Conclusion Le Réalisme

société, comme le fait Dix en dénonçant la brutalité de la guerre. L’œuvre étudiée : LA GUERRE. La Guerre est un triptyque réalisé entre 1929-1932. Otto dix a peint ce triptyque d’après sa propre expérience de la guerre ce qui explique le réalisme et l’horreur de l’œuvre. Pour présenter Otto dix, « la Guerre » je vais commencer par la description de l’œuvre puis son contexte artistique et historique. PLAN : I°) DESCRIPTION DE L’ŒUVRE. A) COMPOSITION DU TABLEAU. Ce tableau a été exécuté

et le genre scène de genre se confonde un peu ici, et particulièrement avec la présence de ce train au loin. On comprend bien l’intérêt pour la nouvelle technologie : le train, on rend compte d’une réalité d’une époque (Réalisme). Mais ce tableau se distingue quand même du réalisme car il ne prend pas par aux intentions sociales franches de ce mouvement. Dans cet œuvre l’homme n’est pas le plus important. Dessiner une scène de loisirs comme un moment à la campagne, est donc une intention plutôt impressionniste

de 33 ans entre 1849 et 1850. Les dimensions de l’œuvre sont 3,13 x 6,40 mètres, le tableau est donc de format monumental, c’est aussi une œuvre de genre (peinture d’une scène de la vie quotidienne). Le courant artistique de l’œuvre est le réalisme, le réalisme est un mouvement artistique qui vise à représenter les Hommes et le monde tels qu’ils sont. Le tableau représente une cérémonie de funérailles il est exposé au musée d’Orsay. Gustave Courbet termine son tableau en 1850 à une époque importante

jusqu’ à le rendre ridicule ,mais aussi et surtout l’ironie, à laquelle le narrateur du roman a recours de façon récurrente dans le roman. A travers le personnage d’Emma Bovary. Le narrateur fait une critique des romans. DEFINITION DU REALISME Le réalisme d’après la rousse est une tendance littéraire et artistique du XIXème siècle, qui privilégie les représentations exactes telles qu’ils sont, de la nature ; des hommes, la société .pendant la 2eme moitié du XIX les sociaux comme les conditions

retrouve un aspect très descriptif. Tous ces procédés servent à alimenter l’effet de réalisme poussé => naturalisme. II] Un incipit naturaliste et pictural. Le naturalisme succède au réalisme. Il donne un effet de réel. Nous avons ici un réalisme poussé à l’extrême. Nous retrouvons une confrontation entre le personnage et le milieu où il se trouve. La minutie dans la description contribue à ce réalisme poussé : L 58 description très minutieuse et des termes techniques du milieu maritime

Moscou en Russie Alexandre Deïneka rejoint l'armée Rouge après la révolution d'octobre 1917. Il devient artiste en 1920 et maîtrise différentes formes d'expression (peinture, sculpture, affiche, mosaïque …). C'est l'un des maîtres soviétiques du réalisme socialiste. Vers 1931 il devient membre de l'Association des artistes prolétariens. Dans les années 1930 il réalise de nombreuses affiches de propagande. Alexandre Deïneka est un peintre de propagande, il est censé représenter la réalité de

Ces écrivains tentent de saisir à la fois une réalité psychologique, incarnée par les personnages de leurs romans, et une réalité sociale, historique, qui implique un ancrage de l’action romanesque dans un temps historique clairement défini. Le réalisme consiste donc à choisir et à ordonner les faits, et non à les retranscrire dans le foisonnement de la vie. Si Madame Bovaryconfond littérature et réalité, tel n’est pas le cas des écrivains eux-mêmes, qui mettent toutes les ressources de leur art

Introduction « Réalisme » est d'origine récente. Il apparaît d'abord, semble-t-il, en Allemagne (Realismus), chez Kant et les idéalistes allemands. Schiller, disciple de Kant en matière esthétique, l'emploie dans une lettre à Goethe du 27 avril 1798 : « Il ne fait aucun doute que [les Français] sont de meilleurs réalistes qu'idéalistes, et j'en trouve une preuve victorieuse dans le fait que le réalisme ne peut pas faire de poètes. » D'Allemagne, il passe en Angleterre, où Coleridge, dont on sait

prennent l'allure d'un compte-rendu de voyage. Ce réalisme est soutenu par : - Un récit à la 1 pers. point de vue interne - Une chronolgie respectée marquée par des connecteurs temporels "puis" : description des décor, du général au plus précis, récit des rencontres, et réflexion sur l'expérience. - Des termes topographiques, des paysages (baulièvres, rochers, forêt..) - les verbes de mouvement (devallai...) II. Un récit parodique : réalisme et fantaisie sont entremêlés - Le vocabulaire anatomique

», moustachu, viril, brutal. Les femmes lèvent la tête vers lui, les filles le racolent. Il les évalue d'un coup d'œil. Il recherche avidement une liaison. II. Rapport texte/réalité C'est un texte de registre — et du mouvement — réaliste. Réalisme toponymique, descriptif, économique, sociologique et psychologique.  III. Du réel au mythe Bien vite, pourtant, comme chez Zola, le texte déborde la simple représentation de la réalité pour atteindre le mythe. 1. Le mythe du mauvais