son mari mais est un peu plus grande en taille. Au lieu d'être une mère aimante et protectrice, elle est la tortionnaire des ses enfants. Elle se montre méchante, violente, menteuse, hypocrite, égoïste, avare, jalouse. Elle les prive de tout bonheur, établie une multitudes de réformes visant à supprimer leur enfance et à les réduire peu à peu à l'état d'esclave ( « […] Il n'avait pas vu sans déplaisir ses enfants transformés en petits serfs » page 49 )

en point de vue omniscient qui vient noircir en quelques mots le portait de la fourmi. Le professeur s’attarde sur ces deux vers et explique leur fonctionnement. Deux litotes se cumulent : « la fourmi n’est pas prêteuse » c’est-à-dire qu’elle est avare ; « et c’est là son moindre défaut » signifie qu’elle en a donc de pires, la fourmi est un monstre ! A moins que, selon le point de vue de la fourmi, ne pas prêter soit le défaut qu’elle jugerait le moins grave. En d’autres termes, les élèves découvrent

chose qu’il va réussir à faire très maladroitement (il lui donne à boire et renverse tout à coté, c’est l’émotion !). Cette femme ne va jamais faire vraiment attention à Rousseau. Il va faire un bilan sur sa vie : il n’a pas été heureux dans la conclusion de ces amours. Il va aller cher un Abbé (L’abbé de Gouvon, et pas l’Abbé Cassine !), ce dernier va lui proposer de lui donner des cours de latin. Rousseau se dit « être destiné à rapprendre souvent le latin, et à ne jamais le savoir ». Il va aussi

A. Un groupe classe initialement homogène 9 B. Des acteurs passifs 10 III. Une expérience déconcertante 12 A. Le système d’écriture particulier du japonais 12 B. Une prononciation proche du français 13 C. Largué par le peloton 13 Conclusion 15 Introduction Suite aux événements de Nanjing en 1937, beaucoup de chinois détestent le Japon. Pourtant, les relations économiques qui lient ces deux pays sont étroites. Cela explique peut-être pourquoi le japonais est, après l’anglais

spectaculaire43. Il ne lui est donc pas possible d'en présenter une version plus heureuse qui aurait été le repentir de Dom Juan et le respect de son mariage44. Ce fait lui sera cependant reproché par la critique45 ainsi que la conclusion paradoxale sur Sganaralle réclamant ses gages. Cette conclusion figure pourtant déjà dans la farce de Cicognini46 : il s'agit de casser l'impression dramatique suscitée par l'engloutissement de Dom Juan en terminant sur une note comique47. On prête cependant à Molière d'autres

été menées. En ethnographie, où un exposé honnête de telles données est peut-être plus indispensable encore, on constate, hélas! que, dans le passé, on s'est en général montré avare de précisions et que, loin de s'attacher à nous dire ouvertement comment ils ont abouti, beaucoup de chercheurs ont préféré livrer leurs conclusions toutes faites, sans rien nous dévoiler de leur genèse. Il serait facile de citer des ouvrages de grand renom, marqués du sceau de la science, où des généralisations sans nuances

à Antonomase. « Trope qui consiste à désigner un personnage par un nom commun qui le caractérise, ou, inversement, à désigner un individu par le personnage dont il rappelle le personnage typique (ex. un harpagon [personnage de Molière] pour un avare, la Dame de Fer pour Mme Thatcher). » Forme particulière de métonymie ou de synecdoque. à Catachrèse. « La catachrèse […] est une figure par laquelle un mot est employé par métaphore (cas le plus fréquent), métonymie ou synecdoque pour désigner