Conclusion Sur Le Genre Romanesque

propres. L’écrivain Georges Simenon s’interroge sur ce qui distingue le personnage de roman de l’humanité ordinaire. Selon lui, « un personnage de roman c’est n’importe qui dans la rue, mais qui va au bout de lui-même ». Cette conception du personnage romanesque peut s’appliquer à La Peau de Chagrin de Balzac, et plus spécifiquement au personnage de Raphaël que l’auteur pousse au bout de ses excès afin de faire une démonstration de son thème et dont la vie bascule dans l’extraordinaire

universelles telles III. L’opposition entre évasion et identification n’a pas lieu d’être : la lecture suscite des plaisirs bien plus divers. 1. Il faut toujours une combinaison « identification – évasion » pour satisfaire le lecteur : le récit romanesque, par la description d’un personnage et l’épaisseur psychologique qu’il présente, favorise l’identification du lecteur avec le héros ; ensuite, tout est possible : n’importe quel lecteur peut vivre les aventures. Exemple : dans L’Enfant, de Jules

siècle qui ont marqué le genre romanesque et offert aux lecteurs un regard critique sur la société de l’époque. A travers Bel-Ami, publié en 1884, il dresse un portrait acerbe de la bourgeoisie et du journalisme. C’est aussi toute une société qu’il accuse de matérialisme. Dans cet extrait, l’auteur nous montre la consécration de Georges Duroy, le héros arriviste, par son mariage à l’église de la Madeleine. Nous allons voir comment cet excipit remplit sa mission de conclusion. Dans un premier temps

I - Les marques de l'épistolaire les indices d'énonciation - locuteur et destinataire " Rica à Ibben, à Smyrne " - pas d'entête - lieu d'énonciation, date (dans le calendrier persan) + année - remarque : fiction romanesque ramène fin du règne de Louis XIV - indice " je ", le locuteur est extrêmement présent, très impliqué importance de l'anecdote personnelle des qualités de conteur - récit avec un certain humour - il fait un récit en se moquant de lui-même dont la célébrité ne le rend

adresse un mйmoire mettant en rapport roman naturaliste et йpopйe. Or, le genre йpique est un genre spйcifique а la Grиce Antique : on reconnaоt donc l'influence du dйterminisme dйfini par Taine dans ses њuvres de critique littйraire, influence reconnue par Zola. Zola applique en effet, la fameuse dйmarche critique de Taine : " la race, le milieu, le moment et la facultй maоtresse ". Zola applique ce protocole а la technique romanesque transformйe en " йtude du tempйrament et des modifications profondes

remontent doucement : ce sont des souvenirs en rapport analogique avec son présent ou en rapport d’opposition. Cette expérience amène le narrateur auteur à s’interroger sur les institutions, sur le rapport au souvenir et à l’enfance, sur l’invention romanesque et l’autobiographie, sur notre société qui emprisonne de plus en plus la liberté individuelle au nom d’un principe de sauvegarde morale et de sécurité des citoyens. I. Un roman : une relation privilégiée auteur-lecteur. 1. Un projet d’auteur :

FIN DE L’ÉTUDE SUR LE ROMAN ET SUR L’HISTOIRE DE DES GRIEUX ET DE MANON LESCAUT Dernière fiche : travaux personnels et devoir. A. LE ROMAN 1. Le genre hybride de l’œuvre : en quoi peut-on dire que Manon Lescaut relève à la fois du roman d’analyse, du roman picaresque et du roman libertin ? Justifiez précisément chacune de ces appellations. 2. L’œuvre et ses thèmes : rédigez quelques lignes sur chacun d’entre eux en prenant soin de mentionner divers passages de référence. réflexion

Présentation de l’auteur : Philosophe des lumières et libre­penseur, Diderot s’est  essayé pour  transmettre ses idées, à différentes formes littéraire, encyclopédie, théâtre, discours, dialogue.    Présentation du texte :  Cette extrait débute par une remise en question du genre romanesque dans  le texte le narrateur refuse de répondre au question du lecteur et dans le dialogue la présentation du  texte qui fait apparaître le nom des personnages s’apparentent d’avantage au théâtre qu’au roman    LECTURE A HAUTE VOIX DU TEXTE : 

puisque, comme on l’a vu précédemment, l’expression Belle Epoque est une invention de l’après-guerre. Sous ce titre, on aimerait simplement dresser ici un état des lieux de la littérature romanesque vers 1910. Pour saisir la nouveauté proustienne, il importe en effet de voir ce qu’il a changé. Le roman est devenu le genre dominant à cette époque ; il a remplacé la poésie au panthéon des genres. Mais le foisonnement qui en résulte peut dérouter : on parle alors de roman d’art (pour des romans très cultivés)

position de la problématique : elle pourra partir de l'une des constantes du romanesque qui repose souvent sur l'exceptionnel et se demander si la "médiocrité" peut y avoir sa place.   Le libellé du sujet : La question posée sous cette forme rhétorique semble répondre par la négative. Implicitement, une thèse s'exprime ici, qui nie que le roman puisse admettre des personnages médiocres.   Le domaine d'application : le genre romanesque.   La recherche du plan : Il convient donc de suivre ici un plan dialectique