Conclusion La Parure

« Madame de Tourvel a-t-elle besoin d’illusion ? Non ; pour être adorable il lui suffit d’être elle-même. » Il dit qu’elle n’a pas besoin de far, de vêtements, de bijoux pour être belle : « vous lui reprochez de se mettre mal ; je le crois bien, toute parure lui nuit. » Tout au long de ce paragraphe, on peut voir qu’il y a le champ lexical de la beauté naturel : « Adorable, ravissante, céleste, naïve, franche. » Valmont la compare ensuite aux femmes coquettes, donc aux femmes qu’il a l’habitude

perfection et un maximum de participation à l’essence divine. Dans ce contexte, tous les plaisirs sont bons à prendre, sans distinction, à partir du moment où on en fait un usage modéré : nourriture, boissons agréables, parfums, plantes verdoyantes, parure, musique, jeux de gymnase, spectacles, etc… Il n’y aucune morale à s’interdire les plaisirs et le sage le sait. Mais la collection des plaisirs n’est pas seulement fondé moralement, elle a aussi des origines plus profondes, dans la nature même de

Expression artistique : les Vénus Abstraction : pas de formes encrées dans la réalité. Figuration : forme réelle. Dès 3200 avant J.C, l’homme peint sur le corps, sur les objets ( perle, ivoire ). Ensuite en 2700 avant J.C, création des premières parures ( difficultés de création). 700 ans après, des techniques de tailles sont apprises. Après en 1800 avant J.C, il y aura les premier supports d’espace ( grottes ). Vénus de Willendorf : Créée en 1800 avant J.C, elle est faite en calcaire, sous

manières distinctes de prétendre à la culture. On trouve d’un côté ceux qui l’aiment vraiment, de l’autre ceux qui la consomment comme une parure. Il y a les sincères et les snobs, les amoureux et les vaniteux. Ceux qui l’aiment pour elle-même, et tous les autres qui s’en servent pour avoir de grands airs. Mais cette distinction est-elle pertinente ? CONCLUSION : Se cultiver, c’est donc rompre avec cette abrutissante familiarité, ces représentations sédimentées, figées, exténuées. Ce n’est donc pas

entre la Princesse et le Duc est condamnée. Texte étudié : « Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle à se parer, pour se trouver le soir au bal et au festin royal qui se faisait au Louvre. Lorsqu'elle arriva, l'on admira sa beauté et sa parure ; le bal commença et, comme elle dansait avec Monsieur de Guise, il se fit un assez grand bruit vers la porte de la salle, comme de quelqu'un qui entrait, et à qui on faisait place. Madame de Clèves acheva de danser et, pendant qu'elle cherchait des

héros parfait. II- La cours royal entre pouvoir et jeu psychologique. Explication : I- Cette scène se déroule pendant un bal au Louvre, bal pour lequel les 2 héros se sont préparés avec grand soin comme le montre le polyptot du verbe « parer » et « parure » (figure style qui consiste à la répétition de plusieurs verbes de même racine). Au 1er paragraphe Mme de la Fayette s'applique à dresser le portrait des 2 personnages à la beauté irréprochable. Le 1er paragraphe débute avec Mme de Clèves, le 2ème

les yeux de tous Découverte progressive : « quelqu’un » « celui » « un homme » « Monsieur de Nemours » + « elle se tourna »  ils s’entendent avant de se voir « étonnement » = frappé par le tonnerre Une égale beauté « l’on admira sa beauté et sa parure » « le soin qu’il avait pris de se parer » « l’air brillant » «  tellement surpris de sa beauté » « admiration » « louanges » « parfaite beauté »  importance beauté isole les 2 perso principaux & beauté extérieure = beauté âme Parallélisme : « il

arrivée en Afrique. Le Dictionnaire des civilisations africaines (1989 :427) lève d’ailleurs le voile sur cette question des vêtements en Afrique. Dans sa définition de l’habillement, il trouve qu’en Afrique, « A la base, le vêtement se confond avec la parure associée à des notions magiques de protection ou de fécondité » Chez la femme traditionnelle africaine, il y a deux niveaux de l’habillement. Il y a les habillements du premier degré qui sont indispensables pour la protection physique du corps. Dans

travers du monde, en Océanie, Afrique, Amérique du Sud... dans les sociétés traditionnelles. On peut même trouver ce sujet abordé par Marcel Mauss, qui travaille alors sur le corps humain et ses ornementations, de peintures, de scarifications ou de parures. Lévi Strauss a aussi travaillé sur ce sujet, considérant la peinture comme le premier geste ornemental de l'humanité, en expliquant qu'il "fallait être peint pour être homme", pour se démarquer des autres êtres vivants, on devient un "corps-discours"

Il y a donc une spécificité irréductible qui forme une personnalité type . Le danger est la tendance à la généralisation . Absence d'une possibilité réelle d'établir une comparaison . Ne permet pas la découverte d'universaux ( inceste, parenté, parure ) Le chrysanthème et le sabre, Benedict : publié 1 an après la guerre , B ecrit cet ouvrage sur le japon sans jamais aller au Japon . Son étude se base sur des entretiens de japonais, des prisonniers de guerre, des occidentaux qui ont connu le