Conclusion Sur La Tragédie

unique ou n'est qu'un moyen Comme la comédie, la tragédie a un double objectif : plaire et instruire (placere et docere), mais avec d’autres moyens. II Le théâtre a d’autres fonctions 3) Fonctions de la tragédie a) Crainte et pitié : La tragédie suscite, selon Aristote, « la pitié et la crainte », la crainte pour soi-même, la pitié pour autrui. Paradoxalement, ces sentiments sont source de plaisir. b) Une fonction morale : La tragédie a aussi une fonction morale. S’identifiant au héros

Corneille ou Racine. Racine fut un des grands auteurs de théâtre à son époque, il se concentre essentiellement sur les tragédies et fait un énorme succès avec sa pièce Andromaque. Apres son Age de gloire avec plusieurs pièce a sucée il se retire de se milieux et devient historien du roi, puis revient pour une dernière pièce, Phèdre. Sa dernière œuvre fut Phèdre, une tragédie en cinq actes et en alexandrin crée en 1677. Cette pièce qui a traversé des siècles et des siècles évoque essentiellement

Hardin dans son fameux article « the tragédie of Commons ». Paru en 1968, sous la plume du biologiste Garrett Hardin, l’article « the tragedy of Commons » constitue une référence structurante dans les débats sur la propriété, le gouvernement des ressources, les liens entre organisation économique et viabilité écologique. C’est à l’occasion d’une intervention publique donnée à la fin juin 1968 que Garrett Hardin formule pour la première fois l’argument de la « tragédie des communs »78. C’est ce discours

domaine du mélodrame. Ruy-Blas, valet devenu grand seigneur, appartient au mélodrame par sa situation sociale et à la tragédie par la noblesse de ses sentiments. Don César, grand seigneur déchu, appartient à la fois à la tragédie par sa droiture et à la comédie par ses aventures et sa philosophie de l’existence. La pièce s’achève par la mort du héros, comme dans la tragédie classique. Le langage des héros est noble et soutenu, donc tragique ; celui de César et de personnages secondaires

l'époque de la Rome impériale que se situe l'action de Britannicus. Jean Racine, est né à La Ferté-Milon le 22 décembre 1639 et mort à Paris le 21 avril 1699, c’ est un dramaturge et poète français considéré comme l'un des plus grands auteurs de tragédies de la période classique en France sous Louis XIV. Le courant littéraire est le classicisme. Et plus précisément le théâtre classique, qui répond à des règles très précises (unité de temps, de lieu et d'action), et s'adresse le plus souvent au public

Qu’est-ce qu’une tragédie classique? Pour pouvoir définir une tragédie classique, on va premièrement expliquer précisément le mot « tragédie » et le mot « classique ». Une « tragédie » se réfère dans un premier temps à une pièce de théâtre dont le sujet est le plus souvent emprunté à un mythe ou à l'histoire, mettant en scène des personnages illustres et représentant une action destinée à provoquer la pitié ou la terreur, par le spectacle des passions humaines et des catastrophes qui en sont

La tragédie permet, depuis l’Antiquité, de dénoncer les différentes natures de pouvoir. Les héros tragiques sont en constant affrontement entre deux forces distinctement opposées, d’une part, ils penchent vers le devoir, le pouvoir qui leur a été légué menant au bien-être de leur patrie ou de leur cité, tandis que de l’autre, leurs sentiments sont mis à l’épreuve, la passion demeure omniprésente. De nombreux auteurs classiques tels que Racine traitent du pouvoir comme une force absolue primant sur

milieu de notre tragédie » ver 5, 8, 17, 21. (Tragédie => 1942 période très sombre). -Très vite, en effet, l’image de la femme qui se peigne, prend une dimension tragique à travers, notamment, le temps passé devant son miroir ver 2, 10, 13 et aussi à travers les images qui sont associées aux gestes d’Elsa « Ses patientes mains calmaient un incendie » ver 4, « Elle martyrisait à plaisir sa mémoire » ver 12. Ce mot mémoire qui apparaît ver 12 permet l’évocation d’autres aspects de la tragédie, qu’Elsa partage

l’histoire de la mise en scène et du projet théâtral. Pour indiquer des voies afin d’y voir plus clair nous signalons deux formes d’approches de la représentation. Elles sont opposées dans leurs intentions : la tragédie antique et le théâtre des cruautés. Telle qu’elle fut théorisée par Aristote, la tragédie cherchait à purifier les spectateurs en provoquant la crainte et la pitié. À l’inverse, le « théâtre des cruautés » des XVIe et XVIIe s. fut de quelque manière conçu pour exciter les passions et galvaniser

erreurs », la Mégère apprivoisée » et « Le marchand de Venise ». Suivent ensuite des tragédies telles que « Hamlet » , « Othello », « Macbeth » ou encore « Roméo et Juliette », écrites en 1595-1596. Durant les dernières années de sa carrière, Shakespeare compose ce que l'on appele des « romances » comme « Cymbeline », « Conte d'hiver » ou « La tempête ». « Roméo et Juliette », l'une des ses plus grandes œuvres, est une tragédie lyrique. Elle fut sans doute le premier succès indiscuté de Shakespeare et elle