Conclusion Le Lac De Lamartine

met en question, s’exprime à propos de son état d’esprit ou de ses pensées, parle de ce qu’il ressent. (((On peut citer des poèmes comme Le Spleen de Baudelaire (où il parle de sa mélancolie), Demain dès l’aube de Victor Hugo, Le Lac de Lamartine. - On remarque aussi l’utilisation de déterminant possessif comme « mes », « mon » - D’un autre côté, on remarque les expressions « Comme-tu veux », « Tiens-toi bien » et le pronom de deuxième personne du singulier qui revient

| |détruit toute possibilité de renaissance | NB : Pour chaque paragraphe, aménagez un alinéa. Fiche 4 : Sur la conclusion Exercice : Exercice : Délimiter les différentes parties de la conclusion ✓ Le résumé des idées du commentaire ✓ La réussite esthétique et littéraire de l’auteur ✓ La perspective ; un rapprochement avec un autre poème Ce poème révèle le spleen de Baudelaire au moment

L’image de Venise dans Venises Travail présenté par Fethi Esdiri Introduction : Le Souvenir d'une Ville ou la ville des souvenires ? Dans son rapport au monde l’écrivain développe une relation particulière avec les lieux. Ville, désert, lac ou rivière peuvent être pour lui des symboles, des sources d’inspiration et même des confidents. Ces lieux peuvent aussi avoir des ressemblances et même des correspondances. Et on voit un lieu se multiplier en rappelant un autre. Ainsi, Venise peut devenir

champ lexical du mal, de la tristesse. Lamartine (1790-1869) Lamartine croit au progrès : l'histoire est en marche et les révolutions sont un moyen divin pour atteindre un objectif. La démocratie est la traduction politique de l'idéal évangélique. Jocelyn, La chute d'un ange, témoignent des préoccupations sociales de leur auteur, qui œuvre aussi pour la paix. Julie Charles (l'épouse du célèbre physicien Jacques Charles) était une personne que Lamartine admirait. La muse du poète, n'avait pas

le dit Paul Valéry « Certains se font de la poésie une idée si vague qu'ils prennent ce vague pour l'idée même de la poésie. », la société d'aujourd'hui a de nombreuses idées reçues sur la poésie. Or, l'ironie de Flaubert nous amène à la conclusion que la poésie reste utile et indémodable. Tout d'abord, les poètes expriment grâce à elle leurs sentiments, en particulier les poètes romantiques. Ils évoquent souvent leurs sentiments douloureux, en effet ils aiment parler de leur tristesse

dans la littérature III°) Le Romantisme dans les autres arts 1) La peinture romantique a) Le radeau de la méduse – Théodore Géricault b) La liberté guidant le peuple – Eugène Delacroix 2) La musique romantique IV°) Le Romantisme aujourd’hui V°) Conclusion I°) Définition et contexte historique Etymologie du mot « Romantisme » : L'adjectif romantic nait en Angleterre vers 1650, dérivé du français "roman", il fait référence aux romans du Moyen Âge, les récits versifié en langue romane, par opposition

travers différents registres et en mettant l’accent sur sa solitude. Deux registres dominent ce poème : lyrique et fantastique. On sent dans Promenade Sentimentale une sorte d’épanchement sur le « moi » à la manière des Romantiques comme Lamartine devant le Lac. Ici c’est « l étang » qui fait réfléchir et s’attrister Verlaine. On retrouve le pronom personnel « Moi », placé en tête de vers puis plusieurs fois le « je » sujet des verbes. L’adjectif « seul » est mis en valeur par l’adverbe de totalité

évoquées au dernier vers sont elles aussi salées. ( Ainsi nous nous promenons par association d’idées entre des réalités très symboliques comme le feu ou l’eau qui renvoient à des concepts abstraits comme l’amour et la souffrance. CONCLUSION ❖ Dans ce poème, Pierre de Marbeuf suit la tradition précieuse en multipliant les figures de rhétorique et en proposant une musicalité très richement élaborée. ❖ Le registre élégiaque est ici servi par le jeu de comparaison et d’antithèse

Interrogative ou exclamative : « faut-il qu’il m’en souvienne » ; « Vienne la nuit sonne l’heure » : double exclamative ? • Temps verbaux : « la joie venait tjrs après la peine » : valeur de l’imparfait, récit d’une habitude ; sorte de conclusion inévitable, désabusé à tt amour ? Emploi riche et intéressant du subjonctif : « faut-il qu’il m’en souvienne » : excla ou interro ? « dois-je m’en souvenir ou alors « combien m’en souviens-je : co la blessure est forte Refrain :

disent ces courts poèmes, c’est que non seulement la jeunesse des corps est transitoire, mais également les sentiments que l’on peut éprouver, tout comme passe la beauté qui les a fait naître. – Cependant, Lamartine chante le contraire dans son œuvre la plus célèbre. En composant Le Lac, il choisit certes une forme plus longue, pour évoquer la disparition de la femme aimée, mais c’est aussi pour permettre un plus grand lyrisme, et surtout pour évoquer ce que la mort nous laisse : le souvenir.