Conclusion Sur Le Genre Romanesque

 INTRODUCTION Notre exposé intitulé : « le merveilleux dans soundjata ou l’épopée manding » tourne autour de cette problématique essentielle : l'écriture; autrement dit, on se demande comment se manifeste-t-elle dans le romanesque? Pour cerner et analyser cette problématique notre propos s'articulera par une énumération et une explication des faits merveilleux du roman LE MERVEILLEUX Grâce aux pouvoirs magiques détenus par sa mère et par son marabout, Koyaga est un personnage de démesure

le personnage principal. Le roman et son personnage nous procurent alors un sentiment d’évasion aussi bien grâce à une histoire très réaliste et crue à la manière d'Emile Zola ou encore Guy de Maupassant, que par le biais d'histoire incroyable d'un genre fantastique par exemple. Guy de Maupassant choisi dans les dernières lignes de son roman Une vie, de suggérer une réflexion auprès du lecteur : « la vie, voyez-vous, ça n’est jamais si bon ou si mauvais qu’on croit. » Cette citation nous permet

genres argumentatifs qui sont bien distincts le premier genre c’est l’essai, il s'agit de dire les choses et de créer son propre sens et le proposer au lecteur (se situer) par un propos explicite qui laisse percevoir au lecteur le but de l’essai. Le second genre est l’apologue, dans celui-ci le discours est attribué à un narrateur et à des personnages, c’est un court récit narratif démonstratif et fictif et on en tire une morale. Le dernier genre est le dialogue, c’est une argumentation directe, un

chronologique, sous forme d'une énonciation. Autrement dit, il ne cherche ni à suggérer, ni à représenter comme le feraient la poésie ou le théâtre. On ne peut donc assimiler le genre romanesque au genre théâtral. Le deuxième critère que donne Crébillon concerne la visée du roman. Il lui donne une dimension différente de celle que ce genre pouvait avoir auparavant : il ne s'agit plus pour lui d'écrire de « petites histoires » distrayantes mais d'éduquer le lecteur à travers ses récits. Dans ce but, il explique

I : Le personnage du roman moderne à l’image de l’homme et de la société du XIX siècle : 1) Le roman réaliste et naturaliste : miroir de la nature humaine. Dès le milieu du XIX siècle et après la chute de l’empire, le genre romanesque est étroitement associé au contexte qui le voit naître : * Analyse détaillée et lucide de la société * Volonté de faire de la littérature l’application du Positivisme. Avec la fresque des Rougon-Macquart, somme de vingt romans

se demander si cet l'incipit exprime l'ambition de Gide de renouveler le genre romanesque. Pour cela nous allons étudier dans un premier temps en quoi cet incipit revêt des aspects classiques puis dans une seconde partie en quoi il s'en distingue et quels sont les moyens utilisés par l'auteur pour mettre en valeur l'originalité de son oeuvre. I Dans l'ouverture des "Faux monneyeurs" Gide utilise les procédés romanesques traditionnels des romans de l'époque avec les notions de lieu, temps,personnages

laquelle il n’y a aucune prise.   2- Une narration énigmatique    1.      La remise en cause des codes romanesques traditionnels :  ·         L’incipit fixe toujours une sorte de « protocole de lecture » pour la suite d’un roman. Dans le roman « réaliste », classique, un décor est planté, les personnages y sont introduits dans une certaine atmosphère. Or ici le lecteur est coupé des codes romanesques traditionnels : - On entre directement dans le roman, sans « introduction » : il s’agit d’un début « in

bouleversement de la distinction entre public et privé qu'à l'universalité de l'oppression des femmes. Elle interroge la constitution de ce sujet politique, pensé comme un universel, émancipateur et victime, et des tensions qui se dessinent alors. La conclusion portera sur les critiques formulées lors des débats autour du féminisme pro-sexe aux États-Unis, mais également par les féministes Noires et lesbiennes. Les contributions littéraires à ce collectif mettent en relief la complexité des identités

laquelle il n’y a aucune prise. 2- Une narration énigmatique  1. La remise en cause des codes romanesques traditionnels : L’incipit fixe toujours une sorte de « protocole de lecture » pour la suite d’un roman. Dans le roman « réaliste », classique, un décor est planté, les personnages y sont introduits dans une certaine atmosphère. Or ici le lecteur est coupé des codes romanesques traditionnels : - On entre directement dans le roman, sans « introduction » : il s’agit d’un début « in

carnavalisation, du lecteur. A cette fin, le Gargantua de Rabelais, œuvre lue par Bakhtine, illustre le rapport étroit entre texte et lecteur. Ce lien permet d’aborder le dialogisme ; caractéristique essentielle du genre romanesque et de la réception littéraire. Catégorie qui échappe aux cadres fixes du genre, de style, du registre, le carnavalesque mérite une étude en soi. iv Table des matières Jury …………………………………………………..……………...……ii Résumé ……………………………………….……………………...…..iii Table des matières ……………………………