Conclusion L Avare

son désir ardent de bonheur et de contentement, il ose abandonner son travail de percepteur pour aller vivre à la campagne et faire de l'agriculture; lui, un homme de la ville. () après avoir longuement médité et PHILOSOPHÉ, je suis arrivé à la conclusion irréfutable que le seul bonheur possible c'est d'être un homme de la Nature. [1] Il est tout sûr qu'il atteindra seulement son but avec et dans la nature. Jean de Florette ne manque pas ce dont un paysan couronné de succès a besoin, soit de l'espoir

elle a due se passer » : émotion des personnages traduite par la position de leurs bras. l.13 : « passé mollement » : attachement du couple, amour. l.13 – 14 : difficultés à laisser partir sa fille. l.15 : cadette : attachement de la sœur. Conclusion : Diderot fait dans ce texte l’éloge d’une peinture et d’un peintre. Cet éloge dépasse son goût personnel et reflète l’idée d’une esthétique vertueuse et déjà réaliste. D’autre part, son texte essaie d’imiter, de rendre par les mots une représentation

|10 | | 4.3. La peur de devenir fou |10 | |5. Conclusion |12 | |6. Bibliographie

adoptifs ; c'est une nouvelle naissance ("je sortis de cette fosse aussi nu que du ventre de ma mère") une renaissance, mais Chabert, enfant trouvé, a perdu à nouveau son identité (il ne retrouvera la mémoire que plusieurs mois plus tard). Conclusion : montrer que la fosse commune d'Eylau, malgré toute son horreur apparaît comme un lieu plus amical, plus favorable et finalement moins hostile que le monde des vivants, paradoxe que la suite du récit ne fera que confirmer. Pourquoi Chabert renonce-t-il

joie généreuse à une poétique du divertissement égoïste » (p. 97). L’étude de Denis Labouret resserre la focale sur Que ma joie demeure pour montrer comment le roman tente de surmonter « Les apories de la temporalité », que Paul Ricœur résume en conclusion de Temps et récit et que Denis Labouret adapte à l’ouvrage de Jean Giono et à ses personnages. Première solution : ignorer la contradiction entre « temps phénoménologique » et « temps cosmologique » (D. Labouret cite les formules de Ricœur) en

concrètes (en particulier aux vers 5 et 6) ; - enfin et surtout, il y a chez Esope une morale finale, qui incrimine nettement la négligence de la cigale, alors que tel n’est pas le cas chez La Fontaine : on y reviendra au fil du commentaire et en conclusion. LECTURE Principaux axes de lecture : on essaiera de montrer en quoi cette fable présente les caractéristiques typiques du genre de l'apologue; et dans le prolongement de cette analyse, on essaiera de montrer que l’intérêt de cette fable ne se

I : une poétique originale dépassant l’esthétique balzacienne : Le roman du XIXème siècle, en général, nous a habitués, aussi bien que les œuvres romanesques antérieures, à considérer un personnage comme un type humain. Nous rencontrons ainsi un avare, un misanthrope, un distrait, une précieuse. Et nous disposons, avec Balzac, Flaubert ou Stendhal, d’une riche collection de persos ainsi définis, qu’il s’agisse de Vautrin, de Homais ou de Julien Sorel. Le système de Proust est différent. Certes,

pas les seules à s’inquiéter des conséquences sanitaires de ces nouveaux matériaux et de l’impact qu’une mobilisation de l’opinion publique pourrait avoir dans la course pour le leadership mondial des nanotechnologies. La région wallonne n’est pas avare d’efforts pour prendre le bon wagon, elle qui tente une reconversion de son tissu industriel de l’industrie lourde vers les technologies de pointe (informatique, pharmacie, etc.). Outre le soutien apporté aux projets de ses PME actives dans le secteur

antonomase, « phoebus » est un nom commun issu du nom grec d’Apollon. Rappel : une antonomase est une figure de style par laquelle un nom propre devient un nom commun. Exemples : un harpagon/un avare ; un don Juan /un séducteur, un libertin ; un tartuffe/ un hypocrite… Phœbus est le nom latin du dieu Apollon, dieu solaire, connu pour sa pratique de la poésie, de la musique et des oracles

puisqu’il est une commune mesure. L’argent est le même, donc, pour le voleur et pour l’honnête homme, pour la ménagère, l’entrepreneur, le chômeur, le curé, le militaire... Il a la même valeur, qu’il appartienne à une personne vertueuse ou vicieuse, avare ou généreuse, égoïste ou altruiste, et qu’il soit bien ou mal employé, bien ou mal acquis. L’argent se moque donc de toute morale, puisqu’il se moque des différences de vertus et de toute hiérarchie des vertus.   A quoi cette indifférence morale