Conclusion Sur La Peine De Mort Dans Le Monde

froid de mort ») ; chaque détail assombrit l'enchaînement d'impressions désagréables pour mieux montrer que le piège s'est refermé sur cette fille. Tous les éléments décrits suggèrent la brutalité, la sécheresse (opposition avec le ruissellement des aisselles : « La sueur coule toujours sur son front, le long de son dos, mouille ses reins, pique ses aisselles »). *Un air vicié par les odeurs méphitiques, même le dôme est plongé dans un brouillard jaunâtre (idée de brûlure). («haleine de mort qui souffle

Séquence 1 Texte 1 : Hugo, écrits sur la peine de mort (19°) Ce texte est un réquisitoire (accusation) sur la peine de mort. Stratégie d’Hugo : indirecte, grâce à des questions rhétoriques. Figures de style : texte argumentatif questions rhétoriques : fausses question, on n’attend pas de réponse, c’est pour que celui à qui l’on pose la question réfléchisse. antithèses : opposition de mots ou d’idées dans un texte antiphrase : figure de style consistant à dire le contraire de ce que

est un poète contemporain du 20ème siècle né en 1880. Il se fit le porte-parole de la modernité et est considéré comme le précurseur du Surréalisme. Ce mot découle d’un néologisme d’Apollinaire en 1918 cette date correspondant aussi à l’année de sa mort. Alcools, est un de ses recueils publié en 1913, initialement appelé Eau de vie, dont est extrait ce poème « Marie » écrit en 1912 qui pourrait être influencé par sa rupture avec Marie Laurencin datant de la même année. Ou peut-être lié à la femme

Plan de l’orale : Introduction : * SA : milliers de personnes tués + emprisonné + capturés chaque année pour leurs opinion/comparaison avec notre situation. * SP : Droits fondamentaux de l’Homme = pas respecté dans le monde. * SD : Dans des endroits comme l’Asie ou l’Europe + dans des domaines comme l’éducation => droits pas respectés. | Aspect 2 : Le droit à l’éducation * Sous-aspect 1 : Le manque d ‘éducation : -Causes = pauvreté, villages reclus, conflits civils ou crises

les années En bref Après son procès, un jeune Français dont on ne connaît ni le nom ni le crime qu’il a commis, se voit condamné à mort. Ce dernier décide de se mettre à écrire dans un journal ses pensées pour essayer d’oublier ses souffrances et ses angoisses, mais également pour tenter d’améliorer les conditions des condamnés et même d’abolir la peine de mort. Durant cinq semaines, il nous raconte sa vie en prison, nous parle des autres prisonniers et de leur langage particulier, de ce qui

écrivain du XIXème siècle engagé contre la peine de mort. En 1829, il écrit le roman sous forme de récit autobiographique Le dernier jour d’un condamné qui met en scène l’histoire tragique d’un condamné à mort. L’extrait étudié est l’incipit de cette œuvre écrite sous forme de journal intime où le narrateur captif dans un cachot attend son exécution. Le condamné nous livre ses premières impressions concernant sa condition de prisonnier et de condamné à mort. Quel message Victor Hugo veut-il nous

Le vocabulaire au bac Etymologie : Etude de la racine des mots Cosmologie : Etude du monde Biologie : Etude de la vie Anthropologie : Etude de l’homme Connotation : Le sens second d’un mot : La connotation d’un chien = Ami Fidèle. Dénotation : Le sens premier d’un mot : définition du Dictionnaire : un chien = Quadripède Monosémie : le sens : un seul sens : Poussette Polysémie : L’autruche : oiseau : (mais aussi ) Faire semblant de ne pas voir. Explicite : Ce qui est dit clairement

Sanction (peine de mort) 7 Port d’arme Variables : Conjoncture économique 8 Produit intérieur Brut (PIB) Revenu national brut (RNB) 9 Chômage Partie Econométrique 11 Variables du model 12 Taux de criminalité PIB Urbanisation Taux de chômage 13 Peine de mort

Meursault, le personnage principal 2- Les personnages secondaires III/ LE STYLE ET LA FORME 1- Le style 2- La forme IV/ L’APPORT PHILOSOPHIQUE DE L’ « ETRANGER » V/ LE RESUME DE L’OEUVRE CONCLUSION INTRODUCTION Le XXème siècle est marqué par la montée en puissance d’un courant philosophique : qui est une philosophie de l’être et de l’existence, détaché de tout absolu. Cette philosophie influera beaucoup sur la manière

choses sur la phrase : « On n’est jamais tout à fait malheureux ». Premièrement, Albert Camus écrit à la page 46 de son livre « L’étranger » : « En y réfléchissant bien, je n’étais pas malheureux. » Cette phrase porte à réflexion… Nous vivons dans un monde où l’on est quelque fois trop gâté. On ne se rend pas toujours compte de la chance que nous avons. Quand nous recevons un cadeau ou encore une surprise, on arrive toujours à voir un malheur quelque part. Ce n’est qu’en réfléchissant, peu de temps après